| Nicolas Poussin - 1824 - 424 Seiten
...point. Voilà l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède...coûte guère , mais aussi qui ne me guérit de rien. Me voyant dans un semblable état , lequel ne peut durer long-temps, j'ai voulu me disposer au départ.... | |
| Nicolas Poussin - 1824 - 422 Seiten
...point. Voilà l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède...coûte guère , mais aussi qui ne me guérit de rien. Me voyant dans un semblable état , lequel ne peut durer long-temps, j'ai voulu me disposer au départ.... | |
| Ed Mennechet - 1836 - 650 Seiten
...point. Voilà l'état « auquel je suis réduit ; vous pouvez imaginer combien il est « affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le « remède...coûte guère , mais aussi qui ne me guérit de rien. « Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer « long-temps; j'ai voulu me disposer au... | |
| Ed Mennechet - 1836 - 304 Seiten
...l'état auquel je «suis réduit; vous pouvez imaginer « combien il est affligeant. On me pré« che la patience, qui est, dit-on, le « remède à tous...« guère, mais aussi qui ne me guérit « de rien. « Me voyant dans un semblable état , « lequel ne peut durer long-temps, j'ai « voulu me disposer... | |
| Philippe de Chennevières - 1847 - 674 Seiten
...point. Voilà l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède...médecine qui ne coûte guère, mais aussi qui ne guérit de rien. » Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer longtemps, j'ai voulu me... | |
| Félix Sébastien Baron FEUILLET DE CONCHES - 1848 - 430 Seiten
...point. Voilà l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède...coûte guère, mais aussi qui ne me guérit de rien. « Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer long-temps, j'ai voulu me disposer au départ.... | |
| 1848 - 408 Seiten
...combien il est affligeant! « On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à c tous les maux; je la prends comme une médecine qui < ne coûte guère, mais aussi qui ne guérit de rien. « Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut dui rer longtemps, j'ai voulu... | |
| 1853 - 488 Seiten
...Voilà l'état auquel je suis réduit : « vous pouvez vous imaginer combien il » est aflligeant. Ou me prêche la patience, » qui est, dit-on, le...prends, comme une médecine qui ne » coûte guère (l). » Un an seulement après celte cruelle séparation, Nicolas Poussin mourait en chrétien, dans... | |
| Antoine Jules Dumesnil - 1853 - 580 Seiten
...imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous les maux; je la prends comme une médecine qui ne coûte guère, mais aussi qui ne me guérit de rien. Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer longtemps, j'ai voulu me disposer au départ.... | |
| H. Bouchitté - 1858 - 516 Seiten
...pouvez vous imaginer le demeurant1. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous les maux; je la prends comme une médecine qui ne coûte guère, mais aussi qui ne me guérit de rien. « Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer longtemps, j'ai voulu me disposer au départ.... | |
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