Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Band 2;Band 6Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1864 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 24
Seite 30
... tombe de laquelle la gloire s'épanouit comme une fleur , et l'oreiller se déro- bait sous lui . Il était tellement ... tomber leur obole , et de ce tribut prélevé sur l'indifférence réelle ou machinale , elles vont vêtir les orphelins et ...
... tombe de laquelle la gloire s'épanouit comme une fleur , et l'oreiller se déro- bait sous lui . Il était tellement ... tomber leur obole , et de ce tribut prélevé sur l'indifférence réelle ou machinale , elles vont vêtir les orphelins et ...
Seite 41
... tombe du poète national qui avait popularisé notre province en rendant à ses mœurs partriarcales et à ses antiques pardons la physionomie primitive et la belle cou- leur poétique qu'ils garderont , elle ignorait , ou mieux , elle n ...
... tombe du poète national qui avait popularisé notre province en rendant à ses mœurs partriarcales et à ses antiques pardons la physionomie primitive et la belle cou- leur poétique qu'ils garderont , elle ignorait , ou mieux , elle n ...
Seite 45
... tombe qui cachait aujourd'hui la relique et le souvenir , vivait et souriait toujours l'espérance qui en était le len- demain , et , au - dessus du berceau - nacelle qui la contenait , on reconnaissait l'auréole de la jeune et angélique ...
... tombe qui cachait aujourd'hui la relique et le souvenir , vivait et souriait toujours l'espérance qui en était le len- demain , et , au - dessus du berceau - nacelle qui la contenait , on reconnaissait l'auréole de la jeune et angélique ...
Seite 49
... tombe du Grand - Bé et de l'y conduire , amènera le onzième anniversaire du décès de l'au- teur de la Thébaïde . La mort l'avait surpris prématurément à l'âge de cinquante et un ans , lorsqu'il écrivait sa dernière Églogue de pêcheurs ...
... tombe du Grand - Bé et de l'y conduire , amènera le onzième anniversaire du décès de l'au- teur de la Thébaïde . La mort l'avait surpris prématurément à l'âge de cinquante et un ans , lorsqu'il écrivait sa dernière Églogue de pêcheurs ...
Seite 50
... tombe du barde ; c'était un bouquet des fleurs qu'il avait lui - même cultivées ; c'était le lever définitif de l'étoile entrevue ; c'était l'ouvrage de sa pensée sauvé de l'oubli et déposé religieuse- ment à côté de l'ouvrage de sa foi ...
... tombe du barde ; c'était un bouquet des fleurs qu'il avait lui - même cultivées ; c'était le lever définitif de l'étoile entrevue ; c'était l'ouvrage de sa pensée sauvé de l'oubli et déposé religieuse- ment à côté de l'ouvrage de sa foi ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
2e SÉRIE Aneurin Anglo-Saxons ann noz armée Arthur aujourd'hui barde Bardes bretons barz bataille beau Beaumont Boulay-Paty Bretagne Bretons du Nord c'était Cadwallon Caltraez Cambriens capitaine celtique Cerdic chants charmante Châteaubriand chef cher Cholet chose chrétien cœur combat concours couronne d'Arthur d'Urien devant dire Domnonée ennemis esprit fils fleuve Gallois gloire Gododin Guanches guerriers gwerz Harpe hélas héros hommes Hurleur Irlandais j'ai jeune jour jusqu'à Kendelann l'abbé Defourny l'Académie l'histoire L'Idée de Dieu laisse langue lauréat légende Léonce livres Louis lutte main ment monde monuments mort moyen-âge mur d'Antonin Nantes nationale Nennius Northumbrie passé pays paysage pensée peuple philosophie poésie poète porte prince qu'une race religieuse religion Renan reste Rhin Rhuys roman ruines Rumengol saint saint Gildas sang Sarzeau Saverne Saxons science sentiment seul Stofflet Taine talent terre tête tion Treillières trouver Urien Vendéens vieux Villemarqué voilà voix vrai Wessex XVIIIe siècle yeux
Beliebte Passagen
Seite 206 - Je vois ... un grand combat se préparer contre l'Eglise sous le nom de philosophie cartésienne. Je vois naître de son sein et de ses principes , à mon avis mal entendus, plus d'une hérésie; et je prévois que les conséquences qu'on en tire contre les dogmes que nos pères ont tenus, la vont rendre .odieuse et feront perdre à l'Église tout le fruit qu'elle en pouvait espérer, pour établir dans l'esprit des philosophes la divinité et l'immortalité de l'âme.
Seite 201 - Encore un hymne , ô ma lyre ! Un hymne pour le Seigneur ! Un hymne dans mon délire , Un hymne dans mon bonheur...
Seite 400 - Vous trouverez, mon cher, mes rimes bien mauvaises; Quant à ces choses-là, je suis un réformé". Je n'ai plus de système, et j'aime mieux mes aises; Mais j'ai toujours trouvé honteux de cheviller. Je vois chez quelques-uns, en ce genre d'escrime, Des rapports trop exacts avec un menuisier".
Seite 443 - C'est à ce moment que l'on sent naître en soi la notion de la Nature. Par cette hiérarchie de nécessités, le monde forme un être unique, indivisible, dont tous les êtres sont les membres. Au suprême sommet des choses, au plus haut de l'éther lumineux et inaccessible, se prononce l'axiome éternel, et le retentissement prolongé de cette formule créatrice compose, par ses ondulations inépuisables, l'immensité de l'univers.
Seite 243 - Eh bien! qu'il soit permis d'en baiser la poussière Au moins crédule enfant de ce siècle sans foi, Et de pleurer, ô Christ! sur cette froide terre Qui vivait de ta mort, et qui mourra sans toi ! Oh!
Seite 445 - Le vice et la vertu sont des produits comme le vitriol et le sucre, et toute donnée complexe naît par la rencontre d'autres données plus simples dont elle dépend.
Seite 445 - C'est un animal; sauf quelques minutes singulières, ses nerfs, 'son sang, ses instincts le mènent. La routine vient s'appliquer par-dessus, la nécessité fouette et la bête avance.
Seite 399 - Quelques vers toutefois qu'Apollon vous inspire, En tous lieux aussitôt ne courez pas les lire. Gardez-vous d'imiter ce rimeur furieux...
Seite 449 - Si l'on supprime l'homme, Dieu n'existe plus. Point d'humanité, point de pensée, point d'idéal, point de Dieu, puisque Dieu n'existe que pour l'être pensant. L'Être universel, le Dieu réel, s'il est permis de parler ainsi, existerait toujours, attendu que l'Être est nécessaire, et que l'Être pensant n'en est qu'une forme contingente, si supérieure qu'elle soit ; mais le Dieu vrai aurait cessé d'exister.
Seite 443 - Elle n'est point comprise en eux, et ils se dérivent d'elle. Toute vie est un de ses moments, tout être est une de ses formes ; et les séries des choses descendent d'elle, selon des nécessités indestructibles, reliées par les divins anneaux de sa chaîne d'or.