| Frédéric Schoell - 1814 - 482 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendoit que de son gouvernement de mettre , par un seul mot , un terme aux souffrances de la nation...son commerce et le libre .exercice de son industrie. Vouloit-il plus? Les puissances s'étoient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation , ses... | |
| 1814 - 130 Seiten
...de l'indépendance nationale et d« la paix. Il ne dépendoit que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation,...commerce , et le libre exercice de son industrie. Youloit-il plus? Les puissances s'étoient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation, ses... | |
| Frédéric Schoell - 1814 - 494 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendoit que de son gouvernement de mettre , par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation , de lui rendre, avec la paix , ses colonies, son commeree et le libre exereice de son industrie. Vouloit-il plus? Les puissances s'étoient offertes... | |
| Great Britain. Foreign Office, Great Britain. Foreign and Commonwealth Office - 1812 - 960 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la Paix. 11 ne dépendoit que de son Gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la Nation...son commerce et le libre exercice de son industrie. Vouloit-il plus ? Les Puissances s'étoient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation, ses... | |
| Alph. de Beauchamp - 1815 - 614 Seiten
...seul mot ,Napoléon pouvoit mettre un terme aux souf-" frances de la nation française ; il pouvoit lui rendre , avec la paix , ses colonies , son commerce , et le libre exercice de son industrie, Napoléon vouloit-il plus encore ? les puissancess'offroient à discuter , dans un:esppit de conciliation... | |
| Alph. de Beauchamp - 1816 - 550 Seiten
...un seul mot , Napoléon pouvoit mettre un terme aux souffrances de la nation française j il pouvoit lui rendre , avec la paix , ses colonies , son. commerce , et le libre exercice de son industrie. Napoléon vouloit-il plus encore ? les puis-; sances s'offroient à discuter, dans un esprit de conciliation... | |
| M. de Pradt (Dominique Georges Frédéric) - 1817 - 616 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre , par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation...dans un esprit de conciliation , ses vœux sur des objet» de possession d'une mutuelle convenance, qui dépasseraient les limites de la France avant... | |
| Karl von Martens, Friedrich Saalfeld, Frédéric Murhard, Georg Friedrich Martens - 1817 - 736 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son Gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation;...son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait - il - plus? Les puissances s'éloient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation,... | |
| Georg Friedrich Martens - 1817 - 738 Seiten
...de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son Gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation; de lui rendre, avec la piiix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait - il - plus ? Les... | |
| François Etienne Auguste Paoli-Chagny - 1817 - 380 Seiten
...gouvernement, par un seul mot, de mettre un terme aux souffrances de la nation ; que la nation retrouverait avec la paix ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait -elle davantage ? Les puissances alliées s'obligeaient de discuter , dans un esprit pacifique,... | |
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