Biographie universelle, ancienne et moderne, ou Histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes: Sta-TeyJoseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud Chez Michaud frères, 1855 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 98
Seite vii
... qu'à en recueillir les fruits , on ne m'ac- ( 1 ) Forcé , par les usurpations , les contrefaçons qui ont été faites de ma propriété , notamment par MM . Didot , contre lesquels je soutiens en ce moment un procès aussi pénible que ...
... qu'à en recueillir les fruits , on ne m'ac- ( 1 ) Forcé , par les usurpations , les contrefaçons qui ont été faites de ma propriété , notamment par MM . Didot , contre lesquels je soutiens en ce moment un procès aussi pénible que ...
Seite x
... qu'à ce prix , et qu'il fallait accepter la condition si l'on voulait atteindre le résultat auquel elle était essentielle . ( 1 ) M. l'avocat général aurait pu ajouter que cette preuve est faite par la notoriété publique ; que nos ...
... qu'à ce prix , et qu'il fallait accepter la condition si l'on voulait atteindre le résultat auquel elle était essentielle . ( 1 ) M. l'avocat général aurait pu ajouter que cette preuve est faite par la notoriété publique ; que nos ...
Seite 14
... qu'à ses compagnons de voyage , après lui avoir dit : Je ne mange jamais avec . " 66 " · personne , vivant trop sobrement . « Du pain , des fruits me suffisent à l'heure où le besoin se fait sentir . " α a · Je vais m'occuper de vous et ...
... qu'à ses compagnons de voyage , après lui avoir dit : Je ne mange jamais avec . " 66 " · personne , vivant trop sobrement . « Du pain , des fruits me suffisent à l'heure où le besoin se fait sentir . " α a · Je vais m'occuper de vous et ...
Seite 15
... tous les jours et menacent quelquefois ma vie . • Dernièrement encore je n'ai dû « mon salut qu'à ce poignard , dont ▫ j'ai eté forcée de me servir pour dé , a ་ " · a · « fendre ma poitrine contre celui d'un esclave STA 15 STA.
... tous les jours et menacent quelquefois ma vie . • Dernièrement encore je n'ai dû « mon salut qu'à ce poignard , dont ▫ j'ai eté forcée de me servir pour dé , a ་ " · a · « fendre ma poitrine contre celui d'un esclave STA 15 STA.
Seite 21
... qu'à Napoléon . Je lui . demandai encore quel usage il voulait faire du couteau que l'on avait trouvé sur lui . Toujours même réponse : « Je ne puis le dire qu'à Napoléon . Le desti- niez - vous , ajoutai - je , à un atten- tat contre ...
... qu'à Napoléon . Je lui . demandai encore quel usage il voulait faire du couteau que l'on avait trouvé sur lui . Toujours même réponse : « Je ne puis le dire qu'à Napoléon . Le desti- niez - vous , ajoutai - je , à un atten- tat contre ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
affaires anglais assez avaient ayant bataille d'Austerlitz Bénévent Bonaparte C'était cause célèbre chargé Charles X comte conseil core cret czar d'Autun déclaration devait devint diplomate donner doute duc d'Enghien duc de Feltre duc de Sussex Dumouriez édition envoyé époque évêque d'Autun famille Fouché fran fût général gouvernement guerre Haugwitz homme jeune jour l'abbé l'ancien évêque l'Angleterre l'armée l'auteur l'avait l'Église l'empereur Alexandre lettre leyrand Londres longtemps Louis XVIII lui-même madame Mémoires ment ministre mission monarchie mort mourut n'avait n'était Napoléon nistre nommé notice ouvrage parut passa penser philosophie politique position pouvait pré prélat premier prince de Bénévent prit Prusse prussienne publié rand Réaux reçut rent reste révolution révolutionnaire rien royale Russie s'était sait sance savait Semallé seul sion Staël Staps succès Suchet suivant surtout Tabaraud Talaru talent Talley Talleyrand Talma teur tion titre traité trouva vait vint voulait
Beliebte Passagen
Seite 272 - Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera ; Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner un Gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration et préparer la Constitution qui conviendra au peuple français.
Seite 223 - Offenbourg et à Ettenheim, pour y saisir les instigateurs d'un crime qui, par sa nature, met hors du droit des gens tous ceux qui manifestement y ont pris part.
Seite 171 - Vous savez la nouvelle ; venez me • consoler et souper avec moi. Tout • le monde va me refuser le feu et • l'eau ; ainsi nous n'aurons ce • soir que des viandes glacées et • nous ne boirons que du vin...
Seite 357 - Il avait l'inspiration funeste, le dérangement de génie de la Révolution à travers laquelle il avait passé. Les terribles spectacles dont il fut environné se répétaient dans son talent avec les accents lamentables et lointains des chœurs de Sophocle et d'Euripide. Sa grâce qui n'était point la grâce convenue, vous saisissait comme le malheur.
Seite 340 - Pontife à mon égard, de faire arriver au Saint-Père, comme je le désire, l'hommage de ma respectueuse reconnaissance et de ma soumission entière à la doctrine et à la discipline de...
Seite 213 - Tardent désir que vous avez de vous réconcilier avec nous et avec l'Église catholique. Dilatant donc, à votre égard, les entrailles de notre charité paternelle... nous vous dégageons, par la plénitude de notre puissance, du lien de toutes les excommunications...
Seite 272 - Qu'ils ne traiteront plus avec Napoléon Bonaparte, ni avec aucun membre de sa famille. Qu'ils respectent l'intégrité de l'ancienne France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes...
Seite 172 - Et sème la discorde en annonçant la paix. Sans cesse on nous redit qu'il ne peut rien produire Et que, de ses discours,, il n'est que le lecteur. Mais, ce qu'un autre écrit, c'est lui seul qui l'inspire, Et l'on ne peut du moins méconnaître son cœur.
Seite 174 - Sire, les hommes dont vous êtes entouré. On voit avec peine que vous favorisez les réfractaires, que vous n'êtes servi presque que par des ennemis da la Constitution, et l'on craint que ces préférences trop manifestes n'indiquent les véritables dispositions de votre cœur.
Seite 223 - Monsieur le baron , je vous avais envoyé une note dont le contenu tendait à requérir l'arrestation du comité d'émigrés français siégeant à Offembourg, lorsque le premier consul, par l'arrestation successive des brigands envoyés en France par le gouvernement anglais, comme par la marche et le résultat des procès qui sont instruits ici, reçut connaissance de toute la part que les agens anglais à Offembourg avaient aux terribles complots tramés contre sa personne et contre la sûreté...