Vie politique et militaire de Napoléon, Band 3Anselin, 1827 |
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... par son oncle don Antonio , il vint au - devant de moi , persuadé qu'il me ren- contrerait à Vittoria . Ne m'y trouvant pas , il se décida à pousser jusqu'à Bayonne , malgré la lettre peu 36 NAPOLÉON AU TRIBUNAL DE CÉSAR , ETC.
... par son oncle don Antonio , il vint au - devant de moi , persuadé qu'il me ren- contrerait à Vittoria . Ne m'y trouvant pas , il se décida à pousser jusqu'à Bayonne , malgré la lettre peu 36 NAPOLÉON AU TRIBUNAL DE CÉSAR , ETC.
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Antoine Henri baron de Jomini. décida à pousser jusqu'à Bayonne , malgré la lettre peu rassurante que je lui adressais . Sans doute que le traité conclu avec Isquierdo con- tribuait à rassurer ses conseillers sur mes inten- tions envers ...
Antoine Henri baron de Jomini. décida à pousser jusqu'à Bayonne , malgré la lettre peu rassurante que je lui adressais . Sans doute que le traité conclu avec Isquierdo con- tribuait à rassurer ses conseillers sur mes inten- tions envers ...
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... décida à marcher à l'ennemi , quoique inférieur en nombre de moitié . Au même instant , la junte réunie à Bayonne adoptait , le 6 juillet , la constitution du royaume , et semblait proclamer , par dérision , mon frère Joseph roi d ...
... décida à marcher à l'ennemi , quoique inférieur en nombre de moitié . Au même instant , la junte réunie à Bayonne adoptait , le 6 juillet , la constitution du royaume , et semblait proclamer , par dérision , mon frère Joseph roi d ...
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... . Moore , forcé d'attendre à Sala- manque son matériel et la moitié de son armée , sortis du Portugal poussent Sahagun . Soult sur se décida enfin à marcher sur Valladolid . La nouvelle CHAP . XIII . ESPAGNE , 1808 .
... . Moore , forcé d'attendre à Sala- manque son matériel et la moitié de son armée , sortis du Portugal poussent Sahagun . Soult sur se décida enfin à marcher sur Valladolid . La nouvelle CHAP . XIII . ESPAGNE , 1808 .
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Antoine Henri baron de Jomini. se décida enfin à marcher sur Valladolid . La nouvelle des sanglants échecs essuyés par ses alliés le décida un peu légèrement à la retraite ; mais , instruit que les Espagnols annonçaient l'intention de ...
Antoine Henri baron de Jomini. se décida enfin à marcher sur Valladolid . La nouvelle des sanglants échecs essuyés par ses alliés le décida un peu légèrement à la retraite ; mais , instruit que les Espagnols annonçaient l'intention de ...
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30 mille hommes Abensberg Anglais armée Aspern attaque Autrichiens avaient Badajoz bataille bataille d'Essling bataillons Bavarois Bernadotte Bisamberg Blacke Bohême braves c'était Cadix camp canon cavalerie centre colonnes combat commandement Corogne corps Cuesta culbuté d'Essling Danube Davoust déboucher décida défense déja devait diriger division ennemis Espagnols Essling eût fallait Ferdinand forces Galice garnison gauche général Guadiana guerre Hiller instruit insurgés j'avais jeter jonction Joseph Junot junte l'Angleterre l'archiduc Charles l'archiduc Jean l'armée l'attaque l'Autriche l'Ebre l'ennemi l'Espagne l'île laissé Lannes ligne Lisbonne Lobau Madrid marche maréchal Marmont Masséna mée menaçait ment n'avait n'était nord Olivenza opérations passer pays place pont porter Portugal position pouvait prince projet provinces Prusse Ratisbonne renforcé reste retraite réunir rive route royaume Russie s'avance s'était Saragosse Sébastiani seul Séville siége Soult St.-Cyr succès Suchet système Tage Tarragone Tilsit tion traité de Tilsit trône troupes trouvait Valence victoire Vienne Wagram Wellington
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Seite 33 - Vous exigerez pour eux et vous leur rendrez les mêmes honneurs qu'autrefois. Vous ferez en sorte que les Espagnols ne puissent pas soupçonner le parti que je prendrai : cela ne vous sera pas difficile, je n'en sais rien moi-même. « Vous ferez entendre à la noblesse et au clergé que, si la France doit intervenir dans les affaires d'Espagne, leurs privilèges et leurs immunités seront respectés.
Seite 31 - ... le plus petit nombre ; le plus grand nombre profite de ces vices et de cette anarchie. « Dans l'intérêt de mon empire, je puis faire beaucoup de bien à l'Espagne. Quels sont les meilleurs moyens à prendre ?
Seite 32 - VAI de s'emparer aussi précipitamment de Madrid. Il fallait tenir l'armée à dix lieues de la capitale. Vous n'aviez pas l'assurance que le peuple et la magistrature allaient reconnaître Ferdinand sans contestation.
Seite 34 - ... l'extérieur. Tel doit être l'esprit de vos discours et de vos écrits. Ne brusquez aucune démarche. Je puis attendre à Bayonne, je puis passer les Pyrénées, et, me fortifiant vers le Portugal , aller conduire la guerre de ce côté. » Je songerai à vos intérêts particuliers, n'y songez pas vous-même... Le Portugal restera à ma disposition... Qu'aucun projet personnel ne TOUS occupe et ne dirige votre conduite ; cria me nuirait et vous nuirait encore plus qu'à moi.
Seite 108 - Charles et le favori que le duc de l'Infantado, instrument de l'Angleterre, comme le prouvent les papiers récemment trouvés dans sa maison, voulait renverser du trône, c'était la prépondérance de l'Angleterre qu'on voulait établir en Espagne; projet insensé, dont le résultat aurait été une guerre de terre sans fin, et qui aurait fait couler des flots de sang.
Seite 107 - L'égoïsme, la richesse et la prospérité d'un petit nombre d'hommes nuisaient pins à votre agriculture que les chaleurs de la canicule. « Comme il n'ya qu'un Dieu, il ne doit y avoir dans un État qu'une justice. Toutes les justices particulières avaient été usurpées et étaient contraires au droit de la nation : je les ai détruites.
Seite 30 - J'ai des partisans; si je me présente en conquérant, je n'en aurai plus. « Le prince de la Paix est détesté, parce qu'on l'accuse d'avoir livré l'Espagne à la France. « Voilà le grief qui a servi l'usurpation de Ferdinand. Le parti populaire est le plus faible. « Le prince des Asturies n'a aucune des qualités qui sont nécessaires au chef d'une nation ; cela n'empêchera pas que, pour nous l'opposer, on en fasse un héros. Je ne veux pas que l'on use de violence envers...
Seite 35 - Badajoz, faites-le observer ; donnez vous-même l'indication des marches de mon armée, pour la tenir toujours à une distance de plusieurs lieues des corps espagnols : si la guerre s'allumait, tout serait perdu. » C'est à la politique et aux négociations qu'il appartient de décider des destinées de l'Espagne. Je vous recommande d'éviter des explications avec Solano, comme avec les autres généraux et les gouverneurs espagnols.
Seite 34 - Vous leur démontrerez les avantages qu'ils peuvent tirer d'une régénération politique : l'ordre et la paix dans l'intérieur, la considération et la puissance à l'extérieur ; tel doit être l'esprit de vos discours et de vos écrits. Ne brusquez aucune démarche ; je puis attendre à Bayonne, je puis passer les Pyrénées, et, me fortifiant vers le Portugal, aller conduire la guerre de ce côté. " Je songerai à vos intérêts particuliers, n'y songez pas vous-même Le Portugal restera à...
Seite 396 - ... moins par ses génuflexions. Elles étaient si profondes qu'un plus habile y aurait été trompé comme moi. Le respect qu'on portait au sang de la maison d'Autriche légitimait mon règne aux yeux des souverains. Ma dynastie prenait rang dans l'Europe, et je sentais qu'on ne disputait plus le trône au fils à qui l'impératrice venait de donner le jour.