Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1861 |
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... fait de la France une république . Il ne pouvait en faire autre chose . Dans l'état d'incrédulité , d'anarchie et de lutte où le principe monarchique personnifié dans trois dynasties se trouvait avec lui - même , donner PRÉAMBULE . 11.
... fait de la France une république . Il ne pouvait en faire autre chose . Dans l'état d'incrédulité , d'anarchie et de lutte où le principe monarchique personnifié dans trois dynasties se trouvait avec lui - même , donner PRÉAMBULE . 11.
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Alphonse de Lamartine. trois dynasties se trouvait avec lui - même , donner la France de 1848 à la monarchie , c'était la donner aux factions . Le pays devait prendre sa dictature . La dictature du pays , c'est la république . Il l'a ...
Alphonse de Lamartine. trois dynasties se trouvait avec lui - même , donner la France de 1848 à la monarchie , c'était la donner aux factions . Le pays devait prendre sa dictature . La dictature du pays , c'est la république . Il l'a ...
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... donner l'élan ... » Aucun élan ne se trahit dans leur attitude . Napoléon les regarde et reprend comme s'il eût entendu le mot qui l'ob- sède , bien que personne ne l'eût prononcé : « On parle de paix , je crois ; je n'entends que ce ...
... donner l'élan ... » Aucun élan ne se trahit dans leur attitude . Napoléon les regarde et reprend comme s'il eût entendu le mot qui l'ob- sède , bien que personne ne l'eût prononcé : « On parle de paix , je crois ; je n'entends que ce ...
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... donner la sanction à des ordres était toute l'attribution de cette assemblée . Napoléon lui - même avait eu soin de la définir un Conseil législatif , non une représentation souve- raine . Ce serait une prétention criminelle , avait ...
... donner la sanction à des ordres était toute l'attribution de cette assemblée . Napoléon lui - même avait eu soin de la définir un Conseil législatif , non une représentation souve- raine . Ce serait une prétention criminelle , avait ...
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... donner à l'empereur des gages contre son ambition . Un homme ainsi jeté aux railleries de la cour et aux rires du peuple pouvait être utile , jamais dangereux . Cambacérès acceptait et semblait rechercher ces ridicules . Il se promenait ...
... donner à l'empereur des gages contre son ambition . Un homme ainsi jeté aux railleries de la cour et aux rires du peuple pouvait être utile , jamais dangereux . Cambacérès acceptait et semblait rechercher ces ridicules . Il se promenait ...
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Seite 180 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition de Bonaparte , elles doivent être plus favorables lorsque , par un retour vers un gouvernement sage , la France elle-même offrira l'assurance de ce repos. Les souverains alliés proclament en conséquence : Qu'ils ne traiteront...
Seite 245 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 323 - J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie; je pars. Vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée; il sera toujours l'objet de mes vœux! Ne plaignez pas mon sort; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire; je veux écrire les grandes choses que nous avons faites ensemble ! Adieu, mes enfants ! Je voudrais vous presser tous sur mon cœur; que j'embrasse au moins votre drapeau!...
Seite 181 - Ils reconnaîtront et garantiront la constitution que la nation française se donnera. Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner, sur-le-champ, un Gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration et à préparer la constitution qui conviendra au peuple français.
Seite 383 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître.
Seite 212 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.
Seite 357 - ... moment est proche. Si l'on nous parle de la part de ces gens-là, nous n'écouterons rien; si c'est de la vôtre, nous écouterons, mais nous irons droit notre chemin ; ainsi, si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté, nous n'existons que pour vous servir nous y travaillons...
Seite 408 - SIRE, La lâcheté de votre frère a tout perdu. Il ne pouvait paraître à la côte que pour tout perdre ou tout sauver. Son retour en Angleterre a décidé de notre sort : sous peu, il ne me restera plus qu'à périr inutilement pour votre service.
Seite 367 - ... prudence l'expression d'un sentiment que je ne puis plus retenir, à présent que je puis parler moi-même à vos braves compagnons d'armes. Si cette lettre est assez heureuse pour vous parvenir à la veille d'une affaire , donnez pour mot d'ordre St.-Louis ; ralliement, ie Roi et la Régence. Je commencerai à être parmi vous, le jour où mon nom sera associé à un de vos triomphes.
Seite 219 - France vient de briser le joug sous lequel elle gémit avec vous depuis tant d'années. — Vous n'avez jamais combattu que pour la patrie ; vous ne pouvez plus combattre que contre elle sous les drapeaux de l'homme qui vous conduit. — Voyez tout ce que vous avez souffert de sa tyrannie; vous étiez naguère un...