 | Jean Sifrein Maury - 1850 - 492 Seiten
...on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait « passé : fracas effroyable ! inévitable ruine ! On se console, « parce qu'on emporte quelques fleurs...illusion ! Toujours entraîné , tu approches du gouffre af« freux : déjà toutcommence à s'effacer, lesjardins moins fleu« ris , les fleurs moins brillantes... | |
 | Mrs. Anderson (Caroline Dorothea), Caroline Dorothea Anderson (Hon.) - 1852 - 296 Seiten
...on voit tomber derrière soi tout ce que on avoit passé, — fracas effroyable, inévitable ruine. On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelque fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement toujours entraîné, tu approches du gouffre.... | |
 | Charles Jean Delille - 1855 - 612 Seiten
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé ; fracas effroyable, inévitable ruine ! On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en jEtas." HOR. i. Ode xi. ' Dura loquimur, fugerit invida les goûtant.... | |
 | 1852 - 1366 Seiten
...derrière soi tout ce qu'on avait passé : fawas effroyable, inévitable ruine ! on se console par ce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant,...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement ! toujours entraîné, tu approches du gouffre.... | |
 | Jean Siffrein Maury - 1856 - 488 Seiten
...on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait « passé : fracas effroyable ! inévitable ruine ! On se console, « parce qu'on emporte quelques fleurs...illusion ! Toujours entraîné , tu approches du gouffre af« freux : déjà ton t commence à s'effacer, les jardins moins fleu« ris , les fleurs moins brillantes... | |
 | Adolphe Mazure - 1861 - 376 Seiten
...soin d'ajouter « de temps en temps. » Et la chute qui termine, quel langage et quelle harmonie ! On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement! toujours entraîné, tu approches du gouffre.... | |
 | Charles Louandre - 1863 - 294 Seiten
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé : fracas effroyable! inévitable ruine ! on se console parce qu'on emporte quelques fleurs...gouffre affreux : déjà tout commence à s'effacer, les jardins moins fleuris, les fleurs moins brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairies moins... | |
 | Vrais Ornements - 1864 - 572 Seiten
...parce qu'on emporte quelques /leurs cueillies en passant, qu'on voit se faner entre ses mains du malin au soir, et quelques fruits qu'on perd en les goûtant....gouffre affreux : déjà tout commence à s'effacer ; les jardins moins fleuris, les (leurs moins riantes, leurs couleurs moins vives, les prairies moins... | |
 | Robert Eldridge Aris Willmott - 1864 - 362 Seiten
...derrière soi tout ce qu'on avoit passé ; fracas effroyable, inévitable ruine! On se console, parcequ'on emporte quelques fleurs cueillies en passant, qu'on...voit se faner entre ses mains ; du matin au soir; quelques fruits qu'on perd en les goutant ; enchantement! Toujours entraîné, tu approche du gouffre... | |
 | Charles Henri Schneider - 1869 - 372 Seiten
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé ; fracas effroyable, inévitable ruine ! On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement ! toujours entraîné, tu approches du gouffre.... | |
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Marche ! marche ! Et cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé : fracas effroyable! inévitable ruine ! On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs... 
