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... Gravelines . DU BOSQUET Voici la somme que je vous dois . L'INTENDANT ( étonné ) Quelle somme ? DU BOSQUET Votre part dans les bénéfices que j'ai réalisés sur les achats de blé où je vous ai intéressé . L'INTENDANT ( embarrassé ) En ...
... Gravelines . DU BOSQUET Voici la somme que je vous dois . L'INTENDANT ( étonné ) Quelle somme ? DU BOSQUET Votre part dans les bénéfices que j'ai réalisés sur les achats de blé où je vous ai intéressé . L'INTENDANT ( embarrassé ) En ...
Seite 90
... Gravelines , chez sa grand'mère , la feue marquise d'Arbeville , qui ne ressemblait guère aux femmes d'aujour- d'hui , si ce n'est à Madame ; elle l'emmenait courir des bordées dans des barques de pêcheurs et lui enseignait des chansons ...
... Gravelines , chez sa grand'mère , la feue marquise d'Arbeville , qui ne ressemblait guère aux femmes d'aujour- d'hui , si ce n'est à Madame ; elle l'emmenait courir des bordées dans des barques de pêcheurs et lui enseignait des chansons ...
Seite 93
... Gravelines , nous autres corsaires ... MADAME D'ARBEVILLE Ah ! Monsieur , parlez pour lui ... chez vous le corsaire disparaît derrière le gentilhomme . FORBIN ( avec un peu de suffisance ) Mon Dieu ! Madame , j'ai pu , en effet , malgré ...
... Gravelines , nous autres corsaires ... MADAME D'ARBEVILLE Ah ! Monsieur , parlez pour lui ... chez vous le corsaire disparaît derrière le gentilhomme . FORBIN ( avec un peu de suffisance ) Mon Dieu ! Madame , j'ai pu , en effet , malgré ...
Seite 127
... Gravelines , chez le duc de Provani , le cœur me fend de vous enlever cette dernière ressource ! mais comme on m'offre cinquante livres pour le sac , je ne puis refuser . TOUS Les derniers sacs ! ... non , non . DU BOSQUET J'en suis ...
... Gravelines , chez le duc de Provani , le cœur me fend de vous enlever cette dernière ressource ! mais comme on m'offre cinquante livres pour le sac , je ne puis refuser . TOUS Les derniers sacs ! ... non , non . DU BOSQUET J'en suis ...
Seite 191
... , debout derrière le fauteuil , dans une attitude bénissante . A gauche , les officiers découverts , recueillis . Un rayon de soleil couchant illumine la figure de Jean Bart . FIN DE GRAVELINES ( depuis son origine jusqu'à nos Jours ) 191.
... , debout derrière le fauteuil , dans une attitude bénissante . A gauche , les officiers découverts , recueillis . Un rayon de soleil couchant illumine la figure de Jean Bart . FIN DE GRAVELINES ( depuis son origine jusqu'à nos Jours ) 191.
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Anglais août avaient avez bâtiments Bergues blancs BOESCH BOSQUET Bourbourg BOURGMESTRE Bourgogne brigands BRISBOIS Calais canal canal de Bergues canal de Furnes capitaine chef cher Neveu chère Sœur CHIRURGIEN colonie commandant commerce comte comte d'Estrades Confréries curé D'ARBEVILLE d'Haïti d'Ypres dernier Dessalines docteur Dominique Le Maire Drincham Dunkerque Dunkerquois échevins enfants flamand Flandre Fockedey FORBIN française frégates frère général gouverneur Gravelines guerre habitants Henri Henri Christophe Hollandais hommes j'ai Jean Bart Jean-Jacques Dessalines Jérémie jour juin kerque Kingston Kingston Jamaïque KLAAS l'abbé l'assemblée l'église L'INTENDANT l'Union Faulconnier LAFROUSSE Leduc lettre Lille Loge Louis XIV Madame Mademoiselle Magistrat maison MANCEL MARIE marine maritime matelots médecine ment mesure 0 Moëres mort mulâtres navires négociant nègres NICOLAS BART Nord officiers passer PAULINE pays père peuple PONTCHARTRAIN port Port-au-Prince premier présent président prince procession reste RUYTER Saint-Domingue Saint-Omer sera seul sieur Simon Société sort terre tion trouve vaisseau
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Seite 310 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Seite 307 - Ces discours sont fort beaux, mais fort souvent frivoles, Je ne vois point l'effet répondre à ces paroles; Et, faute d'admirer les Grecs et les Romains, On s'égare en voulant tenir d'autres chemins.
Seite 322 - Mais elle était du monde où les plus belles choses Ont le pire destin, Et, rosé, elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Seite 310 - Cependant l'obscurité redouble : les nuages abaissés entrent sous l'ombrage des bois. La nue se déchire, et l'éclair trace un rapide losange de feu. Un vent impétueux, sorti du couchant, roule les nuages sur les nuages ; les forêts plient, le ciel s'ouvre coup sur coup, et, à travers ses crevasses, on aperçoit de nouveaux cieux et des campagnes ardentes. Quel affreux, quel magnifique spectacle ! La foudre met le feu dans les bois ; l'incendie s'étend comme une chevelure de flammes ; des...
Seite 315 - Que ma langue s'attache à mon palais Si je ne me souviens de toi, Si je ne fais de Jérusalem Le principal sujet de ma joie (2).
Seite 317 - Les nations doivent se servir de guide les unes aux autres , et toutes auraient tort de se priver des lumières qu'elles peuvent mutuellement se prêter. Il ya quelque chose de très singulier dans la différence d'un peuple à un autre : le climat , l'aspect de la nature , la langue , le gouvernement , enfin surtout les événements de...
Seite 318 - En observant les différences caractéristiques qui se trouvent entre les écrits des Italiens, des Anglais, des Allemands et des Français, j'ai cru pouvoir démontrer que les institutions politiques et religieuses avaient la plus grande part à ces diversités constantes.
Seite 314 - Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils entre eux, Contre l'Eternel et contre son Christ?
Seite 255 - L'Almanach du Commerce, des Arts et Métiers des villes de Lille, Douai/ et Dunkerque...
Seite 317 - ... de l'histoire, puissance plus extraordinaire encore que toutes les autres, contribuent à ces diversités, et nul homme, quelque supérieur qu'il soit, ne peut deviner ce qui se développe naturellement dans l'esprit de celui qui vit sur un autre sol et respire un autre air. On se...