Revue des deux mondes, Band 80François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1887 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 74
Seite 23
... doit renoncer à sa volonté propre et devenir un instrument de règne : « Ce terrible homme , disait souvent Decrès ( 3 ) , nous a tous subjugués ; il tient toutes nos imaginations dans sa main , qui est tantôt d'acier , tantôt de velours ...
... doit renoncer à sa volonté propre et devenir un instrument de règne : « Ce terrible homme , disait souvent Decrès ( 3 ) , nous a tous subjugués ; il tient toutes nos imaginations dans sa main , qui est tantôt d'acier , tantôt de velours ...
Seite 26
... doit se résigner à tout office , courir au - devant de toute commission . Si des scrupules l'arrêtent , s'il allègue des obligations privées , s'il ne veut pas manquer à la délicatesse ou même à la loyauté vulgaire , il encourt le ...
... doit se résigner à tout office , courir au - devant de toute commission . Si des scrupules l'arrêtent , s'il allègue des obligations privées , s'il ne veut pas manquer à la délicatesse ou même à la loyauté vulgaire , il encourt le ...
Seite 27
... doit seulement avoir égard à ce qu'elle ne grossisse ni ne diminue rien . » — Par- tant , hors des accès de sensibilité nerveuse , « il n'a d'autre consi- dération pour les hommes que celle d'un chef d'atelier pour ses ouvriers ( 5 ) ...
... doit seulement avoir égard à ce qu'elle ne grossisse ni ne diminue rien . » — Par- tant , hors des accès de sensibilité nerveuse , « il n'a d'autre consi- dération pour les hommes que celle d'un chef d'atelier pour ses ouvriers ( 5 ) ...
Seite 34
... doit l'effrayer . » - Lettre à la reine de Naples , 2 janvier 1805 : « Que Votre Majesté écoute ma prophétie : à la première guerre dont elle serait cause , elle et ses enfans auraient cessé de régner ; ses enfans errans iraient mendier ...
... doit l'effrayer . » - Lettre à la reine de Naples , 2 janvier 1805 : « Que Votre Majesté écoute ma prophétie : à la première guerre dont elle serait cause , elle et ses enfans auraient cessé de régner ; ses enfans errans iraient mendier ...
Seite 37
... doit finir naturellement par n'en plus être qu'un appendice : la na- ture l'a faite une de nos îles , comme celle d'Oleron ou la Corse ( 4 ) . » Naturellement , devant cette perspective , les Anglais gardent Malte et recommencent la ...
... doit finir naturellement par n'en plus être qu'un appendice : la na- ture l'a faite une de nos îles , comme celle d'Oleron ou la Corse ( 4 ) . » Naturellement , devant cette perspective , les Anglais gardent Malte et recommencent la ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Abd-el-Kader affaires âme assez avaient Bardené Bayreuth besoin Bône Boniface c'était chose cœur Constantine Coudiat-Aty coup criminel d'autres d'Estreville Damrémont devant Dieu dire donner enfans eût Fabien femme force Francine Frédéric Frédéric-Guillaume général général Bugeaud général Valée gens gouvernement Grand-Jaquot Grecs guerre Herder heures homme Hurecourt j'ai jamais jeune fille jour juge Kabyles l'église l'émir l'esprit l'homme Labrèche laisser Lally Léon XIII lettre Lucien lui-même LXXX main maison maréchal maréchal Valée margrave Marie-Thérèse ment ministre monde monsieur Mont-Oriol morale mort mouvemens n'avait n'en n'était Onésime Otello paix palimpseste pape parler Parses Pascal passé passions Paul Bourget pauvre pays peine pendant pensée père personne peuple peut-être politique Pondichéry porte pouvait premier presque prince princesse qu'un regard religion reste rien Russie s'est s'était saint sais semble sentimens sentiment serait seul sorte souvent surtout tête tion Tlemcen trouve Tunisie voilà voix Volkine Volvereins vrai yeux Zoroastre
Beliebte Passagen
Seite 418 - Et c'est sur ces connaissances du cœur et de l'instinct qu'il faut que la raison s'appuie et qu'elle y fonde tout son discours.
Seite 421 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable ; également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.
Seite 419 - Jésus-Christ, saint Paul ont l'ordre de la charité, non de l'esprit; car ils voulaient échauffer, non instruire. Saint Augustin de même. Cet ordre consiste principalement à la digression sur chaque point qui a rapport à la fin, pour la montrer toujours.
Seite 419 - Le cœur a son ordre; l'esprit a le sien, qui est par principes et démonstrations ; le cœur en a un autre *. On ne prouve pas qu'on doit être aimé, en exposant d'ordre les causes de l'amour : cela serait ridicule.
Seite 426 - L'homme est à luimême le plus prodigieux objet de la nature; car il ne peut concevoir ce que c'est que corps, et encore moins ce que c'est qu'esprit, et moins qu'aucune chose comment un corps peut être uni avec un esprit. C'est là le comble de ses difficultés, et cependant c'est son propre être : Modus quo corporibus adh&ret spiritus comprehendi ab hominibus non potest; et hoc tamen homo est1.
Seite 428 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez le remède : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Seite 415 - se moque de l'éloquence, la vraie morale se moque de la morale ; c'est-à-dire que la morale ^du jugement se moque de la morale de l'esprit, qui est sans règles 2.
Seite 531 - Sidi-Saïd ; et de cette rivière jusqu'à la mer, de manière que tout le terrain compris dans ce périmètre soit territoire français. Dans la province d'Alger : Alger, le Sahel, la plaine de la...
Seite 420 - Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions, au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses.
Seite 459 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.