 | Francisco de Miranda - 1889 - 430 Seiten
...peut être si vous vous battez contre la liberté. — Fort bien, vous serez Labienus. — Labieuus ou Caton, vous me trouverez toujours du côté de la République. — Et la conversation se termina ; Dumouriez eut l'air de tourner tous ces discours en plaisanterie, lorsqu'il n'eut plus de doute sur... | |
 | Francisco de Miranda - 1889 - 432 Seiten
...vous battez contre la liberté. — Fort bien, vous serez Labienus. — Labienus ou Catou, vous nie trouverez toujours du côté de la République. Et la conversation se termina. Il eut l'air de tourner tous ces discours «n plaisanteries au moment qtfil n'eut plus de doute sur... | |
 | Jules Mancini - 1912 - 624 Seiten
...moi ?» — « C'est possible, si vous vous battez con.tre la République. » — « Vous serez donc Labienus ?» — , « Labienus ou Caton, vous me trouverez toujours du côté de la République f. » Dès ce moment, Dumouriez écarta Miranda de ses Conseils. La bataille de Nerwinden, où —... | |
 | Jules Mancini - 1912 - 630 Seiten
...moi? » — « C'est possible, si vous vous battez contre la République. » — « Vous serez donc Labienus ?» — « Labienus ou Caton, vous me trouverez toujours du côté de la République l. » Dès ce moment, Dumouriez écarta Miranda de ses Conseils. La bataille de Nerwinden, où —... | |
 | Caracciolo Parra Pérez - 1925 - 588 Seiten
...C'est possible, si vous vous baltie/. contre la liberté. — Seriez-vous donc Labiénus? — Labiénus ou Caton, vous me trouverez toujours du côté de la république ». Et Dumouriez feignit de tourner ces discours en plaisanterie;. i. Interrogatoire. a. Kojas, p. 875. 3.... | |
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Cela peut être, si vous vous battez contre la liberté. — Fort bien, vous serez Labienus. — Labienus ou Caton, vous me trouverez toujours du côté de la République. 