Récit historique sur la restauration de la royauté en France, le 31 mars 1814Rosa, 1816 - 103 Seiten |
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... chef , ou de la sûreté de la chose dont on est chef , qu'il faudrait s'occuper ! simple bon sens , il serait encore le maître de la plus belle partie de l'Europe . ( 1 ) 26 août 1813 . Les affaires qui se traitaient au loin n'é- taient ...
... chef , ou de la sûreté de la chose dont on est chef , qu'il faudrait s'occuper ! simple bon sens , il serait encore le maître de la plus belle partie de l'Europe . ( 1 ) 26 août 1813 . Les affaires qui se traitaient au loin n'é- taient ...
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... chef de la nation , pour ne la faire servir qu'à son propre usage , parut avoir abdiqué , avoir rompu tout contrat avec nous , avoir re- noncé au sens du 18 brumaire , qui l'établis- sait sur la France pour guérir ses plaies , et non ...
... chef de la nation , pour ne la faire servir qu'à son propre usage , parut avoir abdiqué , avoir rompu tout contrat avec nous , avoir re- noncé au sens du 18 brumaire , qui l'établis- sait sur la France pour guérir ses plaies , et non ...
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... chef né- cessaire ; alors elle se lie au mouvement qui entraîne toute société , et qui ne lui permet pas de s'arrêter . Les sociétés humaines n'ont pas été établies pour attendre leurs chefs , mais pour marcher avec eux ; non pas pour ...
... chef né- cessaire ; alors elle se lie au mouvement qui entraîne toute société , et qui ne lui permet pas de s'arrêter . Les sociétés humaines n'ont pas été établies pour attendre leurs chefs , mais pour marcher avec eux ; non pas pour ...
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... chefs ne présomaient pas plus d'uniformité d'eur courage set leur patriotisme ne pouvaient , comme on le pense bien , prêter à aucun doutesni à aucune inquiétude ; mais après tant d'années d'obéissance à un chef si long- tems victorieux ...
... chefs ne présomaient pas plus d'uniformité d'eur courage set leur patriotisme ne pouvaient , comme on le pense bien , prêter à aucun doutesni à aucune inquiétude ; mais après tant d'années d'obéissance à un chef si long- tems victorieux ...
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... chef des armées alliées , Maréchal prince de SCHWARTZENBERG.` ( Moniteur du 1oг . avril 1814. ) L'armée alliée s'est approchée , de Paris par la route de Meaux dans la soirée du 29 mars . Les hauteurs de Belleville , Saint - Chaumont et ...
... chef des armées alliées , Maréchal prince de SCHWARTZENBERG.` ( Moniteur du 1oг . avril 1814. ) L'armée alliée s'est approchée , de Paris par la route de Meaux dans la soirée du 29 mars . Les hauteurs de Belleville , Saint - Chaumont et ...
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31 mars à-peu-près affaires armées arrivant avaient avril baron Louis bataille bataille de Dresde bataille de Lutzen Belgique boulevard c'était Châtillon-sur-Seine chef chose cocardes blanches cœur comte DE NESSELRODE congrès de Châtillon conseil conseil-général contre-projet corps législatif cours alliées décisif déclaration de Francfort dès-lors desiré devait dignité Dresde duc de Dalberg ennemi esprits eût fallait forces garde nationale général gouvernement provisoire guerre heures hommes jours l'Angleterre l'armée l'empereur Alexandre l'Europe en armes LIBERTE ET PATRIE longtems Louis et moi Lutzen maison de Bourbon maux membres ment ministre Moniteur Moskow mouvemens n'avait n'était Napo Napoléon Bonaparte nation négociations Nesselrode paix passer pendant personnes peuple plénipotentiaire position pouvait présenta prince de Schwartzenberg prince vice-grand-électeur principes Prusse puissances alliées restait restauration rétablissement révolution Rhin rien royalistes royauté Russie S. M. l'empereur s'était sance sénat sénatus-consulte sentimens serait servi Buonaparte seul souverains alliés Talleyrand tems terme tion trône troupes trouvait victoire vœu Wurtchen
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Seite 88 - C'est à la ville de Paris qu'il appartient, dans les circonstances actuelles, d'accélérer la paix du monde. Son vœu est attendu avec l'intérêt que doit inspirer un si immense résultat. Qu'elle se...
Seite 84 - ... liberté, de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot , un terme aux souffrances de la nation , de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait-il plus! Les puissances s'étaient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation, ses \œux sur des objets de possession d'une mutuelle convenance qui dépassaient les limites de la France avant les guerres de la révolution.
Seite 97 - Il n'est pas un d'entre nous qui, dans le secret de son cœur, ne le déteste comme un ennemi public; pas un qui, dans ses plus intimes communications, n'ait formé le vœu de voir arriver un terme à tant d'inutiles cruautés. Ce vœu de nos cœurs et des vôtres, nous serions des déserteurs de la cause publique si nous tardions à l'exprimer.
Seite 81 - ... et de chercher à rejeter sur les alliés l'odieux des malheurs inséparables d'une guerre d'invasion. La marche des événemens avait donné à cette époque aux grandes cours le sentiment de toute la force de la ligue européenne.
Seite 88 - Bordeaux, l'occupation amicale de Lyon, les maux attirés sur la France, et les dispositions véritables de vos concitoyens. Vous trouverez dans ces exemples le terme de la guerre étrangère et de la discorde civile ; vous ne sauriez plus le chercher ailleurs. « La conservation et la tranquillité de votre ville seront l'objet des soins et des mesures que les alliés s'offrent de prendre avec les autorités et les notables qui jouissent le plus de l'estime publique. Aucun logement militaire ne...
Seite 99 - Elle vous donne les moyens de laisser prendre un généreux essor aux sentiments dont l'âme de chacun de vous est remplie, la volonté de sauver votre pays et la résolution d'accourir au secours d'un peuple délaissé. » Sénateurs, les circonstances, quelque graves qu'elles soient...
Seite 85 - Europe ; elle devait garder les positions et les points offensifs au moyen desquels son gouvernement avait , pour le malheur de...
Seite 86 - Il est temps enfin que les princes puissent, sans influence étrangère, veiller au bien-être de leurs peuples ; que les nations respectent leur indépendance réciproque ; que les institutions sociales soient à l'abri de bouleversemens journaliers, les propriétés assurées et le commerce libre.
Seite 92 - Qu'ils ne traiteront plus avec Napoléon Bonaparte, ni avec aucun de sa famille ; « Qu'ils respectent l'intégrité de l'ancienne France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes.
Seite 95 - C'est lui qui nous a fermé les mers des Deux Mondes, qui a tari toutes les sources de l'industrie nationale, arraché à nos champs les cultivateurs, les ouvriers à nos manufactures. A lui nous devons la haine de tous les peuples, sans l'avoir méritée, puisque, comme eux, nous fûmes les malheureuses victimes, bien plus que les tristes instruments de sa rage. N'est-ce pas lui aussi...