Bibliothèque historique et militaire: dédiée à l'armée et la garde nationale de France, Band 7

Cover
De Mat, 1853

Im Buch

Andere Ausgaben - Alle anzeigen

Häufige Begriffe und Wortgruppen

Beliebte Passagen

Seite 368 - Elle ne veut donner aucune explication de son étrange conduite que les aigles françaises n'aient repassé le Rhin, laissant par là nos alliés à sa discrétion.
Seite 756 - Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses enfants , aux trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice , même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire aux intérêts de la France.
Seite 758 - Soldats de ma vieille garde, dit-il, je vous fais mes adieux. Depuis vingt ans je vous ai trouvés sur le chemin de l'honneur et de la gloire ; dans ces derniers temps, comme dans ceux de notre prospérité, vous n'avez cessé d'être des modèles de bravoure et de fidélité. Avec des hommes tels que vous, notre cause n'était pas perdue , mais la guerre était interminable : c'eût été la guerre civile, et la France n'en serait devenue que plus malheureuse.
Seite 782 - ... c'est au moment où la France est en paix avec toute l'Europe que des armées étrangères avancent sur nos frontières ! Quel est l'espoir de cette nouvelle coalition? Veut-elle ôter la France du rang des nations? Veut-elle plonger dans la servitude vingt-huit millions de Français?
Seite 137 - Cependant près de la moitié de vous regrettent de n'avoir pas encore tiré un coup de fusil. Toutes les provinces de la monarchie prussienne jusqu'à l'Oder sont en notre pouvoir. » Soldats! les Russes se vantent de venir à nous. Nous marcherons à leur rencontre; nous leur épargnerons la moitié du chemin ; ils retrouveront Austerlitz au milieu de la Prusse.
Seite 137 - Soldats ! je ne puis mieux vous exprimer les sentiments que j'ai pour vous, qu'en vous disant que je vous porte dans mon cœur l'amour que vous me montrez tous les jours. NAPOLEON. Berlin , le 29 octobre I si».
Seite 786 - Rhin gémissent d'être obligés de prêter leurs bras à la cause des princes ennemis de la justice et des droits de tous les peuples. Ils savent que cette coalition est insatiable ! Après avoir dévoré douze millions de Polonais, douze millions d'Italiens, un million de Saxons, six millions de Belges, elle devra dévorer les Etats de deuxième ordre de l'Allemagne.
Seite 775 - Si Berlin avait été fortifié en 1806, l'armée battue à léna s'y fût ralliée, et l'armée russe l'y eût rejointe. « Si, en 1808, Madrid avait été une place forte, l'armée française, après les victoires d'Espinosa, de...
Seite 458 - L'aide-de-camp du maréchal Ney est envoyé, dit M. de Ségur, pour informer l'Empereur « du désordre dans lequel » étaient tombés les corps qui le pré...
Seite 404 - Russes, lorsque le mouvement du bataillon du 57 e les obligea à quitter la position. Nous y trouvâmes toutes les pièces dont elle avait été armée. Les canonniers, les chevaux, tout avait été détruit par la fusillade de nos voltigeurs. Il est faux que cette redoute, une fois en notre pouvoir , ait jamais été reprise par l'ennemi ; il ne pouvait donc pas s'y trouver un seul Français tué. « Le lendemain, quand l'Empereur » passa ce régiment en revue (le » 61") , il demanda où était...

Bibliografische Informationen