Histoire de France: Consulat, Empire, Restauration, Band 1Lagny frères, 1855 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 32
Seite 2
... sentait mourir , faute d'être gouvernée ; tout ce qui lui restait de force n'allait qu'à mépriser le régime auquel elle était arrivée ; et toutefois , même dans ce régime , quelle que fût sa dégradation , se faisait sentir un vague ...
... sentait mourir , faute d'être gouvernée ; tout ce qui lui restait de force n'allait qu'à mépriser le régime auquel elle était arrivée ; et toutefois , même dans ce régime , quelle que fût sa dégradation , se faisait sentir un vague ...
Seite 4
... sentait deux mille six cents francs en assignats ; et , enfin , une loi créa pour deux milliards quatre cent millions de mandats territoriaux , autre expédient qui acheva d'at- tester la ruine monétaire ; toutes ces valeurs reposaient ...
... sentait deux mille six cents francs en assignats ; et , enfin , une loi créa pour deux milliards quatre cent millions de mandats territoriaux , autre expédient qui acheva d'at- tester la ruine monétaire ; toutes ces valeurs reposaient ...
Seite 6
... sentait destiné à maîtriser cette vaste im- puissance de la Révolution française . Après la journée du 13 vendémiaire , Barras , qui était son protecteur et qui l'avait montré à la France et à ses partis , le fit nommer général en chef ...
... sentait destiné à maîtriser cette vaste im- puissance de la Révolution française . Après la journée du 13 vendémiaire , Barras , qui était son protecteur et qui l'avait montré à la France et à ses partis , le fit nommer général en chef ...
Seite 10
... sentait assez grand pour être déjà dévoré par les soupçons . ( Voyez les récits dans les écrits du temps , notamment dans le Mémorial ou Journal his- torique de la Révolution française , tom . II . tait le monde venir à ses pieds . Le ...
... sentait assez grand pour être déjà dévoré par les soupçons . ( Voyez les récits dans les écrits du temps , notamment dans le Mémorial ou Journal his- torique de la Révolution française , tom . II . tait le monde venir à ses pieds . Le ...
Seite 24
... sentait que la France périssait dans son cercle de révolution , et ce n'était pas sans raison qu'il aspirait à des desseins de réforme , si ce n'est qu'une réforme entreprise en de telles occurrences dépassait ses forces et celles de ...
... sentait que la France périssait dans son cercle de révolution , et ce n'était pas sans raison qu'il aspirait à des desseins de réforme , si ce n'est qu'une réforme entreprise en de telles occurrences dépassait ses forces et celles de ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
actes allait âmes Anciens Anglais appelait armée armes arriver Autrichiens avaient bataille bientôt Bonaparte Bourrienne c'était cent combats commandement commença conseil consul corps côté coup cour courage d'autres déclaration décret dernier desseins destinée devait Directoire disait-il donner éclat enfin ennemis États événements évêques faisait force formes fortune française frappé garde général génie gloire gouvernement guerre j'ai jeter jours jugement l'Angleterre l'armée l'avait l'Église l'Empereur l'Empire l'Europe l'histoire laissa lettre liberté lieu livré lois Louis lutte mains malheur marche maréchal mêlée Mém ment mille hommes monde mort n'avait n'était Napoléon nation nouveau nouvelle ordres paix Pape parlait paroles passer patrie peine pensée péri peuple place porter pouvait pouvoir premier prince proclamation Prusse publique puissance qu'à qu'un religion République restait Révolution Russie s'était semblait Sénat sentait serait seul signé soldats sorte souverain suivait système tête tion tomber toutefois traité trouva venait victoire Voyez
Beliebte Passagen
Seite 408 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 96 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges.
Seite 179 - L'Empereur, debout , prononça d'une voix forte ces mots : « Soldats , voilà vos drapeaux , ces aigles vous serviront toujours de point de ralliement. Ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. Vous le jurez! — Nous le jurons !» répondirent les porteurs des aigles , les députations et les troupes...
Seite 256 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Seite 399 - Il est juste, il est sage, de donner à la France des institutions fortes et libérales, qui soient en rapport avec les lumières actuelles. Mes alliés et moi, nous ne venons que protéger la liberté de vos décisions.
Seite 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Seite 393 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve...
Seite 397 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Seite 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.
Seite 326 - Le temps est superbe ; les chemins sont beaux ; c-'est le reste de l'automne : ce- temps durera encore huit jours ;; et à cette époque nous serons rendus dans nos nouvelles positions. Dans le combat de Maloiaroslavetz la garde italienne s'est distinguée : elle a pris la position et s'y est maintenue Le général baron Delzons, officier distingué , a été tué de trois balles.