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sa correspondance avec le duc de Vicence, relativement aux négociations de Châtillon.)

BASTE (le contre-amiral ) est tué à l'attaque de Brienne, 95.

BEAUSSET ( le baron), préfet du palais, vient de Rambouillet à Fontainebleau, chargé de commissions de l'impératrice, 403. Suit l'impératrice à Vienne, 404.

BELGIQUE. La Belgique est enlevée à la France, 108. BELLART (M.) convoque illégalement le conseil général de Paris, dont il est président, 367.

BELLIARD (le général comte) remplace le général Grouchy blessé à la bataille de Craonne, et commande la cavalerie, 184. Se présente à Napoléon à Fontainebleau, après la capitulation de Faris, 229. Reste à Fontainebleau jusqu'à la fin, 405.

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BELLUNE (le maréchal Victor, duc de) se retire de Strasbourg par les Vosges, 26. Et de Nancy sur Vitry-leFrançais, 87.-Combat à Brienne, 100.-Reste chargé de la défense de la Seine pendant les affaires de Montmirail, 114.-Recule jusqu'à Guignes, 126. — Combat à Nangis, et poursuit l'ennemi dans la direction de Montereau, 128. Combat à Montereau, 128.. Sa querelle avec Napoléon, à Surville, 134.-Il est blessé à Craonne, 184.

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BÉNÉVENT (M. de Talleyrand, prince de ), est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19. Il envoie, dit-on, M. de Vitrolles à M. le comte d'Artois, 225. Reste à Paris pour en

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faire les honneurs aux alliés, 359. — Assiste au conseil des alliés, ibid. - Est nommé président du gouvernement provisoire, 366.

BÉNIGSEN (le général russe). Son armée est retenue sur

l'Elbe par nos garnisons, 37.

BERG-OP-ZOOM. Surprise de cette place par les Anglais.

Belle action du général Bizannet, 197.

BERCKHEIM (le général), écuyer de Napoléon, est mis à la tête de la levée en masse de l'Alsace, 43.

BERNADOTTE, prince de Suède. L'armée qu'il commande s'avance sur la Hollande et la Belgique, 15.

Elle passe

35.

le Wahal et la Meuse et s'approche d'Anvers, Combat sous les murs d'Anvers, 46. Nous enlève la Belgique, 108.-Son avant-garde s'avance jusqu'à Soissons, 161. Reprend une seconde fois cette ville et sauve l'armée de Blücher, 174. Protège la retraite de Blücher sur Laon, en livrant la bataille de Craonne, 181. Se retire elle-même sur Laon, 184. Bernadotte n'a

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franchi qu'à regret la limite du Rhin, 189.

BERRY (le duc de ). Arrivée de ce prince à Jersey, 144.. BERTHIER (le maréchal). Voyez NEUFCHATEL.

BERTRAND (le général comte), grand maréchal du palais, monte dans la voiture de Napoléon partant pour l'armée, 83.-Interroge les gens du pays qu'on amène à Napoléon, 89. Commande, à la bataille de Montmirail, l'attaque du village de Marchais, sur la gauche, 118. Accompagne Napoléon à l'île d'Elbe, 399. BERT-AU-BAC. Napoléon y établit son quartier général, et y passe l'Aisne le 5 mars, 181.

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Beurnonville (le comte de ), sénateur, est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19.-Est commissaire extraordinaire de Napoléon pour les mesures de défense dans les provinces, 28.— Est nommé membre du gouvernement provisoire, 366.

BEZU-SAINT-GERMAIN, village entre Château-Thierry et Napoléon y établit son quartier général

Soissons.

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le 3 mars, 173.

BIZANNET (le général), commandant de Berg-op-Zoom. Belle action de ce brave, 197.

BLUCHER (le général prussien). L'armée qu'il commande le Rhin à Manheim, 15. S'avance.sur la Lor

passe

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raine, 26. Arrive devant Metz et Nancy, 44.—Traverse la Marne à Saint-Dizier, et se dirigé sur Brienne, 86. -Est coupée en deux parties par l'arrivée de Napoléon à Saint-Dizier, 91. Blücher manque d'être pris au combat de Brienne, 95. Il fait sa retraite sur l'armée autrichienne, vers Bar, 97.

Brienne et y livre bataille, 99.

-

Revient avec elle sur

De Brienne, Blücher

se porte sur Châlons, et de là descend la Marne vers Paris, 108. Son avant-garde est arrivée à La Fertésous-Jouarre, 115. Le combat de Champaubert la sépare de Blücher, resté du côté de Châlons, 116. — La bataille de Montmirail rejette le corps d'Yorck et de Sacken sur Château-Thierry, 117.- Le combat de Château-Thierry achève de les séparer de leur général en chef Blücher, et les force de se jeter dans Soissons, 119.

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De son côté, Blücher, ayant reçu des renforts, s'est reporté en avant; il est prêt d'arriver sur Montmirail, 122. Battu à Vauchamps, il manque encore une fois d'être fait prisonnier, 123. — Napoléon retrouve Blücher et ses troupes sur la Seine à Méry. Blücher y est blessé, 142, 160 et 162. Il se retire de Méry pour march er sur Paris, 163. Atteint par Napoléon, qui s'est remis à sa poursuite, il lui échappe en passant la Marne et se retirant sur Soissons, 170. Les Russes le sauvent en

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lui ouvrant les portes de cette ville, 174.
le poursuit au-delà de l'Aisne, 181.
avoir fait sa jonction avec l'armée du

Napoléon

Blücher, après prince de Suède,

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se retrouve plus fort que jamais, 189. Après le combat de Laon il reprend l'offensive, 191. Il pousse des partis jusqu'à Compiègne, 200. — Rappelé par Schwartzenberg sur Épernay et Châlons, il fait sa jonction avec la grande armée autrichienne, 218. Il détache Wintzingerode à la poursuite de Napoléon du côté de SaintDizier, 219.-S'étant, de sa personne, avancé vers Paris, il prend Saint-Denis et les hauteurs de Montmartre, 232. BOISSY-D'ANGLAS (le sénateur comte) est nommé par Napoléon commissaire extraordinaire pour les mesures de défense,

28.

BONAPARTE. Voyez NAPOLÉON.

BORDEAUX. Événements de Bordeaux; les Anglais y sont entrés, 202.

BOURBON (la maison de ). Conversation de Napoléon avec un

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aide de camp du prince Schwartzenberg, sur les projets qu'on suppose aux alliés, en faveur de cette maison, 144. -L'Angleterre a entrepris sérieusement la restauration de la maison de Bourbon, 152.-Démarches des royalistes de Troyes auprès de l'empereur Alexandre, 153. Les succès des alliés donnent de la consistance aux projets des royalistes, 199.— Louis XVIII est proclamé à Bordeaux, 203. Les généraux alliés, en entrant dans Paris, donnent pour exemple à suivre la conduite de Bordeaux et de Lyon, qui viennent de reconnaître les Bourbons, 358. M. de Nesselrode fait mettre en liberté les individus détenus pour leur attachement à leurs souverains légitimes, 362. Soins que se donnent à

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Paris les partisans de la restauration, 363. Ils finis

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sent par l'emporter, 379. — Napoléon engage lui-même ses serviteurs à se rallier au gouvernement du roi Louis XVIII, 398.

BOURMONT (le général comte ) reste chargé de la défense de Nogent, 114.-Est blessé au combat de Nogent, 140. BRAY, en Laonnais, village du champ de bataille de Craonne. Napoléon y passe la nuit qui suit la bataille, 185. BREDA. Evacuation trop prompte de cette place, 34. BRIENNE. Combat de Brienne, le 29 janvier, 94. - Napo

léon y établit son quartier-général le 30, 97. - Bataille de Brienne le 1er février, 100.

BRIGNOLET (la comtesse) suit l'impératrice Marie-Louise à Vienne, 404.

BUBNA ( le général autrichien ́) viole la neutralité des Suisses à la tête de l'avant-garde des alliés, 14.- S'empare de Genève, 25. Du Valais et de la route du

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Simplon, 44. Se présente devant Lyon, 105.-Et se concentre sur Genève, 138.

BULOW ( le général prussien). Le corps d'armée qu'il commande fait partie de l'armée du prince de Suède. Voyez Bernadotte.

BUSSY (M. de), maire de Baurieux, ancien officier d'artillerie, se présente à Corbeny, et est reconnu comme un ancien camarade du régiment de La Fère, par Napoléon, qui lui rend le grade de colonel, et le fait son aide de camp, 182. Reste à Fontainebleau jusqu'à la fin, 405.

CAMBRONE (le général) suit Napoléon à l'île d'Elbe, 399. CAPELLE le baron), préfet à Genève, s'éloigne à l'approche des Autrichiens, 25.

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