CHAPITRE I.

DEUXIÈME PARTIE.

LA RÉVOLUTION.

Situation intérieure de la France.

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d'un établissement dans l'Archipel. Vues du marquis
de Bouillé sur l'Égypte. Singulière proposition qui lui

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est faite. - Assemblée des notables, dont M. de Bouillé
est nommé membre par le roi. Le parlement de Paris
et l'ordre du clergé demandent les états généraux.
Exil du parlement. - Nomination du marquis de Bouillé
au commandement de la province des Trois-Évêchés.—
Il est désigné comme général en chef d'une armée com-
binée française et espagnole. — Retour du parlement de
Paris.-Projet d'une cour plénière. Suspension et exil
de tous les parlements. M. Necker remplace l'arche-
vêque de Sens au ministère. (1785-1788.).
CHAP. II. — Entretien du marquis de Bouillé avec le comte
de Montmorin au sujet des troubles de Bretagne. - Vues
politiques de M. Necker. Aperçu de l'esprit de la
société à cette époque. · Seconde assemblée des no-
tables. Entretien du marquis de Bouillé avec Mon-
sieur. Proposition que lui fait l'ambassadeur de Suède
à Paris. M. de Bouillé se rend à Metz pour les élections
aux états généraux. Mesures qu'il prend pour remé-
dier à la disette des grains.-Émeutes dirigées à ce
sujet contre lui. — Ouverture des états généraux. — Ras-

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semblement d'une armée autour de Paris.
de la révolution. (1788 1789.)..

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Nouvelle situation

Ses efforts pour main-

du marquis de Bouillé à Metz.
tenir la fidélité et la discipline des troupes. Ouver-
tures qui lui sont faites par M. de La Fayette. Tracas-
series qu'il éprouve de la part des nouvelles autorités de
Metz. -Son projet de quitter la France. Lettre du roi
qui l'en détourne. Lettres du comte de La Tour-du-
Pin, ministre de la guerre. Fédération à Metz. - Le

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marquis de Bouillé fait sonder les intentions de M. de
La Fayette et essaye de l'amener à une coopération effi-
cace, en vue du salut de la monarchie et du roi. (4789-
4790.).
CHAP. IV. ·lusurrection générale dans l'armée. Faits
particuliers à la garnison de Metz. - Le marquis de
Bouillé est nommé général en chef de l'armée de Meuse,
Sarre et Moselle. - Ses nouvelles dispositions militaires.
-Révolte des troupes de la garnison de Nancy et d'une
partie du peuple de cette ville. Combat du 31 août.
(1790.).
CHAP. V.

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Dispositions des esprits, parmi le peuple et les
troupes, envers M. de Bouillé, après l'affaire de Nancy.
- Il visite les provinces de son commandement.

- Leur
situation. Projet conçu pour rendre au roi sa liberté.

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Premières ouvertures de Louis XVI à ce sujet. — Mis-
sion du fils aîné de M. de Bouillé à Paris pour concerter
le plan et les moyens d'exécution de l'entreprise. — Cor-
respondance établie entre le roi et M. de Bouillé. Dé-
tails sur la position de la forteresse de Montmédy choisie
pour lieu de la retraite de Louis XVI. Rapports avec
la cour de Vienne. Tentatives des partis révolution -
naires auprès de M. de Bouillé. - Projet que lui fait
présenter Mirabeau pour agir de concert avec lui. (1790-
1791.).

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CHAP. VI. Dispositions préparatoires pour le camp de
Montmédy. Jour fixé et annoncé par le roi pour son
départ. Nombre et emplacement des escortes sur sa
route. Instructions données au duc de Choiseul et à
M. de Goguelat en les envoyant près de Louis XVI. —
Effets d'un retard de vingt-quatre heures dans le départ
de la famille royale. Contre-temps divers. Ordre
pour les troupes sur la ligne d'escorte. Dernières
dispositions pour recevoir le roi. Inutilité des secours
pour sa délivrance. Le marquis de Bouillé est obligé
de chercher un refuge hors de France. (1791.).

TROISIÈME PARTIE.

L'ÉMIGRATION.

CHAP. I. Le marquis de Bouillé se rend à Luxembourg.

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Sa lettre à l'Assemblée nationale. Lettres que lui
adressent à cette occasion Louis XVI, le roi de Prusse et
le roi de Suède. Réunion à Bruxelles de Monsieur
et de M. le comte d'Artois. Lettre de ce dernier prince
à M. de Bouillé. Sentiment de M. de Bouillé sur les
nouvelles circonstances où il se trouve placé. — Il se
rend à Mayence, pour conférer avec l'envoyé de Prusse,
puis à Coblentz. - Rassemblements des émigrés autour
des princes français à Coblentz et à Worms. - M. de
Bouillé visite le roi de Suède, Gustave III, à Aix-la-Cha-
pelle. (1791.).

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CHAP. II. Le marquis de Bouillé s'établit à Mayence. -
Il est appelé par le roi de Prusse à la conférence qui
doit se tenir à Pilnitz au sujet des affaires de la France.
- Conseil des princes,

Il se rend d'abord à Coblentz.

dont il est admis à faire partie. Pleins pouvoirs qu'il

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reçoit de Monsieur, frère du roi. Conférences de
Pilnitz. M. de Bouillé suit l'empereur à Prague, sur
l'ordre de ce monarque. Sommes remises aux princes
français par M. de Bouillé.

émigrés. État de l'émigration. Lettres de M. le
comte d'Artois et de M. de Calonne au marquis de Bouillé
sur la situation du moment. (1791.).. .

Plan d'opération pour une descente sur les
côtes de France. Mort du roi de Suède et de l'empe-
reur. Conséquences qui en résultent. -Louis XVI est
contraint de proposer la guerre. - Impression produite
au dehors par le décret de l'Assemblée nationale.
Dispositions particulières du roi de Prusse et de son
cabinet. Revue de Magdebourg pour régler le plan de
campagne. Le marquis de Bouillé y est appelé par le

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terminations prises au sujet de l'armée des émigrés.
Sentiments des princes français touchant les mesures
adoptées par les souverains alliés. — Circonstances par-
ticulières et lettres du comte de Schulembourg, ministre
prussien, au marquis de Bouillé. Lettres confiden-
tielles sur la situation du moment. (1792.).
CHAP. IV. — Réunion du nouvel empereur et du roi de
Prusse à Mayence. - Dispositions de la marche des ar-
mées alliées contre la France. - Intentions de Louis XVI
relativement à l'emploi des émigrés. Mission confiée
par lui à M. Mallet du Pan. Le marquis de Bouillé fait
la campagne de 1792, comme volontaire, auprès de M. le
prince de Condé. Il se rend en Suisse pour négocier
au sujet du passage du Rhin. Lettres de M. le prince
de Condé relatives à cet objet. M. de Bouillé se rend
en Hollande; puis, à l'occasion du procès du roi, il passe
en Angleterre, d'où il envoie une déclaration pour la
défense de ce prince. Réponse de M. de Malesherbes.
(1792-1793.). .

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CHAP. V. Changement produit par la mort de Louis XVI

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sur la situation des royalistes au dehors.

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M. de Bouillé
est proposé pour le commandement de l'armée hollan-
daise. Sur l'invitation du duc d'York, il se rend au
quartier général anglo-hanovrien. Il est consulté par
le gouvernement anglais au sujet des Antilles. - Le
commandement des armées de la Vendée lui est offert.
-Lettres des chefs vendéens et des princes français à
cette occasion. M. de Bouillé n'accepte pas. Il ob-
tient des secours pour M. le prince de Condé et fait
admettre son corps d'armée à la solde de l'Angleterre.

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Il est choisi par le gouvernement anglais pour aller
exercer le commandement civil et militaire de Saint-
Domingue. Causes qui s'opposent à ce qu'il remplisse
cette destination. Publication des mémoires du mar-
quis de Bouillé.

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Sa mort. (1795-1800.).

FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.

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