Manuscrit de mil huit cent quatorze: Trouvé dans les voitures impériales prises à Waterloo, contenant l'histoire des six derniers mois du règne de NapoléonGood Press, 25.04.2021 - 311 Seiten Le livre "Manuscrit de mil huit cent quatorze" écrit par Agathon-Jean-François baron Fain est un récit historique captivant qui offre un aperçu détaillé de l'année 1814 en France. Avec une prose élégante et une attention minutieuse aux détails, Fain éclaire les événements politiques et sociaux de l'époque, offrant ainsi aux lecteurs une compréhension approfondie de cette période tumultueuse. L'ouvrage est un précieux document historique qui allie rigueur académique et récit narratif, ce qui le rend à la fois informatif et divertissant pour les amateurs d'histoire. Agathon-Jean-François baron Fain, en tant que secrétaire de Napoléon, apporte une perspective unique à son récit, offrant des insights perspicaces sur les coulisses du pouvoir et les intrigues politiques de l'époque. Son expérience personnelle au service de l'empereur lui confère une crédibilité et une profondeur supplémentaires en tant qu'observateur privilégié de cette période de l'Histoire. Je recommande vivement "Manuscrit de mil huit cent quatorze" à tous les lecteurs intéressés par l'histoire de la France et par une analyse minutieuse des événements clés de l'année 1814. |
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... qu'à sauver la France, ou à succomber avec elle. Napoléon est de retour à Paris le 9 novembre 1813. Il met toute son activité à tirer parti des moyens qui lui restent. Ses premiers mots au sénat sont ceux-ci: «Toute l'Europe marchait ...
... qu'à sauver la France, ou à succomber avec elle. Napoléon est de retour à Paris le 9 novembre 1813. Il met toute son activité à tirer parti des moyens qui lui restent. Ses premiers mots au sénat sont ceux-ci: «Toute l'Europe marchait ...
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... qu'à une paix prompte, franche, et qui préservât la France de toute invasion étrangère. Cependant ce n'était pas la cessation des hostilités qui était offerte à Napoléon pour prix de son adhésion aux bases proposées; c'était seulement l ...
... qu'à une paix prompte, franche, et qui préservât la France de toute invasion étrangère. Cependant ce n'était pas la cessation des hostilités qui était offerte à Napoléon pour prix de son adhésion aux bases proposées; c'était seulement l ...
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... qu'à son ministre; mais, dédaignant d'approfondir les secrètes intentions des frondeurs, et ne voulant y voir que les préventions d'un parti qu'on peut ménager, il croit devoir y céder, et, par cette concession faite au retour de la ...
... qu'à son ministre; mais, dédaignant d'approfondir les secrètes intentions des frondeurs, et ne voulant y voir que les préventions d'un parti qu'on peut ménager, il croit devoir y céder, et, par cette concession faite au retour de la ...
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... même les assurances que donne l'Angleterre, il reste encore aux alliés une telle idée de nos ressources, qu'ils pensent ne pouvoir entreprendre l'invasion du territoire français qu'à l'aide d'un développement de forces immenses.
... même les assurances que donne l'Angleterre, il reste encore aux alliés une telle idée de nos ressources, qu'ils pensent ne pouvoir entreprendre l'invasion du territoire français qu'à l'aide d'un développement de forces immenses.
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... qu'à l'aide d'un développement de forces immenses. La seule opération du passage du Rhin les intimide au point qu'ils ne voient d'autre parti à prendre que d'éluder la difficulté, en violant la neutralité des Suisses. Dès le 18 novembre ...
... qu'à l'aide d'un développement de forces immenses. La seule opération du passage du Rhin les intimide au point qu'ils ne voient d'autre parti à prendre que d'éluder la difficulté, en violant la neutralité des Suisses. Dès le 18 novembre ...
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Manuscrit de mil huit cent quatorze: Trouvé dans les voitures impériales ... Agathon-Jean-François baron Fain Eingeschränkte Leseprobe - 2022 |
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