... religion et d'humanité par lesquelles j'essayais de me rappeler. Ma délivrance particulière me semblait si grande et si inespérée qu'il me semblait avec une évidence encore plus parfaite que la vérité, que l'État gagnait tout en une telle... Revue de Paris - Seite 1301851Vollansicht - Über dieses Buch
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 436 Seiten
...vérité, que l'état gagnait tout en une telle perte. Parmi ces pensées , je sentais malgré moi un reste de crainte que le malade en réchappât , et j'en avais une extrême honte. Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il était... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 526 Seiten
...vérité , que l'état gagnait tout en une telle perte. Parmi ces pensées, je sentais malgré moi un reste de crainte que le malade en réchappât , et j'en avais une extrême honte. Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il était... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 Seiten
...la plus agréable des fêtes. Il confesse encore une fois ses propres sentiments secrets sur cette mort de Monseigneur; comme on n'en était encore qu'à savoir l'agonie, il n'est pas complétement rassuré : « Je sentais malgré moi , dit-il , un reste de crainte que le malade en... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 566 Seiten
...la plus agréable des fêtes. II confesse encore une fois ses propres sentiments secrets sur cette mort de Monseigneur; comme on n'en était encore qu'à...n'ya point d'homme en qui, s'il était bien connu, il Vy ait, à certains moments, de quoi le faire rougir. Saint-Simon le sait, et il le prouve par lui-même.... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 446 Seiten
...vérité, que l'État gagnait tout en » une telle perte. Parmi ces pensées , je sentais » malgré moi un reste de crainte que le malade en » réchappât, et j'en avais une extrême honte. » Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai » pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 436 Seiten
...vérité, que l'État gagnait tout en » une telle perte. Parmi ces pensées, je sentais » malgré moi un reste de crainte que le malade en » réchappât, et j'en avais une extrême honte. » Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai » pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 448 Seiten
...vérité , que l'État gagnait tout en une telle perte. Parmi ces pensées , je sentais malgré moi un reste de crainte que le malade en réchappât, et j'en avais une extrême honte. » Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il était... | |
| Taxile Delord - 1860 - 392 Seiten
...que la vérité que l'État gagnait en une telle perte. Parmi ces pensées, je sentais malgré moi nn reste de crainte que le malade en réchappât, et j'en avais une extrême honte. « Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de mander à madame de Saint-Simon qu'il était... | |
| Auguste Charles Henry - 1875 - 402 Seiten
...la plus agréable des fêtes. Il confesse encore une fois ses propres sentiments secrets sur cette mort de Monseigneur ; comme on n'en était encore qu'à savoir l'agonie, il n'est pas complétement rassuré: .• Je sentais malgré moi, dit-il, un reste de crainte que le malade en réchappât,... | |
| Joseph de Crozals - 1891 - 252 Seiten
...la vérité, que l'Etat gagnait tout en une telle perte. Parmi ces pensées, je sentais malgré moi un reste de crainte que le malade en réchappât, et j'en avais une extrême honte. » (IX, 117.) « Je voulais douter encore, quoique tout me montrât ce qui était ; mais je ne pus... | |
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