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des Austro-Napolitains sur la Nura.
détache le général Grenier sur le Pô.

-

- Le Vice-roi

- Combats de
Sacca et de Guastalla. Retraite de Joachim sur la
Secchia. Débarquement du corps anglo- sicilien à
Livourne, et ses premières opérations,
CHAP. XXII. La division légère du comte de Bubna se
porte de Genève sur Lyon. Situation politique de
cette ville. - Le duc de Castiglione y arrive, et l'ennemi
Combat de Rumilly. Prise de Chambéry

-

-

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se retire.
par l'ennemi.
Arrivée des troupes de Catalogne et
organisation du corps du Rhône. Le duc de Casti-
glione prend l'offensive et repousse le comte de Bubna
au-delà de Lons-le-Saulnier, Le général Marchand
arrive sous Genève. Formation et marche de l'armée
alliée du Midi, Le duc de Castiglione se replie sur
Lyon, et se porte par la rive droite de la Saône au-
devant d'elle.. Combats de Mâcon et de St.-Georges.

-

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Bataille de Limonest. Evacuation de Lyon.
L'armée française se retire sur l'Isère,

CHAP. XXIII. Opérations militaires sur la ligne des Pyré-
nées. - Bataille d'Orthez.

-

Occupation de Bordeaux
par les Anglais. Combats d'Aire, de Vic-Bigorre et
de Tarbes. Retraite du duc de Dalmatie sur Toulouse.
-Prise des garnisons de Lérida, Mequinenza et Mon-
zon.-Concentration de l'armée d'Aragon sous Figuères.
- Ferdinand VII est rendu aux Espagnols.
CHAP. XXIV. Congrès de Châtillon.

-

-

Traité de la qua-

druple alliance.
Rupture du Congrès. Traité si-
mulé avec le Pape. - Situation intérieure de l'Empire.
CHAP. XXV. Marche des Alliés sur Paris, Double com-
bat de Fère-Champenoise. Combats de Sézanne, de
Chailly, de La Ferté-Gaucher et de Moutis, de Trilport
et de Meaux, de Ville-Parisis. Les Alliés arrivent
devant Paris.

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--

CHAP. XXVI. Topographie du champ de bataille.
Situation politique et militaire de la Capitale. Dispo-
sitions de défense. — Plan d'attaque des Alliés.

pag. 163

211

268

320

381

414

CHAP. XXVII. Bataille de Paris.

CHAP. XXVIII. Les Préfets de la Seine et de police se
rendent avec une députation du corps municipal au
quartier-général des Alliés, pour réclamer la conser
vation de la Garde parisienne. - Entrée des Souverains
à Paris, Révolution du 31 mars. Déclaration de
l'Empereur Alexandre. Mesures prises pour le ser-
vice intérieur de Paris. - Déclaration du Conseil muni-
cipal. — Acte de déchéance de l'Empereur Napoléon,
prononcé par le Sénat, Gouvernement provisoire.

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-

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Adhésion du Corps législatif à l'acte de déchéance.
Mesures régulatrices de la résolution prise par le Gou-
vernement provisoire.

-

pag. 449

CHAP. XXIX. Dernières opérations de la grande armée
française. Combat de Saint-Dizier.
Marche sur
Fontainebleau. L'Empereur quitte son armée, et se
rend en poste à Paris. Il rencontre à la Cour-de-
France la tête de colonne des ducs de Trévise et de
Raguse, et se décide à retourner à Fontainebleau.
L'armée prend position sur l'Essonne. Communi-
cation du Généralissime au duc de Raguse. Abdica-
tion conditionnelle de Napoléon. Départ des Maré-
chaux chargés de la porter à Paris aux Souverains
alliés.

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-

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CHAP. XXX. Défection du comte Souham avec les troupes
du duc de Raguse. — Négociations des Maréchaux avec
les Souverains, relativement à l'abdication condition-
nelle de Napoléon. Refus de cette abdication.
Constitution du Sénat. Négociations entamées par
les Maréchaux sur la base de l'abdication absolue.
Insurrection des troupes du duc de Raguse. — La Garde
parisienne prend la cocarde blanche. Abdication
absolue de Napoléon. — Adhésion de la grande armée.
Arrivée de Monsieur à Paris. Le Sénat lui confère

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le titre de Lieutenant-Général du Royaume.

CHAP. XXXI. Dernières Opérations militaires en Belgique.
Opérations

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Combat de Courtray. Armistice.

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50y

547

580

dans la rivière de Gênes. — Evacuation de cette ville.

-

-

Armistice.
Opérations sur le Taro.

d'Italie rentre en France.

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Opérations du corps du

Rhône. — Armistice. — Opérations des armées du Midi.

- Bataille de Toulouse. Rentrée en France de l'armée

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-

CHAP. XXXII. Convention du 23 avril. Evacuation du
territoire français. Débarquement de Louis XVIII à
Calais. Agitation des partis. Déclaration du 2 mai.
Entrée du Roi à Paris. - Paix du 28 mai. — Charte
constitutionnelle.

-

-

-

Conclusion.

FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.

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ᎬᎡᎡᎪᎢᎪ

DU TOME SECOND.

Pages. Lignes,

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29

45

81

96

107

171

174

175

27

l'ordre définitif de l'attaque; lisez, l'ordre précis de
l'attaque.

8 n° XIV; lisez, n° XIII.

20

Mériot-au-Port; lisez, Mériot, an Port.

5 ayant des avant-postes; lisez, et mit ses avant-postes.
le 18, l'armée de Silésie; lisez, le 18, le feld-maréchal
Blucher.

22

15 4,000 hommes; lisez, 3,000 hommes.

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185 4

206

218

232

234

240

250

19

forte de 84 bataillons et 62 escadrons, formant environ
70 mille hommes; lisez, forte de 78 bataillons et
64 escadrons, formant environ 55 mille hommes.
les îles du golfe; lisez, les îles du golfe de Naples.
s'étant mis en contact; lisez, s'étant mises en contact.
Remilli; lisez, Remelli.

Bozzolo; lisez, Pozzolo.

23 qui passe à Bourg; lisez, cette dernière passe à Bourg.
le trait trop connu; lisez, le trait trop peu connu.

12

22

et que la prudence conseillait d'aller; lisez, et con-
seillèrent d'aller.

24 quelques historiens allemands; lisez, quelques chro-
niques allemandes.

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280

294

2

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il ne les eût mis; lisez, il les eût mis.

de ses dernières; lisez, de ces dernières.

de notre marche; lisez, de cette marche.
15 qui leur; lisez, qui lui.

7

452 8 à l'extrême droite; lisez, à l'extrême gauche.

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565

571

626

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27

12

et Pantin; le 6o corps; lisez, et Pantin, et le 6o corps.
Schakowskoi; lisez, Schaschafskoi.
arriver avant lui; lisez, le prévenir.

le reste des troupes; lisez, le reste de ses troupes.
d'y fusiller; lisez, de fusiller.

et Napoléon; lisez, mais Napoléon.

d'Erolle; lisez, d'Ecolle.

16 par un malheur trop ordinaire dans les révolutions, le Gouvernement; lisez, par suite des mesures prises

pour ôter à Napoléon le moyen de continuer la guerre, le Gouvernement.

18 qui gardait la salle; lisez, qui gardait aussi la salle.

Plusieurs renseignemens nous sont parvenus trop tard pour en faire usage, comme nous l'aurions désiré; mais nous croyons devoir dès ce moment en prévenir nos lecteurs, afin qu'ils n'imputent ni à ignorance, ni à mauvaise volonté, les erreurs qui subsistent dans ces Mémoires.

CHAPITRE Iг. L'organisation de la cavalerie française fut déterminée le 12 décembre 1813, par un décret impérial. Les régimens de cuirassiers et de dragons devaient être portés au complet de 550 hommes; ceux de cavalerie légère à 750.

Les 7o de chevau-légers et 13o de hussards furent supprimés, et réunis aux 8 et 14.

L'intention de l'Empereur était que les 1er et 14o de hussards, les 4o, 19° et 31o de chasseurs, eussent chacun 6 escadrons, dont 2 d'éclaireurs. Les 40 autres régimens de cavalerie légère devaient avoir seulement un escadron de 250 hommes, montés sur des chevaux de la plus petite taille.

CHAP. XV. Parmi les généraux français mis hors de combat à la bataille de Craone, nous n'avons pas fait mention du général de division Boyer (Pierre), qui eut la cuisse cassée; et cette erreur

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