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BEZU-SAINT-GERMAIN, village entre Château-Thierry et Soissons. Napoléon y établit son quartier - général le 3 mars, 155.

BIZANNET (le général), commandant de Berg-op-Zoom. Belle action de ce brave, 178.

BLUCHER (le général prussien). L'armée qu'il commande passe le Rhin à Manheim, 15. —S'avance sur la Lorraine, 26. — Arrive devant Metz et Nancy, 43. —Traverse la Marne à Saint-Dizier, et se dirige sur Brienne, 70. - Est coupée en deux parties par l'arrivée de Napoléon à Saint- Dizier, 75. —Blücher manque d'être pris au combat de Brienne, 78.—Il fait sa retraite sur l'armée autrichienne, vers Bar, 8o. Revient avec elle sur Brienne et y livre bataille, 82. — De Brienne, Blücher se porte sur Châlons, et de là descend la Marne vers Paris , 92. —Son avant-garde est arrivée à La Fertésous-Jouarre, 98. Le combat de Champaubert la sépare de Blücher, resté du côté de Châlons, 100. — La bataille de Montmirail rejette les corps d'Yorck et de Sacken sur Château-Thierry, 101.-Le combat de Château-Thierry achève de les séparer de leur général en chef Blücher, et les force de se jeter dans Soissons, 102. - De son côté, Blücher, ayant reçu des renforts, s'est reporté en avant ; il est prêt d'arriver sur Montmirail, 105. —Battu à Vauchamps, il manque encore une fois d'être fait prisonnier, 106. Napoléon retrouve Blücher et ses troupes sur la Seine à Méry.- Blücher y est blessé, 125, 142 et 144. Il se retire de Méry pour marcher sur Paris, 145. Atteint par Napoléon, qui s'est remis à sa poursuite, il lui échappe en passant la Marne et se retirant sur Soissons, 152. Les Russes le sauvent en

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lui ouvrant les portes de cette ville, 155.-Napoléon le poursuit au delà de l'Aisne, 158.-Blücher, après avoir fait sa jonction avec l'armée du prince de Suède, se retrouve plus fort que jamais, 171.-Après le combat de Laon il reprend l'offensive, 173. Il pousse des partis jusqu'à Compiègne, 182. Rappelé pár Schwartzenberg sur Épernay et Châlons, il fait sa jonction avec la grande armée autrichienne, 197.Il détache Wintzingerode à la poursuite de Napoléon du côté de SaintDizier, 198.-S'étant, de sa personne, avancé vers Paris, il prend Saint-Denis et les hauteurs de Montmartre, 210. BOISSY-D'ANGLAS (le sénateur comte) ést nommé par Napoléon commissaire extraordinaire pour les mesures de défense, 28.

BONAPARTE. Voyez NAPOLÉON.

BORDEAUX. Événements de Bordeaux; les Anglais y sont entrés, 183.

BOURBON (la maison de). Conversation de Napoléon avec un

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aide-de-camp du prince Schwartzenberg, sur les projets qu'on suppose aux alliés, en faveur de cette maison, 127. - L'Angleterre a entrepris sérieusement la restauration de la maison de Bourbon, 135. — Démarches des royalistes de Troyes auprès de l'empereur Alexandre, 136. Les succès des alliés donnent de la consistance aux projets des royalistes, 181. Louis XVIII est proclamé à Bordeaux, 184. — Les généraux alliés, en entrant dans Paris, donnent pour exemple à suivre la conduite de Bordeaux et de Lyon, qui viennent de reconnaître les Bourbons, 220. - M. de Nesselrode fait mettre en liberté les individus détenus pour leur attachement à leurs souverains légitimes, 224. -Soins que se donnent à

-

Paris les partisans de la restauration, 225. Ils finis

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sent par l'emporter, 242. Napoléon engage lui-même ses serviteurs à se rallier au gouvernement du roi Louis XVIII, 259.

BOURMONT le général comte) reste chargé de la défense de Nogent, 97.-Est blessé au combat de Nogent, 123. BRAY, en Laonnais, village du champ de bataille de Craonne.

Napoléon y passe la nuit qui suit la bataille, 167. BREDA. Evacuation trop prompte de cette place, 34. BRIENNE. Combat de Brienne, le 29 janvier, 78. Napoléon y établit son quartier-général le 30, 81. Bataille de Brienne le 1er février, 82. BRIGNOLE (la comtesse) suit l'impératrice Marie-Louise à Vienne, 265.

BUBNA (le général autrichien) viole la neutralité des

Suisses à la tête de l'avant-garde des alliés, 14.- S'empare de Genève, 25. - Du Valais et de la route du Simplon, 43.- Se présente devant Lyon, 89. - Et se concentre sur Genève, 120.

BULOW ( le général prussien). Le corps d'armée qu'il commande fait partie de l'armée du prince de Suède. Voyez BERNADOTTE.

BUSSY ( M. de), maire de Beaurieux, ancien officier d'ar

tillerie, se présente à Corbeny, et est reconnu comme un ancien camarade du régiment de La Fère, par Napoléon, qui lui rend le grade de colonel, et le fait son aide-de-camp, 165. Reste à Fontainebleau jusqu'à la fin, 266,

CAMBRONNE (le général) suit Napoléon à l'île d'Elbe, 260. CAPELLE (le baron), préfet à Genève, s'éloigne à l'approche des Autrichiens, 25.

CARAMAN (M. de), officier d'ordonnance, va reconnaître la position des ennemis à Craonne, 164. CASTIGLIONE (le maréchal Augereau, duc de ), est chargé du commandement de l'armée qui se réunit à Lyon, 43. - Reçoit, après le combat de Montereau, l'ordre de remonter la Saône et de tomber sur les derrières de la grande armée autrichienne, 120. Manque cette occasion de sauver la France, 151. - Il est remplacé par le maréchal Suchet, 179.

CASTLEREAGH (lord ), ministre des affaires étrangères d'Angleterre, se rend au quartier-général des alliés, 40. CAULAINCOURT. Voyez VICENCE (le duc de).

CHALONS-SUR-MARNE. Toutes les troupes font leur retraite sur Châlons, 27. La nouvelle armée est dirigée sur ce point, 32, Les dernières ressources des dépôts de l'intérieur y sont également envoyées, 46. — L'empereur y arrive, 68.

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CHALONS-SUR-SAÔNE ( belle conduite des habitants de), 42. CHAMBÉRY. Le général Desaix pourvoit à la sûreté de cette ville, 43.

CHAMPAGNY (duc de Cadore). L'impératrice Marie-Louise est autorisée à l'envoyer prier l'empereur d'Autriche d'intervenir en faveur de la régence et des droits de son fils, 236.

CHAMPAUBERT (Combat de ). Napoléon établit son quartier-général dans ce village le 10 février, 99, CHARPENTIER (le général). Sa division soutient glorieusement l'attaque de l'ennemi devant Laon, 173. CHATEAU (le général), gendre et chef d'état-major du duc de Bellune, Victor, se distingue à l'attaque de Brienne, 79. Blessé mortellement au combat de Montereau, 113.

Regrets de Napoléon, et phrases du bulletin sur sa mort, 118 et 119.

CHATEAU-THIERRY (combat de), le 12 février, 102. —

Le 13, Napoléon établit son quartier-général dans cette ville, 103.

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CHATILLON-SUR-SEINE est indiqué pour la tenue du congrès, 71.. Le duc de Tarente y relève un moment les troupes autrichiennes dans la garde du congrès, 151. (Pour ce qui regarde le congrès, voyez NÉGOCIATION.) CHATRES, hameau près de Méry-sur-Seine. Napoléon y établit son quartier-général le 22 février, 126. CHAUMONT (Haute-Marne). Les alliés y signent le traité du 1 mars qui resserre leur alliance, 159. Expédition du général Piré sur cette ville, 196. CHAVIGNON, village entre Soissons et Laon. Napoléon y établit son quartier-général le 8 mars, 170. CONEGLIANO (le maréchal Moncey, duc de), après la prise de Paris, se rend à Fontainebleau, 218. CONSTANT (le sieur), valet de chambre de confiance de Napoléon, disparaît la nuit du départ pour l'île d'Elbe, 265.

CORBENY. Napoléon y porte son quartier- général le 6 mars 163.

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CORBINEAU (le général) se jette entre des Cosaques et l'empereur, 81. S'empare de Reims le 5 mars, 163. - Après avoir passé pour mort, se retrouve déguisé parmi les habitants de Reims, 175. CORPS LÉGISLATIF. Ouverture de la session de 1814, 10. Opposition qui se déclare dans l'assemblée, 19. — Dissolution du corps législatif, et discours de Napoléon à cette occasion,

22.

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