Histoire de France: Consulat, Empire, Restauration, Band 1Lagny frères, 1855 |
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... Cents , dont les membres devaient avoir trente ans . Le pouvoir exécutif était délégué à un directoire de cinq ... cent soixante - dix décrets ; la plupart , des lois HISTOIRE DE FRANCE . 3 pour le mieux entendre, il va suffire de ...
... Cents , dont les membres devaient avoir trente ans . Le pouvoir exécutif était délégué à un directoire de cinq ... cent soixante - dix décrets ; la plupart , des lois HISTOIRE DE FRANCE . 3 pour le mieux entendre, il va suffire de ...
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... cents francs en assignats ; et , enfin , une loi créa pour deux milliards quatre cent millions de mandats territoriaux , autre expédient qui acheva d'at- tester la ruine monétaire ; toutes ces valeurs reposaient sur 4 1795-1796 HISTOIRE ...
... cents francs en assignats ; et , enfin , une loi créa pour deux milliards quatre cent millions de mandats territoriaux , autre expédient qui acheva d'at- tester la ruine monétaire ; toutes ces valeurs reposaient sur 4 1795-1796 HISTOIRE ...
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... cents millions en numéraire , c'était le dernier indice de la détresse ; le numéraire manqua à la spoliation . En même temps des revers avaient frappé nos armées ; c'est l'espèce de malheur que l'imagination française sup- porte avec le ...
... cents millions en numéraire , c'était le dernier indice de la détresse ; le numéraire manqua à la spoliation . En même temps des revers avaient frappé nos armées ; c'est l'espèce de malheur que l'imagination française sup- porte avec le ...
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... cent millions . Puis vinrent les coups d'arbitraire . Trente - cinq journaux furent proscrits , et leurs rédacteurs frappés de déporta- tion ; parmi eux l'abbé Sicard , Fontanes , La Harpe . Les vols et les brigandages s'ajoutèrent aux ...
... cent millions . Puis vinrent les coups d'arbitraire . Trente - cinq journaux furent proscrits , et leurs rédacteurs frappés de déporta- tion ; parmi eux l'abbé Sicard , Fontanes , La Harpe . Les vols et les brigandages s'ajoutèrent aux ...
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... Cents , Jourdan , de la Haute - Vienne , proposa de déclarer la patrie en dan- ger . Ce fut une délibération bruyante ; la proposition fut rejetée , et au sortir de la séance le conseil se trouva en face de multitudes qui l'assaillirent ...
... Cents , Jourdan , de la Haute - Vienne , proposa de déclarer la patrie en dan- ger . Ce fut une délibération bruyante ; la proposition fut rejetée , et au sortir de la séance le conseil se trouva en face de multitudes qui l'assaillirent ...
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Seite 408 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 96 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges.
Seite 179 - L'Empereur, debout , prononça d'une voix forte ces mots : « Soldats , voilà vos drapeaux , ces aigles vous serviront toujours de point de ralliement. Ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. Vous le jurez! — Nous le jurons !» répondirent les porteurs des aigles , les députations et les troupes...
Seite 256 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Seite 399 - Il est juste, il est sage, de donner à la France des institutions fortes et libérales, qui soient en rapport avec les lumières actuelles. Mes alliés et moi, nous ne venons que protéger la liberté de vos décisions.
Seite 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Seite 393 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve...
Seite 397 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Seite 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.
Seite 326 - Le temps est superbe ; les chemins sont beaux ; c-'est le reste de l'automne : ce- temps durera encore huit jours ;; et à cette époque nous serons rendus dans nos nouvelles positions. Dans le combat de Maloiaroslavetz la garde italienne s'est distinguée : elle a pris la position et s'y est maintenue Le général baron Delzons, officier distingué , a été tué de trois balles.