» peut donc pas détruire l'ordre établi dans son » royaume.... »
Dans un Mémoire sur le parlement de France (Judicium Francorum) intercalé dans ce même volume après avoir soigneusement distingué la personne sainte et sacrée du Roi de ce qu'il nomme l'ame de la royauté, l'auteur anonyme ajoute (page 131): (Citation supprimée par la censure.)
Voilà les principes professés à la fin du 17e siècle par un historiographe de France, l'un de nos historiens les plus véridiques, principes publiés et adoptés au milieu du 18. siècle, et que le 19. ne doit pas s'attendre à voir méconnaître, au retour d'un prince célèbre par son érudition, et recommandable par
Ce ne serait donc pas dans le dictionnaire du maréchal d'Ancre et des autres Florentins, ni même dans celui du cardinal Mazarin, que les ministres du Roi de France devraient aujourd'hui chercher leurs dédéfinitions étranges. Le Peuple Français chante, il est vrai, beaucoup moins que sous le règne de Son Eminence; mais on croit que pour cela même, il en mérite plus d'égard et de considération.