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Quant à ce qui fut fait en faveur de l'impératrice, non seulement je n'y fis aucune objection, mais je le regardai comme dû à l'éclatant sacrifice des sentiments de famille que l'empereur d'Autriche fait à la cause de l'Europe. J'aurais désiré substituer une autre position à celle de l'île d'Elbe pour servir de retraite à Napoléon; mais il n'y en a pas de disponible qui présente la sécurité sur laquelle il insiste, et contre laquelle on ne pourrait faire les mêmes objections; et je ne crois pas pouvoir encourager l'alternative dont, d'après l'assurance de M. de Caulaincourt, Bonaparte avait plusieurs fois parlé d'avoir un asile en Angleterre.

La même nuit, les ministres alliés eurent une conférence avec M. de Caulaincourt et les maréchaux ; j'y assistai. Le traité fut examiné et accepté avec des changements; depuis il a été signé et ratifié, et Bonaparte commence demain, ou après-demain, son voyage au midi.

Signé CASTLEREAGH.

!

général des alliés, 41.

Fait signer le traité de Chau

mont, 177.

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ANGOULÊME (le duc d'). Présence de ce prince dans le midi, 144. Il arrive à Bordeaux, 203.

ANVERS. Les alliés s'approchent d'Anvers, 35.

Napoléon

confie la défense de cette place au général Carnot, 47. Les Anglais échouent dans leurs attaques, 197. ARCIS-SUR-AUBE. Rencontre et bataille d'Arcis, les 20 et 21 mars, 207.

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ARMÉES FRANÇAISES. La grande armée, en se retirant d'Allemagne, prend ses cantonnements derrière le Rhin, 3. Situation et force des diverses armées françaises, 32. Revue des armées françaises encore employées au dehors, en Allemagne, en Espagne et en Italie, 32. - Ressources que les armées françaises offrent encore à Napoléon à l'époque de son abdication, 382.

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ARMÉES ENNEMIES. Force des armées ennemies employées à l'invasion de la France, 31. Armée anglo-espagnole, voyez Wellington. Armée autrichienne sur l'Adige, voyez Italie. ARMISTICE. Le prince Wentzel-Lichtenstein, aide de camp du prince Schwartzenberg, vient au hameau de Châtres proposer un armistice, 143. Le village de Lusigny est fixé pour la négociation de l'armistice, 155. Le général Flahaut est nommé commissaire de l'empereur pour cette négociation, 155. Napoléon demande que la ligne de démarcation de l'armistice soit tirée d'Anvers sur Lyon, 158. Rupture des conférences de Lusigny. -Le général Flahaut vient rejoindre l'empereur le 8 mars à Chavignon, 187.

ARTOIS (le comte d' ). Voyage de ce prince en Suisse.-Il

doit venir au quartier général des alliés, 144. - Les paysans des environs de Saint-Thibaut croient le faire prisonnier, 225. -- Napoléon apprend avec plaisir l'arrivée de ce prince à Paris, 402.

ATHALIN, lieutenant-colonel du génie, adjoint au directeur du cabinet topographique, marque sur la carte, par des épingles, tous les lieux que les rapports du jour indiquent, 89. Reste jusqu'à la fin à Fontainebleau, 405. AUGEREAU (le maréchal). Voyez CASTIGLIONE (le duc de). AUTRICHE (l'empereur d') entre en France, 15. Est entraîné par les fuyards du côté de Dijon, tandis que les autres souverains marchent sur Paris, 226. L'impératrice est autorisée à lui dépêcher le duc de Cadore pour le presser d'intervenir en faveur d'elle et de son fils, 374.

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Bacler-d'Albe, directeur du cabinet topographique, marque sur la carte, par des épingles, tous les points que les rapports du jour indiquent, 89.-Est envoyé à Paris pour y porter la nouvelle de la retraite des Prussiens, 172. BAILLON, fourrier du palais, suit Napoléon à l'île d'Elbe, 399.

BARBÉ-MARBOIS (le comte ) est commissaire du sénat pour

l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19. BASSANO (M. Maret, duc de), ministre des affaires étrangères, répond aux propositions apportées de Francfort par le baron Saint-Aignan, 8.—Il est rappelé au ministère de la secrétairerie d'état, 10. Il rejoint Napoléon à Brienne, 98. Son travail journalier avec Napoléon, 195. -Sa belle conduite auprès de Napoléon à Fontainebleau, 401 et 405. (Voir dans le supplément

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