Le consulat et l'empire ou histoire de Napoléon Bonaparte, de 1799 à 1815, Band 9 |
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... pouvait restaurer Ferdinand , sans li- vrer l'Espagne à l'Angleterre . Son ouverture à cette puissance ne pouvait avoir d'autre but , que de pa- raître avoir tout épuisé pour faire la paix avant de s'engager dans une nouvelle guerre ...
... pouvait restaurer Ferdinand , sans li- vrer l'Espagne à l'Angleterre . Son ouverture à cette puissance ne pouvait avoir d'autre but , que de pa- raître avoir tout épuisé pour faire la paix avant de s'engager dans une nouvelle guerre ...
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... pouvait desirer , pour l'avantage de son com- merce , dans le tarif des douanes de Russie de 1810 ; à conclure un traité d'échange du duché d'Olden- bourg contre un équivalent convenable . Ces condi- tions étaient définitives . Le ...
... pouvait desirer , pour l'avantage de son com- merce , dans le tarif des douanes de Russie de 1810 ; à conclure un traité d'échange du duché d'Olden- bourg contre un équivalent convenable . Ces condi- tions étaient définitives . Le ...
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... pouvait se suffire à lui - même . a Le 12 , l'Empereur arriva à Koenigsberg et pen- dant cinq jours s'occupa jour et nuit avec son mi- nistre Daru des subsistances , des transports et de la police de l'armée . Il y reçut par son aide ...
... pouvait se suffire à lui - même . a Le 12 , l'Empereur arriva à Koenigsberg et pen- dant cinq jours s'occupa jour et nuit avec son mi- nistre Daru des subsistances , des transports et de la police de l'armée . Il y reçut par son aide ...
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... pouvait plus feindre de croire , comme il l'a- vait fait en donnant l'ordre à Lauriston de se ren- dre auprès d'Alexandre , que l'ambassadeur russe avait mal compris ses instructions . Le mauvais suc- cès de la mission de Narbonne , ne ...
... pouvait plus feindre de croire , comme il l'a- vait fait en donnant l'ordre à Lauriston de se ren- dre auprès d'Alexandre , que l'ambassadeur russe avait mal compris ses instructions . Le mauvais suc- cès de la mission de Narbonne , ne ...
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... pouvait croire que l'ennemi défendrait Wilna . Le 28 , à la pointe du jour , Murat se mit en mou- vement avec l'avant - garde et la cavalerie légère du général Bruyères , appuyé par le corps de Davoust . Après avoir échangé quelques ...
... pouvait croire que l'ennemi défendrait Wilna . Le 28 , à la pointe du jour , Murat se mit en mou- vement avec l'avant - garde et la cavalerie légère du général Bruyères , appuyé par le corps de Davoust . Après avoir échangé quelques ...
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alliés armée armistice arriva attaque Augereau Autrichiens avaient Bagration Barclay bataille bataillons Bautzen Bernadotte blessés Blücher Bohême Bubna c'était campagne canon Caulaincourt cavalerie cent mille cents hommes coalisés combat commandement corps Davoust déclaration départemens devait dévoûment division Dresde ennemis envoya évènemens forces fût garde nationale garnison gauche gouvernement guerre Hambourg heures jours Kutusof l'Angleterre l'armée de Silésie l'armée française l'armistice l'Autriche l'Elbe l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'ennemi laisser Lauriston lettre Macdonald Malet marche maréchal Maret Marmont matin mée ment Metternich militaires mille hommes ministre Minsk Mortier Moscou mouvement Murat n'avait n'était Napo Napoléon Narbonne négociation Niémen nuit Orcha Oudinot paix passa pereur perte plénipotentiaires poléon pont porter position pouvait prince Eugène prit Prusse Prussiens puissances quartier général renforts reste retraite réunir reur Reynier Rhin route Russes s'était Schwarzenberg sénat serait Silésie Smolensk Talleyrand tion Torgau troupes vait Vandamme Varsovie Victor voulait Wellington Wilna Witepsk Wittgenstein
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Seite 634 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties , lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition de Bonaparte , elles doivent être plus favorables lorsque, par un retour vers un gouvernement sage, la France elle-même offrira l'assurance du repos.
Seite 27 - Elle ne veut donner au»cune explication de son étrange conduite, que «les aigles françaises n'aient repassé le Rhin, lais«sant par là nos alliés à sa discrétion...
Seite 461 - D'éclatantes victoires ont illustré les armes françaises dans cette campagne ; des défections sans exemple ont rendu ces victoires inutiles : tout a tourné contre nous ; la France même serait en danger sans l'énergie et l'union des Français. Dans ces grandes circonstances , ma première pensée a été de vous appeler près de moi : mon cœur a besoin de la présence et de l'affection de mes sujets.
Seite 634 - Qu'ils ne traiteront plus avec Napoléon Bonaparte, ni avec aucun membre de sa famille. Qu'ils respectent l'intégrité de l'ancienne France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit Grande et Forte.
Seite 28 - Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant! Passons le Niémen ! Portons la guerre sur son territoire ! La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises comme la première ; mais la paix que nous conclurons portera avec elle sa garantie , et mettra un terme à cette orgueilleuse influence que la Russie a exercée depuis cinquante ans sur les affaires de l'Europe.
Seite 555 - Qu'à la voix de votre souverain, de votre père, vos malheurs soient effacés par l'espérance, vos erreurs par l'oubli, vos dissensions par l'union dont il veut être le gage. » Les promesses qu'il vous renouvelle solennellement aujourd'hui, il brûle de les accomplir, et de signaler par son amour et ses bienfaits le moment fortuné qui, en lui ramenant ses sujets, va lui rendre ses enfans.
Seite 195 - Cela provient toutefois de la faiblesse de votre caractère. Vous êtes un bon soldat sur le champ de bataille, mais, hors de là, vous n'avez ni vigueur, ni caractère... Je suppose que vous n'êtes pas de ceux qui supposent que le lion est mort.
Seite 40 - J'ai entendu avec intérêt ce que vous venez de me dire. Polonais , je penserais et j'agirais comme vous ; j'aurais voté comme vous dans l'assemblée de Varsovie : l'amour de la patrie est la première vertu de l'homme civilisé. Dans ma position, j'ai bien des intérêts à concilier et bien des devoirs à remplir.
Seite 463 - ... ma vie n'a qu'un but, le bonheur des Français. » Cependant, le Béarn, l'Alsace, la FrancheComté, le Brabant sont entamés. Les cris de cette partie de ma famille me déchirent l'âme. J'appelle les Français au secours des Français. J'appelle les Français de Paris, de la Bretagne, de la Normandie, de la Champagne, de la Bourgogne et des autres départements au secours de leurs frères.
Seite 634 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera. Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner un gouvernement provisoire, qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration, et préparer la Constitution qui conviendra au Peuple français.