Récit historique sur la restauration de la royauté en France, le 31 mars 1814Rosa, 1816 - 103 Seiten |
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... gouvernement de Napoléon , qui a un caractère absolument différent du second , celui des cent jours , espèce de coup de main aussi insensé que désastreux . ( 2 ) Ouvert le 4 février , fermé le 15 mars ; avait duré quarante jours . que ...
... gouvernement de Napoléon , qui a un caractère absolument différent du second , celui des cent jours , espèce de coup de main aussi insensé que désastreux . ( 2 ) Ouvert le 4 février , fermé le 15 mars ; avait duré quarante jours . que ...
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... gouvernement qui désormais lui convînt . C'est dans ce passage calculé d'un état à un autre que se trouve toujours la plus grande difficulté des mouvemens politiques ; c'est ce qui éprouve le plus le talent des di- recteurs de ces ...
... gouvernement qui désormais lui convînt . C'est dans ce passage calculé d'un état à un autre que se trouve toujours la plus grande difficulté des mouvemens politiques ; c'est ce qui éprouve le plus le talent des di- recteurs de ces ...
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... gouvernement * pro- visoire fut nommé , ou plutôt confirmé ; car les choix qui avaient été arrêtés entre nous , ne souffrirent pas une contradiction . Dès ce moment la révolution fut consom → mée tout ce qui suivit ne fut que la con ...
... gouvernement * pro- visoire fut nommé , ou plutôt confirmé ; car les choix qui avaient été arrêtés entre nous , ne souffrirent pas une contradiction . Dès ce moment la révolution fut consom → mée tout ce qui suivit ne fut que la con ...
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... gouvernement provisoire , pendant l'absence qu'il ferait en allant combattre Napoléon , campé à six lieues de Paris , le gouvernement provisoire me désigna pour l'accompagner , avec le même titre . Heureusement ces dispo- sitions furent ...
... gouvernement provisoire , pendant l'absence qu'il ferait en allant combattre Napoléon , campé à six lieues de Paris , le gouvernement provisoire me désigna pour l'accompagner , avec le même titre . Heureusement ces dispo- sitions furent ...
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Dominique de Pradt. gouvernement , voulant sans doute me donner une preuve de l'attention qu'il avait accordée à la part que j'avais prise dans ce qui venait de se passer , me nomma commissaire aux grandes chancelleries réunies de la ...
Dominique de Pradt. gouvernement , voulant sans doute me donner une preuve de l'attention qu'il avait accordée à la part que j'avais prise dans ce qui venait de se passer , me nomma commissaire aux grandes chancelleries réunies de la ...
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31 mars à-peu-près affaires armées arrivant avaient avril baron Louis bataille bataille de Dresde bataille de Lutzen Belgique boulevard c'était Châtillon-sur-Seine chef chose cocardes blanches cœur comte DE NESSELRODE congrès de Châtillon conseil conseil-général contre-projet corps législatif cours alliées décisif déclaration de Francfort dès-lors desiré devait dignité Dresde duc de Dalberg ennemi esprits eût fallait forces garde nationale général gouvernement provisoire guerre heures hommes jours l'Angleterre l'armée l'empereur Alexandre l'Europe en armes LIBERTE ET PATRIE longtems Louis et moi Lutzen maison de Bourbon maux membres ment ministre Moniteur Moskow mouvemens n'avait n'était Napo Napoléon Bonaparte nation négociations Nesselrode paix passer pendant personnes peuple plénipotentiaire position pouvait présenta prince de Schwartzenberg prince vice-grand-électeur principes Prusse puissances alliées restait restauration rétablissement révolution Rhin rien royalistes royauté Russie S. M. l'empereur s'était sance sénat sénatus-consulte sentimens serait servi Buonaparte seul souverains alliés Talleyrand tems terme tion trône troupes trouvait victoire vœu Wurtchen
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Seite 88 - C'est à la ville de Paris qu'il appartient, dans les circonstances actuelles, d'accélérer la paix du monde. Son vœu est attendu avec l'intérêt que doit inspirer un si immense résultat. Qu'elle se...
Seite 84 - ... liberté, de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot , un terme aux souffrances de la nation , de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait-il plus! Les puissances s'étaient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation, ses \œux sur des objets de possession d'une mutuelle convenance qui dépassaient les limites de la France avant les guerres de la révolution.
Seite 97 - Il n'est pas un d'entre nous qui, dans le secret de son cœur, ne le déteste comme un ennemi public; pas un qui, dans ses plus intimes communications, n'ait formé le vœu de voir arriver un terme à tant d'inutiles cruautés. Ce vœu de nos cœurs et des vôtres, nous serions des déserteurs de la cause publique si nous tardions à l'exprimer.
Seite 81 - ... et de chercher à rejeter sur les alliés l'odieux des malheurs inséparables d'une guerre d'invasion. La marche des événemens avait donné à cette époque aux grandes cours le sentiment de toute la force de la ligue européenne.
Seite 88 - Bordeaux, l'occupation amicale de Lyon, les maux attirés sur la France, et les dispositions véritables de vos concitoyens. Vous trouverez dans ces exemples le terme de la guerre étrangère et de la discorde civile ; vous ne sauriez plus le chercher ailleurs. « La conservation et la tranquillité de votre ville seront l'objet des soins et des mesures que les alliés s'offrent de prendre avec les autorités et les notables qui jouissent le plus de l'estime publique. Aucun logement militaire ne...
Seite 99 - Elle vous donne les moyens de laisser prendre un généreux essor aux sentiments dont l'âme de chacun de vous est remplie, la volonté de sauver votre pays et la résolution d'accourir au secours d'un peuple délaissé. » Sénateurs, les circonstances, quelque graves qu'elles soient...
Seite 85 - Europe ; elle devait garder les positions et les points offensifs au moyen desquels son gouvernement avait , pour le malheur de...
Seite 86 - Il est temps enfin que les princes puissent, sans influence étrangère, veiller au bien-être de leurs peuples ; que les nations respectent leur indépendance réciproque ; que les institutions sociales soient à l'abri de bouleversemens journaliers, les propriétés assurées et le commerce libre.
Seite 92 - Qu'ils ne traiteront plus avec Napoléon Bonaparte, ni avec aucun de sa famille ; « Qu'ils respectent l'intégrité de l'ancienne France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes.
Seite 95 - C'est lui qui nous a fermé les mers des Deux Mondes, qui a tari toutes les sources de l'industrie nationale, arraché à nos champs les cultivateurs, les ouvriers à nos manufactures. A lui nous devons la haine de tous les peuples, sans l'avoir méritée, puisque, comme eux, nous fûmes les malheureuses victimes, bien plus que les tristes instruments de sa rage. N'est-ce pas lui aussi...