Mémoires et relations politiques du Baron de Vitrolles, Band 1G. Charpentier, 1884 - 992 Seiten |
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Seite 153 - Depuis que nous avons commencé notre tâche de libération nationale et de salut public, pas un de nos actes, pas un de nos mots, n'a jamais dévié de la ligne que nous avions adoptée. Nous voici le 18 juin 1942. Je suis, pour ma part, tout prêt à reprendre, sans y rien changer, tout ce que nous avons fait et tout ce que nous avons dit depuis le 18 juin 1940.
Seite 312 - Qu'il renonce formellement à toute obéissance envers Napoléon Bonaparte ; Exprime le vœu le plus ardent pour que le gouvernement monarchique soit rétabli dans la personne de Louis XVIII et de ses...
Seite 53 - SM soit suppliée de maintenir l'entière et constante exécution des lois qui garantissent aux Français les droits de la liberté, de la sûreté, de la propriété, et à la nation le libre exercice de ses droits-poli tiques.
Seite 368 - Russie sent que ce serait un point de réconciliation sur lequel il serait prudent de passer. ' « Les premiers pas sont les plus importants. La cocarde par elle-même est la cocarde de la nation ; depuis vingt-cinq ans elle la porte; et le soldat, par souvenir de ses victoires, n'y renonce qu'à regret. « Quant à l'habit de garde national, on pense que c'est chose convenue, et que cet uniforme a été adopté par Monseigneur le comte d'Artois.
Seite 432 - Votre attitude doit être la même, vous devez tout faire pour la paix, mais mon .intention est que vous ne signiez rien sans mon ordre, parce que seul je connais ma position.
Seite 128 - Le jour où on sera tout-à-fait décidé pour la paix avec les sacrifices indispensables , venez pour la faire , mais non pour être l'interprète de projets inadmissibles. Les questions sont trop fortement placées pour qu'il soit possible de continuer à écrire des romans , sans de grands dangers pour l'empereur Napoléon. Que risquent les alliés ? en dernier résultat , après de grands revers , on peut être forcé à quitter le territoire de la vieille France.
Seite xxxiii - Bourbons , ce serait nous mettre en ré» volte contre l'autorité légitime, que de » différer plus long-temps à la reconnaître. » Nous avons pu , nous avons dû procéder » avec circonspection ; nous avons dû nous » assurer que le peuple français ne recevait . » cette grande loi que de lui-même. Un gou...
Seite 49 - Prusse et l'Autriche ont acquis par le seul démembrement de la Pologne ; tous ces États se sont agrandis. Vouloir ramener la France à son état ancien, ce serait la faire déchoir et l'avilir. La France, sans les départements du Rhin, sans la Belgique, sans Ostende, sans Anvers, ne serait rien. Le système de ramener la France à ses anciennes frontières est inséparable du rétablissement des Bourbons, parce qu'Eux seuls pourraient offrir une garantie du maintien de ce système...
Seite 119 - Peut-être une république bien organisée conviendrait-elle mieux à l'esprit français. Ce n'est pas impunément que les idées de liberté ont germé pendant longtemps dans un pays tel que le vôtre.
Seite 370 - C'est donc bien mauvais? dit le prince. — Si mauvais, répondit Vitrolles que le Roi n'est pas roi, que Monsieur n'est pas lieutenant général du royaume; que nous sommes jetés, sans droits reconnus, sans appui, au milieu de gens sans foi et sans honneur, c'est au point que si l'arrivée de Monseigneur n'était pas si positivement annoncée, si ses chevaux n'étaient pas commandés, pour ainsi dire, jusqu'à la porte de Paris, il vaudrait mieux aller à Langres. Mais...