| François Guizot - 1879 - 826 Seiten
...m'écrivez toujours comme si la paix dépendait de moi ; cependant je vous ai envoyé les pièces. Si les Parisiens veulent voir les Cosaques, ils s'en...repentiront, mais encore faut-il leur dire la vérité. » do Pau, aux environs d'Orthez; là les Anglais l'avait attaqué, le "27 février au matin, sur une... | |
| Arthur-Léon Imbert de Saint-Amand - 1885 - 390 Seiten
...m'écrive/ toujours comme si la paix dépendait de moi ; cependant, je vous ai envoyé les pièces. Si les Parisiens veulent voir les Cosaques, ils s'en repentiront; mais, encore une fois, faut-il dire la vérité ? Je n'ai jamais cherché les applaudissements des Parisiens. Je... | |
| Antoine Guillois - 1889 - 724 Seiten
...secours à Berthollel. 448 I 11 disait aussi, en 1815, dans une de ses lettres iXXVllI, p. 30">) : « Je n'ai jamais cherché les applaudissements des Parisiens. Je ne suis pas un caractère d'opéra. » 449 1 7 octobre, au ministre des relations extérieures. 451 1 Considérations sur 18U et 1815.... | |
| Arthur Lévy - 1893 - 680 Seiten
...triomphale à Paris, à la tête de ses armées victorieuses; aussi at-il pu dire de lui-même : « Je n'ai jamais cherché les applaudissements des Parisiens, je ne suis pas un caractère d'opéra (2). » Un esprit friand des satisfactions réservées pour ainsi dire aux souverains n'aurait pas... | |
| Euclides Pereira de Mendonça - 1957 - 145 Seiten
...Vous m'écrivez toujours comme si la paix dépendait de moi, cependant je vous ai envoyé les pièces. Si les Parisiens veulent voir les Cosaques, ils s'en...repentiront, mais encore faut-il leur dire la vérité. Je n' ai jamais cherché les applaudissements des Parisiens. Je ne suis pas un caractére d'Opera. D'ailleurs... | |
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