Geschichte Frankreichs im Revolutionszeitalter, Teil 3

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Perthes, 1843
 

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Seite 688 - N'y at-il pas des motifs particuliers qui doivent plus fortement nous attacher à Napoléon Ier, notre Empereur? R. — • Oui : car il est celui que Dieu a suscité dans les circonstances difficiles pour rétablir le culte public de la religion sainte de nos pères, et pour en être le protecteur. Il a ramené et conservé l'ordre public par sa sagesse profonde et active; il défend...
Seite 143 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? « Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance , peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles? Comment ne sententelles pas que la paix est le premier des besoins, comme la première des gloires...
Seite 371 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :
Seite 2 - L'empire des Turcs s'écroule tous les jours. La possession de ces îles nous mettra à même de le soutenir autant que cela sera possible, ou d'en prendre notre part. Les temps ne sont pas éloignés où nous sentirons que, pour détruire véritablement l'Angleterre, il faut nous emparer de l'Egypte...
Seite 694 - Royale comme roi d'Espagne. Je désire donc causer avec elle sur cet objet. La circonspection que je porte depuis un mois dans ces affaires doit lui être garante de l'appui qu'elle trouvera en moi si , à son tour, des factions, de quelque nature qu'elles soient, venaient à l'inquiéter sur son trône.
Seite 553 - Majesté l'Impératrice n'a point dit cela; elle connaît trop bien nos constitutions; elle sait trop bien que le premier représentant de la nation, c'est l'Empereur, car tout pouvoir vient de Dieu et de la nation.
Seite 694 - IV, elle a eu lieu dans un moment où mes armées couvraient les Espagnes, et, aux yeux de l'Europe et de la postérité, je paraîtrais n'avoir envoyé tant de troupes que pour précipiter du trône mon allié et mon ami. Comme souverain voisin, il m'est permis de vouloir connaître avant de reconnaître cette abdication.
Seite 140 - J'ai reçu, monsieur, votre lettre; je vous remercie des choses honnêtes que vous m'y dites. Vous ne devez pas souhaiter votre retour en France; il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres. Sacrifiez votre intérêt au repos et au bonheur de la France...
Seite 691 - Bayonue, je puis passer les Pyrénées , et , me fortifiant vers le Portugal, aller conduire la guerre de ce -côté. Je songerai à vos intérêts particuliers, n'y songez pas vous-même. . . . Le Portugal restera à ma disposition. . . . Qu'aucun projet personnel ne vous occupe, et ne dirige votre conduite; cela me nuirait et vous nuirait encore plus qu'à moi. Vous allez trop vite dans vos instructions du 14.
Seite 693 - Je ne suis point juge de ce qui s'est passé,, et de la conduite du prince de la Paix; mais ce que je sais bien, c'est qu'il est dangereux pour les rois d'accoutumer les peuples a répandre du sang et à se faire justice eux-mêmes.

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