ABEILARD, ses livres proscrits
en 1141, p. 13, 28.
Acte additionnel de 1815 pro-
clame la liberté de la presse,
P. 174. AMAURY, de Chartres, ses livres
brûlés en 1215, p. 28. ANAXAGORAS, accusé de nier les dieux, échappe avec peine à la condamnation, p. 4. ANTIOCHUS EPIPHANES fait brû- ler les livres des Juifs, p. 4.
ANTISTIUS, auteur de satires
contre Néron, condamné par
le sénat, p. 9.
Approbation des livres, leur exa-
men et correction par l'uni-
versité, dès le xive siècle,
p. 20, 23, etc. Le premier
livre imprimé portant trace
d'approbation, p. 20, Note.
Areopagitica, ouvrage de Milton
sur la liberté de la presse, p. 103, Note, p. 106, p. 148. ARGENTRÉ (Duplessis d'), sa Collectio judiciorum de novis erroribus, citée, p. 56, Note.
ARIUS et ses ouvrages condam-
nés au feu, p. 10.
ARNAUD de Bresse, ses ouvrages
proscrits en 1145, p. 13, 28.
Arrêt du conseil de 1701, qui interdit toute impression qui n'aura pas été permise par juges du lieu et approuvée par personnes capables, p. 89. Arrêt du Parlement de 1579, por- tant défense à tout libraire de faire imprimer hors du royau-
me, sous peine de 4,000 écus
d'amende, p. 67.
Arrét du Parlement de 1768, contre
Jossevand, Lécuyer, etc., col-
porteurs, p. 93.
Arrets de 1666 et de 1670, por-
tant défense de vendre aucuns
libelles, dits gazettes à la
main, p. 86.
Athéisme, cause de proscription chez les Grecs; plusieurs phi- losophes et leurs ouvrages condamnés pour ce motif, p. 2-4.
L'athéisme n'est point le fond de la doctrine
BACHAUMONT, auteur Mémoires secrets, etc., cité, p. 94. BEDA (Noël) fait condamner les Colloques d'Erasme en 1508, Il dénonce un ou- p. 51. vrage de Marguerite de Na- varre, et le fait condamner, p. 53. Il est exilé, p. 54. BEGIN (M.), auteur de l'Histoire des sciences, lettres et arts dans le pays Messin, cité, p. 25, 47. BELLAY (Jean du) sauve l'im- primerie de la proscription la Sorbonne sollicitait contre elle, p. 54. BELLEVILLE (le sieur de), gen- tilhomme, brûlé en 1584 pour quelques écrits contre le Roi, p. 67. BENOIT (René) publie en 1566 une traduction de la Bible, censurée et malgré cela dé- bitée, p. 64, 65. BERQUIN (Louis), gentilhomme, brûlé en 1529 comme luthé- rien, p. 48. BERRY (Mort du duc de), p.181. BEUCHOT (M.), savant bibliogra- phe, rédacteur du Journal de la Librairie, p. 165. A écrit sur la liberté de la presse, p. 104, Note.
BEZE (Théodore de), cité, p. 47, 53.
Bibliothéque d'Alexandrie (la) n'a point été brûlée par Omar, selon M. de Sainte Croix,
Bibliothèque d'Etienne de Can- torbéry, léguée aux pauvres écoliers de l'Université en 1271, en quoi elle consistait, p. 14. Boisor (Charles), envoyé par l'empereur à Metz pour y éteindre la réforme, p. 51. BONALD (M. de) a écrit sur la li-
berté de la presse, p. 105. Bordeaux, troisième ville de France où on a fixé le nombre des imprimeurs en 1688, p. 119. BOREL, auteur du Dictionnaire du vieux langage, cité, p. 26, Note.
BOUCHEL, avocat, a écrit sur les
réglemens de la librairie et de l'imprimerie, p. 106, Note. BOUDOT (M.), conservateur des archives de Bourgogne, cité,
BOUILLEROT (Joseph) et Mou- DIERE (Melchior), impr.-li- braires à Paris, condamnés à l'amende pour avoir imprimé un libelle, p. 72. Bouquinistes, ou libraires éta- leurs, existaient dès le xive siè- cle, p. 19.
BRETON (François le ), avocat, pendu en 1586 pour écrits contre Henri III, p. 68. Brevets délivrés aux imprimeurs et aux libraires par suite du décret du 5 février 1810, p. 121, 142. — Retirés à di- vers imprimeurs et libraires,
Cabinet de lecture, le premier ouvert à Paris, date de 1740, P. 17, Note. CALIGULA se montre d'abord gé- néreux en faisant rechercher les ouvrages qui avaient été proscrits par Auguste et Ti- bère, p. 8.
Caractères de l'imprimerie royale, différens de ceux des autres imprimeries, p. 172. CASSIUS SEVERUS, satirique exilé pour ses ouvrages qui sont brûlés à Rome sous Au- guste et Tibère, p. 6. CAVELAT (Léon), imprimeur de l'Union à Paris, emprisonné pour avoir imprimé le Dia- logue du Manant et du Maheus- tre, p. 69.
Censeurs royaux, leur origine remonte à l'ordonnance de 1629, p. 76.
Censeurs de l'imprimerie et de la librairie établis par le décret du 5 février 1810; dénommés censeurs impériaux par décret du 14 décembre 1810, p. 162. supprimés par l'acte addi- tionnel du 22 avril 1815, p. 174.
Censure, telle qu'elle a existé jus- qu'en 1789; elle a été dès le XIVe siècle entre les mains de
par suite de condamnations, p. 184. BUDE (Guillaume), l'un des ju- ges de Louis Berquin, cité, p. 49.-Il s'oppose au projet de proscrire l'imprimerie en France, p. 55.
l'Université, p. 40; digression sur son établissement et ses diverses modifications jusqu'à cette époque, p. 76-80. Censure temporaire, rétablie par ordonnance de Louis XVIII du 1er avril 1820, p. 182. Censure (Décret de) que l'on dit rendu dans les Etats de Mo- dène en 1828, p. 112-114. Censure (Mandement de) de, l'ar- chevêque de Valencia, publié en octobre 1830, p. 111-112. Chancelier (le) nommait les cen- seurs royaux, p. 76. CHANTELAUZE, ministre signa- taire des ordonnances de juil- let 1830, p. 196, 197. Charenton (Imprimeries établies
à), supprimées en 1620, p. 73. CHARLES IX rend des ordon-
nances sévères contre les im- primeurs, p. 62, 63. CHARLES X succède à Louis
XVIII le 16 septembre 1824; son ordonnance du 24 du même mois de septembre, fa- vorable à la liberté de la presse, p.187.-Autre ordonnance du 24 juin 1827, qui rétablit la censure, p. 188. Fatale or- donnance du 25 juillet 1830, p. 190. Son abdication, p. 198.
Charoy, terme de sorcellerie, Communauté des imprimeurs et
p. 26, Note. Charte constitutionnelle de Louis XVIII proclame la liberté de la presse, avec répression des abus, p. 170.- La même, mo- difié par la Chambre des Dé- putés le août 1830; elle ap- plique le jury aux délits de la presse, p. 198, 199. CHATEAUBRIANT (M. de) a beau-
coup écrit sur la censure et sur la liberté de la presse, p. 104, Note. CHATELAIN (Jean), moine, brûlé à Vic en 1525, pour avoir prêché la réforme, p. 48. CHAUVELIN (M. de), intendant
de Picardie, fait poursuivre Charles Redé, imprimeur à Amiens, p. 91. Chronologie des lois, décrets, ordonnances et réglemens sur la liberté de la presse, de 1789 à 1831 inclusivement, p. 145. CLAUSEL de Cousergue (M.) a écrit sur la liberté de la presse, p. 105, Note. COIGNARD, imprimeur distin- gué de Paris, laissa une for- tune considérable, p. 33, 34,
libraires de Paris, établie en 1615, p. 106. CONDORCET, Son plan de consti- tution en 1793, p. 153. Confrérie des libraires de Paris au xye siècle, P. 23.-Ordon- nance de Louis XI de 1467, où il est question de cette con- frérie, p. 23, Note. Conseil de surveillance de la cen-
sure, ordonnance du 1er avril 1820, p. 182.
CONSTANT (Benjamin) a écrit sur la liberté de la presse, p. 104.
Constitution française de 1791 (la) proclame la liberté de penser, d'écrire et d'impri- mer, p. 152. — Celle de 1793 la proclame également, p.153.
Celle du Directoire, de même, p. 155. Consuls, leur arrêté sur la liberté de la presse, p. 157. Contrefacteurs, les priviléges ont été sollicités pour avoir le droit de les poursuivre, p. 59, 60, Note. COP (Nicol.), recteur de l'Uni- versité, fait complaisamment absoudre du reproche d'héré- sie le Miroir de l'áme pécheresse de Marguerite de Navarre, p. 57. CRAMOISY (Sébastien), célèbre imprimeur de Paris, ne peut obtenir le droit d'imprimer en Lorraine (alors hors de France), p. 81.
CRAPELET (M.) a écrit sur la li- berté de la presse, pour réfu- ter M. de Bonald, p. 105, Note. - Il a aussi réfuté la proposition de Benjamin Con- stant, relative la suppres-
sion des brevets d'impri- meurs, p. 105, Note. CREMIEUX (M.), avocat, défen- seur de M. Chantelauze, lors du procès des ministres en décembre 1830, p. 197. CREMUTIUS CORDUS, historien romain, se tue pour éviter la
DÉCLARATION de Henri II, de 1547, qui ordonne que les noms de l'auteur et de l'im- primeur seront imprimés en tête des ouvrages, p. 58. -- Autres du même roi, de 1547 et 1551, relatives à l'impri- merie, p. 58 et 59. Déclaration de Louis XIII, en
1626, et lettres-patentes, en 1627, contre les abus de la
presse, p. 74. Déclaration de Louis XIV, de
1674, qui révoque toute per- mission aux communautés re- ligieuses, et aux particuliers d'avoir des imprimeries parti- culières, p. 87. Déclaration de Louis XV, de 1728, qui renouvelle tous les édits et ordonnances de ses prédécesseurs contre les abus de la presse, p. 9o. Déclaration de Louis XVIII sur la liberté de la presse, p. 170. Décret de la Convention de juillet 1793, relatif aux droits de propriété des auteurs, etc., p. 154. Décret impérial du 22 mars 1805, sur la propriété des ouvrages posthumes, p. 159. Décret impérial du 5 février 1810, contenant réglement de l'im-
vengeance de Tibère ; ses An- nales sont proscrites, p. 7. CREVIER, historien, cité au su- jet des indulgences, p. 41, 42, Note. CROMÉ (Louis Morin dit), réputé auteur du Dialogue du Manant et du Maheustre, p. 70, Note.
primerie et de la librairie, p. 159.-Autres décrets impé- riaux, découlant du précédent, sur les imprimeurs, les librai- res, les journalistes, les cen- seurs, les inspecteurs, p. 158- 168.
Dépôt à la bibliothéque du Roi, puis ailleurs, d'exemplaires des livres imprimés, gravures, etc., d'abord prescrit à deux exem- plaires en 1617, p. 87,-puis à huit en 1704, p. 89,-réduit à deux en 1793, p. 154, - porté à cinq en juillet 1812, p.168,- et enfin réduit à deux en janvier 1828, p. 188. DIAGORAS de Melo, sa personne et ses ouvrages proscrits pour cause d'athéisme, p. 2. Dialogue du Manant et du Maheus- tre, etc., pamphlet qui a fait beaucoup de bruit dans le temps, p. 69, Note. DIOCLETIEN, sa persécution, il fait brûler les livres saints, p. 10. Direction générale de l'imprime- rie et de la librairie, établie par décret du 5 février 18.0, Supprimée par décret impérial de mars 1815, p.173. -Rétablie au retour du Roi, en juillet 1815, p. 175. Directoire (le) assujettit, en avril
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