De l'esprit des lois, Band 5P. Didot et Firmin Didot, an xii, 1803 |
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aleu antrustions appeloit apud auroit avoient Baluze barbares Bourguignons Brunehault capitulaire de l'an cens CHAP CHAPITRE Charlemagne Charles-le-Chauve Charles-Martel Childebert Chilpéric choses Chronique de Frédégaire civiles clergé Clotaire Clovis comte couronne critique déja devoit Dieu dire donner donnoient ecclésiastiques édit églises enfants ESPR étoit évêques faisoient faisoit fiefs fiefs étoient firent Frédégaire Frédégonde Gaules gens Gontran Grégoire de Tours guerre Hébon hommes libres Ibid j'ai justice l'abbé Dubos l'auteur l'église l'Esprit des lois l'usure leudes livre loi des Lombards loi salique Lombards Louis-le-Débonnaire maire maniere ment monarchie française n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit nation Neustrie noblesse officiers parcequ'il parceque parlé paroît particuliere payer Pepin personne peuples pouvoient pouvoit premiere prince raisons regle religion chrétienne religion naturelle rois Romains royaume saint seconde race seigneurs serfs seroit Spinosa sujet systême Tacite temps-là tenoient terres tion tributs trouve trouverent usures vassaux voit Voyez le capitulaire Wisigoths XXVIII
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Seite 189 - Avez-vous les meilleures intentions du monde, on vous forcera vous-même d'en douter. Vous ne pouvez plus être occupé à bien dire quand vous êtes effrayé par la crainte de dire mal, et qu'au lieu de suivre votre pensée, vous ne vous occupez que des termes qui peuvent échapper à la subtilité des critiques. On vient nous mettre un béguin sur la tête pour nous dire à chaque mot : « Prenez garde de tomber ; vous voulez parler comme vous, je veux que vous parliez comme moi.
Seite 101 - ... avait distribué à ses peuples toutes les richesses des Lombards et les immenses trésors de ces Huns qui avaient dépouillé l'univers.
Seite 198 - On ne pouvoit certainement rien dire de plus sensé et de plus utile au christianisme que d'assurer que notre religion est bafouée dans toute l'Europe, par tous ceux dont la profession est de chercher la vérité.
Seite 8 - Dubos ont fait chacun un système , dont l'un semble être une conjuration contre le tiers-état , et l'autre une conjuration contre la noblesse. Lorsque le Soleil donna à Phaéton son char à conduire , il lui dit : « Si vous montez trop haut, vous « brûlerez la demeure céleste ; si vous descendez « trop bas , vous réduirez en cendres la terre. « N'allez point trop à droite, vous tomberiez dans « la constellation du Serpent; n'allez point trop « à gauche, vous iriez dans celle de l'Autel...
Seite 164 - Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Seite 136 - ... laisse derrière elle la justice humaine, et commence une autre justice ; qui est faite pour mener sans cesse du repentir à l'amour, et de l'amour au repentir ; qui met entre le juge et le criminel un grand médiateur, entre le juste et le médiateur un grand juge ; une telle religion ne doit point avoir de crimes inexpiables.
Seite 48 - M. l'abbé Dubos veut ôter toute espèce d'idée que les Francs soient entrés dans les Gaules en conquérants : selon lui, nos rois, appelés par les peuples, n'ont fait que se mettre à la place, et succéder aux droits des empereurs romains.
Seite 132 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Seite 101 - Les prétextes pour éluder les devoirs sont ôtés, les négligences corrigées, les abus réformés ou prévenus. Il savait punir , il savait encore mieux pardonner. Vaste dans ses desseins, simple dans l'exécution, personne n'eut à un plus haut degré l'art de faire les plus grandes choses avec facilité , et les difficiles avec promptitude.
Seite 125 - ... se marier sans leur consentement; de sorte que les contrats de mariage devinrent pour les nobles une disposition féodale et une disposition civile. Dans un acte pareil fait sous les yeux du seigneur, on fit des dispositions pour la succession future, dans la vue que le fief pût être servi par les héritiers...