Le Gouvernement a reçu hier des depêches 'Italie, contenant des rapports officiels des diverses affaires dans lesquelles l'armée de Murat a été presque anéantie, et armonçant que tout le royaume de Naples est actuellement au pouvoir des alliés. Ces agréables nouvelles ont été annoncées immédiate ment au public par le bulletin suivant : Il paroît par des lettres de M. Cooke, datées de Rome, du 22 Mai, de lord Burgherts, datées de Teano, le 21 Mai, et du colonel Church, datées du 18 Mai, qu'une convention militaire a été signée le 11, entre les généraux Autrichiens et Napolitains, par laquelle tout le royaume de Naples, à l'exception d'Ancône, Gaete et Pescara, a été rendu aux alliés, Murat n'avoit pas encore traité; il n'avoit pas 8,000 hommes avec lui, et il lui avoit été signifié qu'il falloit qu'il fut conduit dans les états Autrichiens sous l'escorte d'une garde d'honneur; la flotte Napoditaine avoit été rendue à une escadre Angloise. Il a a été publié ensuite une gazette extraordinaire, dont nous donnerons les détails dans dans notre prochain numéro: elle contient outre des extraits de deux lettres de M. Cooke, sous-sécrétaire d'état au département des affaires étrangères, qui est actuellement à Rome, les copies de trois rapports militaires adressés à lord Stewart, par le colonel Church cet officier est employé sous le général comte Nugent. Il est possible que la convention a été conclue par les commandans des foibles restes de l'armée Napolitaine. Un officier a rapporté que Murat étoit alors à Salerne les journaux François font mention de son arrivée à Toulon, et même à Paris ; mais il est plus vraisemblable qu'il est actuellement en Autriche, sous bonne garde: le 18 Mai, il étoit. cerné de tout côté par une armée victorieuse, et le petit nombre d'hommes qui lui restoit, comprenoit Ja gendarmerie, la garde civique, et même des invalides, tirés de Naples et des provinces. "L'Armée Napolitaine," die M. Cooke, "ne soutient pas la cause de Murat; la nation le soutient moins encore; elle reçoit les alliés comme des libérateurs, et ne désire que la restauration de son ancien et légitime souverain, étant exposée et dégoutée de toutes les vexations, et fourberies de Murat." Dès le 8 Mai, l'armée Anglo-Sicilienne étoit prête à faire voile de Messine: le roi Ferdinand IV devoit l'accompagner; et il n'est pas douteux que sou retour dans sa capitale n'ait déjà comblé les veux de ses fidèles sujets. La tranquillité de l'Italie étant ainsi assurée, par les rapides succès des Autrichiens, ils peuvent actuellement diriger une grande parties des forces immenses qu'ils ont dans ce pays, vers les provinces méridionales de France: les troupes alliées y sont impatienment attendues par une population opprimés et prête à les seconder pour terrasser l'hydre de la rébellion et établir l'autorité légitime. Traduit du Times. · Il est arrivé hier, une malle des Pays-Bas. Elle n'annonce pas encore le commencement des hostilités; mais on croit qu'il ne sera pas différé au-delà du 10 de ce mois, époque à laquelle au moins 70,000 Russes seront arrivés sur les points qu'ils doivent occuper dans la ligne des opérations générales. Les journaux de Bruxelles, disent que le 28 Mai, en conséquence d'ordres reçus de Paris par le télégraphe, plusieurs battalions d'infanterie sont partis des environs de Valenciennes sur des voitures, pour aller dans le département de la Vendée. Cette circonstance et les faits rapportés dans quelques articles que nous avons extraits des dermers journaux de Paris, qui nous sont parvenus, prouvent suffisam ment que les progrès des royalistes de l'Ouest alarment vivement les rebelles. Ils ont recours à des vexations de toute espèce, mais plus ils les multiplient, plus le mécontentement s'accroît. La Nous venons de recevoir les journaux de Paris, du 3 Juin. Ils sont remplis des détails de l'assemblée du Champ de Mai, qui a eu lieu Jeudi dernier. Chambre des Pairs et celle des Représentans ont été convoquées pour le 5, par un décret de Bonaparte. Quelques journaux disent qu'il partira aujourd'hui Mardi pour l'armée. Divers corps de sa garde devoient partir hier. Il y a des rassemblemens de Poyalites dans le Morb han: les Gardes Nationales de l'Orient ont été envoyées pour les disperser. Parmi les faussetés dont ces journaux abondent, selon la coutume, on distingue l'article suivant: Vendée sont arrivés au quartier-général du géné"On mande de la Rochelle, que les chefs de la ral Travot, pour offrir de se soumettre et déposer leurs armes." Il est arrivé ce matin une malle de Hollande : les armées alliées se concentrent sur la frontière du Nord de la France: les troupes Angloises et Hanovriennes, qui étoient près de Gand, sont allées à Courtray et Menin. Lord Exmouth, a dû arriver dans la baie de Naples le 20 de Mai: le 16, le Berwick, de 74 canons, a fait voile de Civita Vecchia pour aller bloquer Gaëte, où étoit une frégate Françoise, qu'on croyoit être chargée d'emmener la famille de Bo- La Prame Françoise, qui a été prise par la naparte: le 11, le duc de Gallo a rendu, par capi-frégate la Désirée, près de Guernesey et envoyée à tulation, deux vaisseaux de ligné et tous les arsenaux Portsmouth, ayant été conduite ces jours-ci dans le de Naples au capitaine Campbell, du Tremendous, port intérieur, on présume qu'elle sera condamnée qui avoit menace de bombarder la ville. comme bonne prise, Journaux de Paris, Inspruck, le 18 Mai. C'est d'après l'invitation du général Autrichien Nugent que le Saint-Père retourne à Rome: ce général a établi le 3, son quartier-général dans la capitale du monde chrétien; c'est de la qu'il a adressé une proclamation aux Napolitains, pour les engager à abandonner la cause qu'ils soutenoient et à se réunir aux alliés. Il se disposoit à quitter Rome et à se porter en avant, quand il a appris que le prince Camille Borgia organisoit une armée sur les frontières du royaume de Naples, et qu'il s'étoit même avancé jusqu'à Cabrone, dans l'état de l'Eglise; mais bientôt on a su que ce corps étoit dispersé. Ainsi tout fait présumer que le général Nugent va suivre le cours de ses opérations. Des troupes Siciliennes sont parties de Palerme pour Messine. On croit que l'expédition projetée contre Naples pourra bientôt être mise à exécution. Il paroit que tout en obtenant la victoire, les troupes Autrichiennes ont beaucoup souffert dans la bataille de Tolentino: aussi le général en chef Frimont s'est empressé d'envoyer de puissans renforts au général Bianchi. Le général Mohr commande la droite de l'armée; le général Ckardt la gauche; le comte de Stharemberg l'avant-garde. Bruchsal, le 19 Mai. Les pionniers qui étoient à Kehl doivent quitter ce point, le 20, pour se rendre une partie à Offenbonrg, une autre à Fribourg et le reste à Gemersheim. De Korck, Willstedt, Boderswier, jusqu'à Bruchsal, it y a un corps de Wirtembergeois répandus dans les villages. Le prince de Wirtemberg est à Bruchsal; il doit passer le Rhin à Gemersheim, où il arrivera un ponton de Francfort. On travaille avec une grande activité aux retranchemens à Gemersheim. Bále, le 21 Mai. D'après un rapport fait à la Diète, tous les cantons, à l'exception de ceux de Soleure, des Grisons, d'Appenzel et d'Unterwalden, out adopte ie recès. La commission va proposer maintenant des moyens de le mettre à exécution. La Diète a arrêté qu'indépendamment du corps de 30,000 hommes établi sur les frontières pour faire respecter notre neutralité, les cantons organiseroient dans le plus bref délai un corps de réserve de 13,000 hommes, et tiendroient leur contingens prêts à marcher. Le nombre des officiers d'état-major a été considérablement augmenté. O y remarque M. de Muy, colonel du se régiment Suisse au service de France; M. Glutz Ruchty, &c. Il est très-vrai que M. de Steigentesch, commissaire Autrichien, s'est rendu au quartier-général Suisse du général en chef Bachmann, à Morat, pour y résider. Qu ajoute qu'il a fait plusieurs excursions sur le territoire François. Bordeaux, le 15 Mai. Soixante bataillons d'élite se forment dans les 9e, 10e, 11e et 20e divisions militaires. Le général Harispe organise des bataillons des chasseurs Pyrénées orientales seront assez nombreux pour rendre de la montagne. Bientôt le corps d'observation des impénétrables les passages des Pyrénées. Nantes, le 22 Mai. Les nouvelles que l'on reçoit de la Vendée sont très-satisfaisantes, et l'on croit généralement, tant on a confiance dans le lieutenant général l'insurrection de ces pays, qu'elle ne sera pas de longue: Travot, qui est chargé par l'Empereur de terminer durée. Mais le lieutenant-général comte Charpentier, vient de recevoir des nouvelles de ce général. Vendredi hier, il a marché par Apremont, a atteint l'ennemi à. dernier, les insurgés ont été battus à Saint-Gilles; avantAibenai, et l'a complétement battu. Plusieurs chefs ont été blessés, entre autres Charette, qu'on croit blessé mortellement d'une balle dans la poitrine. Il n'y a plus de troupes à Walkirch, Hornberg, Donaueschingen et Stokach. Depois huit jours les Le général Travot a dû leur prendre cinq chariots Autrichiens sont partis sur trois routes, Basle, Schaff-chargés de fusils et de munitions. De plus, il a comhouse et Uberlingen. plétement défait 150 hommes à cheval, et pris leurs Les Autrichiens veulent faire des magasins à Ge-chevaux et leurs bagages. genbach. Il y a à Offenbourg 200 Badois infanterie ; les habitans ne veuleut pas qu'on fasse des retranchemens autour de cette ville. Francfort, le 16 Mai. On continue de faire, à l'armée du prince de Schwartzenberg, les préparatifs nécessaires pour la prochaine ouverture de la campagne. A mesure que les troupes arrivent, elles sont réparties dans des cantonnemens rapprochés. On assure que M. de Schwartzenberg visitera successivement les positions des trois grands corps de son armée, qui sont ceux du maréchal Wrede, prince royal de Wirtemberg, et du prince de Hohenzollern. Stuttgard, le 19 Mai. L'archiduc Ferdinand a toujours son quartier-général à Kannstatt, à une lieue d'ici. C'est le général prince de Hesse-Hombourg qui est chargé de diriger les mouvemens de l'armée de réserve. L'Archiduc Louis ne commandera qu'une brigade de grenadiers. Le feld-maréchal-lieutenant de Kinsky doit commander en second le corps qui est sous les ordres du prince Royal de Wurtemberg; le feld-maréchal-lieute nant de Wimpfen sera chef de l'état-major. Les divers corps qui forment la grande armée du prince de Schwartzenberg conservent les positions qu'ils occupoient : celui du général prince de Wrede est Je seul qui jusqu'ici ait passé sur la rive gauche du Rhin, encore quelques régimens sont-ils restés sur la rive *droite, entre le Necker et le Rhin; mais on assure qu'ils Suivront bientôt la marche des autres. Plusieurs régimens arrivent de différens points pourTM se réunir sous le commandement du général, et étouffer dès le commencement ce soulèvement. Toutes nos troupes sont aimées du meilleur esprit. commandement de M. le chef d'escadron Baudry, s'or Le beau corps des chasseurs de la Vendée, sous le ganise avec promptitude. Calais, le 23 Mai. Les communications entre> l'Angleterre et la France ne souffrent aucune interruption.. Le 20, le 21 et le 22, il est arrivé et parti des paquebots, avec des passagers. Lille, le 26 Mai. Notre garnison est toute composée de bataillons d'élite arrivés successivement: le 20e est arrivé hier: ils sont presque tous au complet de 720 hommes; nous attendons deux bataillons de vétérans. Les régimens de ligne qui sont encore ici partiront la semaine prochaine pour rejoindre l'armée: l'enthousiasme qui anime les gardes nationales de la Picardie et de la lère division, électrise notre population, dont l'esprit s'améliore de jour en jour, quoi qu'il soit travaillé par des agens, dont un bon nombre échappent encore à la surveillance, par des proclamations incendiaires et par de fausses nouvelles : on a répandu, il y a déjà long-temps, une prétendue adresse de la garde nationale d'Amiens, on l'a reproduite ces jours derniers avec une prétendue réponse de la garde nationale de Ronen. Beaucoup de personnes faciles à tromper avoient donné quelque confiance à ce dernier pamphlet ; on peut juger de leur surprise quand ils ont vu la garde nationale de Rouen entrer ici aux cris de vive l'Empereur ! et quand ils ont appris qu'on avoit répandu à Rouen une prétendue adresse de la garde nationale de Lille. Un espion Russe a été arrêté hier quelques heures après son arrivée à Paris. Paris, le 25 Mai. Le 20 Mai, une commission militaire spéciale s'est assemblée à Lille, et a condamné à la peine de neuf années d'emprisonnement le nommé Lépine, convaincu d'embauchage et de provocation à la désertion. En moins de quinze jours, les départemens du Haut et Bas-Rhin out fourni leurs trente-cinq bataillons de grenadiers, organisés; ils sont aujourd'hui tous rendus à leur poste, armés et habillés en partie : leur force s'élève déjà à 24,000 hommes. Paris, le 26 Mai. Dépêche télégraphique-Lyon, le 26 Mai 1815, sept heures du soir.-Le préfet du Rhône à S. Exc. le ministre de l'intérieur. Madame et le cardinal Fesch sont arrivés à Lyon à six heures, en bonne santé. Ils ont été accueillis aux cris de vive l'Empereur ! et de vive Madame! Les électeurs appelés au Champ-de-Mai arrivent en grand nombre tous les jours. On a déjà reçu les regis fres des votes de cinquante-cinq départemens. On attend les autres par les courriers et les diligences qui arriveront demain et après-demain. On espère que Lundi ils seront presque tous arrivés, et que les opérations commenceront. Il y aura Dimanche, après la messe, une grande parade dans la cour des Thuileries. Paris, le 27 Mai. La cour impériale de Paris a fait un don patriotique de 5000 francs. Les employés du ministère de la police ont offert, comme don patriotique, une somme de 12,000 franes pour être employée à l'habillement des fédérés tirailleurs de la garde nationale de Paris. Cinq mille franes ont été versés au ministère de l'intérieur, à titre de don patriotique, par M. Delambre, au nom du conseil des inspecteurs et des employés de l'Université impériale. Les employés de la bibliothèque de l'Arsenal ont fait un don patriotique de 811 francs. M. Robert, juge de paix du canton de Clermont (Meuse) vient d'offrir le montant de son pendant les six premiers mois de 1815. traitement Paris, le 27 Mai, Il y aura demain une grande revue. Le bruit se répand qu'un prince de Lichtenstein est arrivé à Strasbourg, où il attend des passeports. du gouvernement pour venir à Paris. Le 16 Mai, des officiers Autrichiens se sont présen tés à Schaffhouse pour demander, au nom du prince Schwartzenberg, le passage par le territoire Suisse pour une colonne de troupes: le commandant de Schaffhouse a refusé, et les officiers se sont retirés. Le ministre de la guerre vient de publier une instruction sur les mesures de défense à prendre dans l'intérieur de l'empire. Elle comprend la défense des accès d'un pont, les têtes de pont, la démolition des ponts, la manière de retrancher les villes ouvertes et les villages.: On a publié dans plusieurs quartiers de Paris une invitation aux citoyens pour s'enrôler volontairement dans différens corps de l'armée. Le Journal de Nantes dit qu'après s'être concerté avec MM. les généraux et militaires de cette ville, M. le maire a pris le 23 un arrêté pour régler le zèle et le patriotisme des habitans. Les mesures qui sont ordonnées ne sont regardées que comme des précautions, tendantes à assurer la tranquillité des citoyens, et tout le monde est obligé d'y concourir.. On a arrêté dans les montagnes, et traduit devant le magistrat de Lons-le-Saunier, un émissaire qui répandoit des proclamations incendiaires. On écrit de la Suisse que le duc de Raguse est attendu à Bâle, et que son logement y est préparé. Le Pape a quitté Gênes pour retourner à Rome. Il continue d'arriver de nombreux renforts à l'armée du Nord. Il se fait en ce moment un mouvement qui semble indiquer la prochaine jonction de cette armée avec celle de la Moselle. Le général Brayer vient de partir pour l'Ouest. On croit que les opérations relatives aux votes sur la constitution, commenceront deniain. On dit que le nommé Maubreuil, qui avoit volé les diamans de la Reine de Westphalie et qui s'étoit échappé de prison, a été arrêté à Gand. On crioit hier soir un pamphlet intitulé: A bas la queue de Marat et de Robespierre! La revue qui doit avoir lieu aujourd'hui à midi, sera très-belle. Déjà divers régimens cantonnés aux environs de Paris entrent dans la capitale: les électeurs des départemens auront des places aux croisées du château des Thuileries. Paris, le 28 Mai. Avant de se rendre, à la messe, l'Empereur a reçu plusieurs députations des corps électoranx; et en y allant, il s'est arrêté plus d'une heuré dans la salle des maréchaux, qui étoit remplie de mili taires et de membres de colléges électoraux appelés au Champ-de-Mai, et il s'est entretenu avec un grand nombre d'entr'eux. Après la messe, S. M. a passé une grande revue de sa garde. Tous les corps qui la composent étoient sous les armes et dans la plus belle tenue. On a remarqué surtout un train d'artillerie magnifique venant de Vincennes. S. M. a été accueillie par des cris de pive l'Empereur! Des billets avoient été distribués en grand nombre à MM, les électeurs et les députés au Champ. de-Mai, pour entrer dans les appartemens des Tuileries et dans la galerie du muséum. L'édifice destiné à la fédération du Champ-de-Mai est achevé. Les tentures qui doivent orner les tribunes sont déjà dressées; il ne reste plus à placer que les tapis. Depuis plusieurs jours le Champ-de Mai est devenu un but de promenade: tous les après-midi, à six heures du soir, on est sûr d'y rencontrer une réunion très-nombreuse. On y remarque une grande affluence de crieurs qui débitent des pamphlets; les titres de la plupart de ces écrits éphémères font naître plus d'une réflexion à celui qui rapproche les époques de la révolution, et quiprévoit avec calme les grands événemens dont le Champde-Mai doit, dans quelques jours, être le théâtre. Paris, le 29 Mai. Madame mère et le cardinal Fesch sont arrivés cette nuit à Paris. Le lieutenant-général Lecourbe a établi son quartiergénéral à Altkirchi. Le comte de la Tour du Pin est arrivé de Madrid å Gand, chargé de dépêches importantes. Trois artistes de l'Opéra ont été grièvement blessés bier soir par une pièce de bois tombée sur le théâtre. Le général Grouchy commande toute la cavalerie de l'armée du Nord et celle de la vieille garde. Le général Bezaunet commande la ville de Marseille en état de siége: la garde nationale a été désarmée et réorganisée. Bayonne le 25 Mai. A LOUER. DES-A-PRES NT, UN JARDIN DEUX MAGASINS ET UN GALETAS, A en bon état de cultivation, situé dans les environs de Vauvert ; s'adresser an burean du MIROIR. A BOUTIQUE PRESENTEMENT OCCU LPEE par Nicolas Le Pelley, à la Grand'rue, vis à vis la boutique de Mr. Le Motiée, est à louer, pour la [ARRY GORE FAIT SAVOIR, QU'IL A HA Jouer, dès-à-présent, à la Bataille; s'adresser à P. TR ROIS BOISSEAUX, 1 DENEREL, DE 14 ' froment de bonne rente foncière, à recevoir du Sr. Hélier De Putron,' à vendre. S'adresser à l'office du MIROIR. des appartemens loner, pour la St. Jean prochain, W maison, située à la Contrée Croiz, contenant rlaus sa maison, à Haute-Ville. MADAME PAPU, Dentiste, de Paris, prévient le public, que d'après la de mande de plusieurs personnes, elle est de retour dans cette fle. de Londres, fout savoir qu'ils ont une maison à louer, M. 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