| Victor Cousin - 1857 - 564 Seiten
...sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes! Ame abjecte1, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles! ou plutôt tu veux en vaiu t'avilir;... | |
| Félix André Augustin Poujol - 1857 - 572 Seiten
...connaître les êtres el leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est que l'ordre, la beauté, la verlu ; je puis contempler l'univers, m'élever à la main...le gouverne; je puis aimer le bien, le faire, et je nie comparerais auxbêtcs? Ameabjecle, c'est ta triste philosophie qui le rend semblable à elles 1... | |
| Henri Joseph Léon Baudrillart - 1858 - 558 Seiten
...sache faire usage du feu et qui sache admirer le soleil. Quoi! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...le bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes ! » L'apostrophe qui suit, adressée à Helvétius, est et demeurera célèbre : « Ame abjecte, c'est... | |
| Gaberel - 1858 - 178 Seiten
...qui sépare l'homme du singe, c'est qu'il a le pouce opposable aux doigts... Rousseau dit : « Quoi! je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ! je puis contempler l'univers, m'élever à la maia qui le gouverne, et je me comparerais auv bêtes ! Ame abjecte, c'est la triste philosophie qui... | |
| 1858 - 970 Seiten
...prétendre à l'honneur de penser. » — « Quoi! dit-il encore, je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports; je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu; je puis contempler l'univers, m' élever à la main qui le gouverne; je puis aimer le bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes... | |
| Henri-Léonard Bordier, Édouard Charton - 1860 - 620 Seiten
...au sensible llelvctius son mauvais livre De l'Esprit, quoi! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...vertu; je puis contempler l'univers, m'élever à fa main qui le gouverne; je puis aimer le bien, le faire; et je me comparerais aux bêtes? Ame abjecte,... | |
| Villemain (M., Abel-François) - 1861 - 466 Seiten
...faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports, je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contempler Tuni\ ers, m'élever à la main qui le gouverne ; je puis aimer le bien, le faire, et je me comparerais... | |
| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - 1862 - 624 Seiten
...au sensible Helvétius son mauvais livre De l'Esprit, quoi! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je, puis sentir ce que c'est qu'ordre,...gouverne; je puis aimer le bien, le faire ; et je me compareraisaux bêtes? Ame abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles; ou... | |
| Gaberel - 1862 - 524 Seiten
...qui sépare l'homme du singe, c'est qu'il a le pouce opposable aux doigts... Rousseau dit : « Quoi ! je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu...contempler l'univers, m'élever à la main qui le gouverne, et je me comparerais aux bêtes ! Ame abjecte, c'est ta (riste philosophie qui te rend semblable à... | |
| Jules Romain Barni - 1865 - 632 Seiten
...foi qui est évidemment à l'adresse d'Helvétius : « Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...le bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes. Âme abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles I Ou plutôt tu veux en vain... | |
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