La France devant les deux invasions, 1814-1815. [2 pt. With] Pièces justificatives1864 |
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... faisait alliance avec la coalition . Ce résultat qu'il prévoyait émut peu Na- poléon . Plein de confiance dans ses dispositions militaires , il comptait renouveler à Dresde sur l'Elbe les manœuvres qu'il avait exécutées jadis à Vérone ...
... faisait alliance avec la coalition . Ce résultat qu'il prévoyait émut peu Na- poléon . Plein de confiance dans ses dispositions militaires , il comptait renouveler à Dresde sur l'Elbe les manœuvres qu'il avait exécutées jadis à Vérone ...
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... faisait ses dernières dispositions pour assurer sa retraite quand il fut pris soudain d'une attaque d'apoplexie . Revenu à lui et entendant l'armée au- trichienne défiler sous ses fenêtres , ce vieux géné– ral s'écriait dans les ...
... faisait ses dernières dispositions pour assurer sa retraite quand il fut pris soudain d'une attaque d'apoplexie . Revenu à lui et entendant l'armée au- trichienne défiler sous ses fenêtres , ce vieux géné– ral s'écriait dans les ...
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... faisait oublier les difficultés de la route . A Saint - Albin , point in- termédiaire entre Tournus et Mâcon , on fit une halte pour partager le pain et le vin qu'offrirent avec une cordiale hospitalité les habitants de ce bourg ...
... faisait oublier les difficultés de la route . A Saint - Albin , point in- termédiaire entre Tournus et Mâcon , on fit une halte pour partager le pain et le vin qu'offrirent avec une cordiale hospitalité les habitants de ce bourg ...
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... de canon montées sur affût et fit enclouer sur place les deux autres . Le jour même de son dé- part , la municipalité faisait disparaître tous les tra- vaux de défense pour recevoir les Autrichiens ( 1 ) LA BOURGOGNE EN 1814 . 41 N°
... de canon montées sur affût et fit enclouer sur place les deux autres . Le jour même de son dé- part , la municipalité faisait disparaître tous les tra- vaux de défense pour recevoir les Autrichiens ( 1 ) LA BOURGOGNE EN 1814 . 41 N°
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... faisait ses préparatifs de départ et que la garnison avait reçu l'ordre de le suivre . Cette nouvelle qui d'abord semble inadmissible est bien- tôt justifiée par l'évidence . L'exaspération des Cha- lonnais fut au comble . Plusieurs d ...
... faisait ses préparatifs de départ et que la garnison avait reçu l'ordre de le suivre . Cette nouvelle qui d'abord semble inadmissible est bien- tôt justifiée par l'évidence . L'exaspération des Cha- lonnais fut au comble . Plusieurs d ...
Häufige Begriffe und Wortgruppen
alliés armée armes artillerie Augereau Autrichiens avaient avant-postes bataille bataillon batterie Blucher Bourbons Bourg BOURGOGNE braves brigade Bubna Bulow Buonaparte campagne Caulaincourt cavalerie cents Chalon chef chevaux coalition colonel colonnes commandant comte comte d'Artois corps d'armée coup d'artillerie d'infanterie défense département Dessaix détachement devant dirigea dispositions division duc de Castiglione ennemis Étoges Fleury de Chaboulon forces fusils garde nationale garnison gauche général Musnier Genève Grenoble Grouchy guerre habitants hauteurs heures hussards j'ai jour l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe l'Isère ligne Louis XVIII Lyon Mâcon maire Majesté marche maréchal Augereau maréchal Ney Marmont Marne mars ment Meximieux militaires mille hommes ministre Monsieur Montereau mouvement Napoléon nemi nuit officiers ordres Pannetier patriotisme peuple pièces de canon plateau pont position poste préfet prince Prussiens Quatre-Bras régiment replier résistance retraite rétrograde Rhône rive route s'était Saint-Jean-de-Losne Saône Saône-et-Loire Schwartzenberg serait seul Sire soir soldats tion Tournus troupes village Wellington
Beliebte Passagen
Seite 241 - A CES CAUSES, et autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre Conseil et de notre certaine science...
Seite 78 - Monsieur mon frère, vous aurez appris, dans le cours du mois dernier, mon retour sur les côtes de France , mon entrée à Paris, et le départ de la famille des Bourbons. La véritable nature de ces événements doit maintenant être connue de Votre Majesté. Ils sont l'ouvrage d'une irrésistible puissance , l'ouvrage de la volonté unanime d'une grande nation qui connaît ses devoirs et ses droits. « La dynastie que la force avait rendue au peuple français, n'était plus faite pour lui.
Seite 204 - France soit heureuse, que le commerce français renaisse , que les arts, ces bienfaits de la paix, refleurissent, parce qu'un grand peuple ne saurait être tranquille qu'autant qu'il est heureux. Les puissances confirment à l'empire français une étendue de territoire que n'a jamais...
Seite 187 - Mais la guerre était interminable ; c'eût été la guerre civile, et la France n'en serait devenue que plus malheureuse. J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie ; je pars. Vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée ; il sera toujours f 'objet de mes vœux! Ne plaignez pas mon sort ; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire.
Seite 204 - France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire. « La victoire a conduit les armées alliées sur le Rhin. Le premier usage que LL.
Seite 27 - ... de la nation à la formation d'un pacte de famille , qui conservera à jamais la liberté et les droits de tous les Français : je mettrai désormais mon ambition et ma gloire à faire le bonheur de ce grand peuple duquel je tiens tout. Je ne veux point , comme Louis XVIII , vous octroyer une Charte révocable, je veux vous donner une constitution inviolable , et qu'elle soit l'ouvrage du peuple et de moi.
Seite 83 - Mon cousin, le ministre de la Guerre m'a mis sous les yeux la lettre que vous lui avez écrite le 16. Cette lettre m'a vivement peiné. Quoi ! six heures après avoir reçu les premières troupes venant d'Espagne, vous n'étiez pas...
Seite 187 - J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie ; je pars : vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée ; il sera toujours l'objet de mes vœux ! Ne plaignez pas mon sort ; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire. Je veux écrire les grandes choses que nous avons faites ensemble.... Adieu, mes enfants ! Je voudrais vous presser tous sur mon cœur; que j'embrasse au moins votre drapeau !... » A ces mots, le général...
Seite 84 - Gastiglione , gardez le commandement ; si vos soixante ans pèsent sur vous, quittez-le, et remettez-le au plus ancien de vos officiers généraux. « La patrie est menacée et en danger ; elle ne peut être sauvée que par l'audace et la bonne volonté, et non par de vaines temporisations.
Seite 242 - ... car tel est notre plaisir, et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.