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Lord Castlereagh dit que la ratification du dernier traité des alliés n'a pas encore été reçue de Vienne, et qu'il n'est pas probable qu'elle arrive avant Vendredi prochain.

M. Whitbread désire de savoir quel sera l'ajournement que les ministres proposeront Vendredi, 12.

Lord Castlereagh dit qu'il sera proposé à la chambre de s'ajourner au Jeudi suivant, 18.

M. Ponsonby demande si le noble lord produira la copie d'une dépêche adressée en 1811 au ministre de Russie, et d'une lettre écrite par le prince Régent à l'empereur Alexandre dans la même année.

Lord Castlereagh assure le très-honorable membre qu'il y a de fortes raisons pour ne pas rendre ces pièces publiques à présent, et que s'il les counoissoit, il seroit du même avis.

APPROCHE DE LA CAMPAGNE.

The Rhenish Mercury (Le Mercure du Rhin) du 27 Avril dernier, contient les suivantes observations touchant le quartier où il est probable que doivent d'abord éclater les foudres de la guerre." De Paris, dans ses champs Elisées, où il paroît jouir des beautés de la nature, Bonaparte tourne ses yeux sur les frontières pour voir où il peut avec plus d'effet, se forcer un passage.

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Surprendre la Suisse lui promet de grands avantages pour une guerre défensive, mais ce n'est pas là son désir l'insurrection armée dans les montagnes n'est, ainsi que le directoire en a fait l'expérience, nullement à mépriser; le secours est près, le pays pauvre, et n'offrant point de ressources. Ce n'est pas non plus le Rhin central qui attire son attention : l'armée Prussienne sur la Meuse, et Mayence, porte des armées Germaniques, ménace d'une formidable manière ses derrières ou ses flancs, s'il attaque par la Moselle.

"Reste la Belgique, et c'est là, sans contredit, que se concentrent toutes ses vues rapaces et turbulentes. Il a au moins 60,000 hommes bien équipés rassemblés à Paris, ou dispersés dans les camps et les cantonnemens : il peut en cinq ou six jours les réunir tous sur les fron tières de la Belgique, et les augmenter jusqu'au nombre de 100,000 hommes par le moyen des garnisons de la frontière. S'il réussissoit à percer ou à surprendre les lignes Anglo-Prussiennes, mal couvertes par des places mal fortifiées, alors la Belgique lui seroit ouverte; l'es prit de ses habitans lui promet du secours; et des charges et des réquisitions forcées lui fourniroient ce qui lui manque, tandis que ses forteresses lui assureroient une retraite en cas de défaite.

"Carnot, ce tacticien aussi hardi qu'habile, est avec lui. Autour de lui sont ses gardes, et tous ces furieux que la France possède, qui se battront comme des désespérés, pénétrés ainsi que leur chef de la vérité de cet ancien adage: "la première bataille en vaut dix,” et convaincus que leur sort dépend de cet événement. On sera donc, avec beaucoup de précaution, préparé à cette formidable attaque.

"Il y a 20 ans que Carnot developpa le plan qui, tandis qu'il tournoit le flanc gauche de l'armée Autrichienne par la Sambre, et la forçoit ainsi de retraiter jusqu'au Rhin, valut à la France les Pays-Bas. Il est possible que cette violente haine si hautement manifestéé par les Prussiens, attire sur leur position les premiers coups, mais il est bien plus probable encore que l'ennemi se portera en premier lieu sur Gand, entre Lille et Dunkerque et s'efforcera de repousser Wellington vers la Meuse, dans le dessein de couper ses communications avec l'Angleterre, et le chasser, s'il se peut, d'Anvers, espérant que ses opérations seront favorisées par la

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Nul ne peut avec certitude prévoir l'événement futur, car il dépendra d'une variété infinie des causes, dont personne ne peut se rendre compte. Néanmoin, ces conjectures miliaires ont au moins quelque probas bilité historique; mais nos généraux sont sur leurgardes, Blucher et Gneisenau connoissent leur ennemis et Wellington n'est pas un de ceux qui se laissent attaquer en rêvant. Tous sont convaincus que beaucoup dépend de la première bataille, et nous pouvons avec sécurité placer notre confiance en Dieu, dans la bonne cause, dans les braves armées, et dans les plus habiles commandans.

Réponse authentique de la Garde Nationale de Rouen à celle d'Amiens.

La brave garde nationale d'Amiens a généreusement frappé le premier coup; il a retenti par toute la France: nos cœurs animés par un dévouement patriotique, s'empressent de répondre à l'appel des braves: les sentimens des habitans de la Somme sout les nôtres; ce sont ceux de tous les François, Les alliés sont nos amis, ils viennent nous délivrer. Ne soyons pas indifférens dans notre propre cause. Frappons quiconque veut nous forcer de combattre contre notre légitime monarque. Habitans de la Seine inférieure, nous le jurons unanimement-si les satellites du tyran osent venir parmi nous, ils recevront le châtiment dû à leurs crimes: ils ne viennent que pour nous massacrer; ils tomberont sous nos coups. Vive le Roi !

(Traduit du Times.)

JOURNAUX DE FRANCE.

Paris, le 8 Mai.

Sa Majesté eut hier une grande parade qui com. mença après la messe, et ne finit qu'à cinq heures du soir. L'Empereur passa en revue la troisième division de l'armée de réserve, une division de la jeune garde, et 3 divisions d'infanterie et 2 de cavalerie de l'ancienne

garde. Ces troupes déployèrent un enthousiasme qui se communiqua parmi l'immense concours de peuple qui assistoit à cette parade: les musiques des divers régimens jouèrent pendant toute la revue, Allons enfans de la Patrie, &c. Le Chant du Départ, Veillous au salut de l'Empire. Ces airs patriotiques produisirent le plus vif enthousiasme parmi les spectateurs euxmêmes qui mêlèrent leurs hurlemens à ceux de ces braves soldats, l'orgueil et le soutien de la France: le nombre des troupes se montoit à 20,000. Sa Majesté revint au palais Elisée à cinq heures et un quart, et tint un conseil de ministre.

Six cents ouvriers travaillèrent hier toute la journée sur les hauteurs de Montmartre : leur nombre augmente tous les jours. On dit qu'il se montera à 10,000, sur ce point-ci ainsi que sur d'autres, depuis la Seine au dessous de Paris, jusqu'à la Marne: les ingénieurs pensent qu'il seroit possible, si le danger étoit pressant, d'effectuer des inondations pour couvrir toute la gauche de la ligne.

La guerre dont nous sommes ménacés sera une guerre contre l'indépendance des nations. Les puissances coalisées voudroient traiter la France, comme elles ont traité la Saxe, Gênes et le royaume d'Italie. Elles trouveront ici d'autres obstacles et d'autres hommes. Leurs intrigues, leurs insidieuses proclamations ne sont plus de saison. Elles ne réussiront pas plus à nous désunir qu'à nous vaincre. Elles apprendront à leurs

dépens ce que 28 millions de François, 500,000 véterans, et 30,000 officiers qui ont triomphé dans plus de 50 batailles, sont capables de faire.

Les François assurément n'ont jamais été accusés de manquer de courage. Ils ne manqueront pas d'armes et de moyens de défense, et des officiers expérimentés seront partout pour les diriger

Le recrutement des gardes impériales se fait avec une telle activité,qu'on présume que vers la fin de mois, il se montera à 40,000 hommes qui ont tous vu le service.

Une lettre de Lyon, en date du premier de ce mois, mentionne que le département de l'Ain fournit 5000 volontaires, celui du Rhin 6,000, et le Dauphiné 15,000.

Une lettre de Gand annonce qu'on rapporte dans cette ville que le prince Régent d'Angleterre a demandé l'expulsion du comte de Blacas. On croit que le prince a été entraîné à cette démarche par la duchesse d'Angoulême qui avoit déjà fait ses efforts à Paris, avec son mari, et le comte d'Artois, pour se débarrasser du favori. Le duc d'Orléans est soigneusement épié. Ses fréquentes entrevues avec le prince Régent alarment M. Blacas: le comte de Lille, si nous pouvons en croire le rapport suivant, a écrit au duc d'Orléans pour le presser de revenir à Gand.

On dit que M. de Blacas et l'ex-chancelier d'Ambray ont perdu la confiance du comte de Lille, et que le prince Talleyrand est devenu son premier conseiller, ministre de sa maison, et grand chancelier. M. Angles est ministre de la police du comte de Lille; le duc de Feltre, le comte de Jaucourt, M. G. de la Rochefoucault et Lally Tollendal sont ennemis jurés de Blacas.

Depuis plusieurs jours un rapport circule que les hostilités ont commencé sur divers points. Il paroit certain que ces rumeurs sont jusqu'à présent dénuées de fondement.

Le prince Lucien (car aujourd'hui tout le monde est prince) que plusieurs journaux ont envoyé au Nord et au Sud, est encore au village de Bellevue, dans le pays de Gex.

Le gouvernement a nommé des commissaires pour évaluer le montant du dommage qui sera soutenu par les propriétaires des terres comprises dans la ligne des fortifications construites pour la défense de Paris.

De nombreux changemens ont eu lieu dans les autorités à Lille. On dit que le général de division Girard s'est avancé vers le Piémont.

Un grand nombre de commissions sont accordées pour les principaux quartiers généraux; ceux qui les reçoivent ont ordre de se rendre sans délai à Avesne.

Extrait du Times.

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Parme, le 15 Avril

Le 12 de ce mois, M. le comte Magawly est arrivé dans cette ville et a fait publier ce qui suit:

Nous, impératrice Marie-Louise, Archiduchesse d'Autriche, duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla, Faisons savoir à tous les sujets et habitans de nos États de Parme, Plaisance et Guastalla, qu'ayant pris en considération les circonstances et l'impossibilité dans laquelle nous nous trouvons de nous rendre en personne dans nos susdits États, nous avons prié notre très-aimé père, Empereur et roi, de vouloir bien provisoirement les faire administrer en son nom. Nous voulons et enjoignons à nos fidèles sujets et habitans de Parme, -Plaisance et Guastalla, d'obéir aux ordres et à toutes les dispositions que Sa Majesté leur fera connoître, parce que tel est notre plaisir.

Donné au château impérial de Shoenbrun, près de Vienne, le 31 Mars, 1815.

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Ce journal est publié tous les Samedis, à 7 heures du matin, à l'Office du MIROIR POLITIQUE, NO. 185, au bas du Pollet; et à la maison occupée par capt. Champion au Marché. On le porte, avant midi, chez les différens souscripteurs des environs de la ville. Tous avis, annonces, &c. qu'on désire y insérer, sont reçus à l'imprimerie seulement, jusqu'au Vendredi matin de chaque semaine. Le prix de l'abonnement est de six schellings par an,et pour la feuille détachée, trois pennys.

LE

No. 121.]

Journal Hebdomadaire.

GUERNESEY, SAMEDI 27 MAI, 1815.

PROPOSITIONS

De la Campagnie d'Assurance de l'Atlas, établie à Londres pour les Incendies, la Vie, et les Biens Constitués.

LE

E CAPITAL DE CETTE COMPAGNIE EST d'un MILLION deux CENT MILLE LIVRES STERLING; de ce capital, la somme de cent vingt mille livres placée sur le gouvernement ou sur des biens effectifs, sera employée aux desseins de l'établissement, et le reste garanti par une nombreuse société de propriétaires très-respectables. Ainsi la stabilité de la compagnie, et les moyens de remplir ses engagemens, sont d'un côté, à l'abri de toute chance humaine, et de l'autre, les personnes qui font les assurances, et qui n'ont que ce seul objet en vue, n'encourent aucune responsabilité comme en cas de sociétés de contribution.

L'ATLAS entreprend d'assurer les propriétaires de bâtimens, marchandises, meubles, fond de ferme, et autres effets; comme aussi tout propriétaire de barques et navires sur les canaux et dans les ports, contre les pertes causées par le feu. La compagnie entreprend en outre de donner des assurances sur la vie, sur des principes utiles et justes.

LE FEU.

Le bien inappréciable de la sûreté contre la perte causée par l'incendie a fait une impression sensible et croissante sur l'aspect public, et les termes très-modérés au moyen desquels une grande société est en état de procurer ce bienfait à tout particulier en cas d'accident,

LA VIE.

[VOL. III.

Les cas dans lesquels on prend des arrangemens pécuniaires pour compter sur la continuation de la vie des particuliers, sont si nombreux et souvent enveloppés de circonstances si sérieuses, qu'il est difficile d'attacher assez d'importance aux avantages que les moyens d'effectuer les assurances de la vie, procurent à la société. Bien des commerces et des professions rappor

tent des émolumens considérables durant la vie de ceux qui les exercent; tandis que la création d'un fond, résultat de tels profits, pour l'entretien de leur familles doit nécessairement être l'ouvrage du temps. Les malheurs qui peuvent résulter d'une mort prématurée, en pareil cas, peuvent être heureusement détournés par la précaution de l'assurance.

LE COMITE DE PROPRIETAIRES suivant est autorisé à signer les polices d'assurance pour Guernesey et Jersey, au nom de la Compagnie; savoir:

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a rendu l'exécution de cet important objet si facile, que ON

cette précaution est rarement négligée par des personnes sages et prudentes.

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une

Pour encourager les personnes qui feront assurance de 7 ans par un seul paiement, on leur fera une déduction d'un septième du prix; et si au bout de ce terme, une seconde assurance s'affectuoit sur la même propriété, on déduiroit un cinquième du prix, et ainsi de suite tous les 7 ans successifs.

LES RENTES DE BATIMENS pour un terme qui n'excédera pas 6 mois, seront payées à raison de 5 pour cent par an, sur la somme assurée à ce bureau, quand les personnes assurées en auront éprouvé la perte par le feu, et il sera alloué un prix raisonnable pour le transport des marchandises. L'on payera les pertes occasionnées par le TONNERRE.

DESIRE TROUVER LA SOMME de 2001, ou en environ, à l'intérêt, pour laquelle ou donneroit une bonne garantie; s'adresser au Sieur Daniel de Mouilpied, à St. Martin.

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LE

E Sr. LOUIS ROBERT, HERITIER PRIN-
CIPAL du Sr. Louis Robert, et de Dame Marthe
Du Frocq, ses feu père et mère, prie ceux qui doivent
à la succession des dits défunts de venir payer le montant
de leurs comptes, avant le 30 Juin, faute de quoi
il les poursuivra en loi. Le susdit prie aussi ceux qui
prétendent leur être dû quelque chose sur la dite succes-
sion de lui apporter leurs comptes avant la susdite date.
Le susdit a un cheval, bon à la selle, à vendre :
s'adresser au susdit, à la Charysterie.

EVRIER, FERMIER DES DIXMES DE
ville, prevent

tans de la dite paroisse qui ont des espèces qui paye

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ont faire pour payer la

dite dixme, depuis le 29 Septembre, 1814.

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PROCUREUR d'Elie Bisson, fait savoir, que la maison, belle et jardin, située au Pollet, appartenant au dit Bisson et cohéritiers, lesquelles étoient ci-devant occupés par feu

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RS. DE LEREE, FAIT SAVOIR, QUE sa maison, No. 1055, située à la Ville Neuve, présentement occupée par Mr. Male, est à vendre ou à louer, pour la St. Jean prochain; s'adresser à la maison de François Pouch, à la Grand'rue; le susdit à différens meubles, neufs, à vendre, à prix raisonnable.

Monsieur Jean La Serre, serout baillés à rente, au plus DEL

offrant, sur le lien, Mercredi le 7 Juin prochain, entre,
onze et douze heures du natin.

EUX MAGASINS ET UN GALETAS, A louer, dès-à-présent, à la Bataille; s'adresser à P. De Havilland, éc.

E Sr. SAMUEL MAHY, FERA VENDRE, JTES &endre, à fecevoir comme suit;
LE Sr. SAMUEL MAHY, FERA VENDRE,

matin, à la maison du Sr. Mahy, ès Romains, à St.
Sampson, une cavalle, âgée de quinze ans, une vache
annoullière âgée de huit ans, un boeuf âgé de sept ans,
une vache qui donne lait, âgée de sept ans, une vache
âgée de quatre ans, qui sera à terme la semaine pro-
chaine, une genisse de trois ans, pleine,

EAN OZANNE A LES RENTES SUIVAN 9. b. d. Des saisis de l'héritage de Mr. David King 1 20 Et des Sieurs Léonard Tostevin, et Jean Tostevin, frères, au Pont Vaillant. 01S Comme aussi une quantité de cendre, ou fumier, par le boisseau; s'adresser au susdit au plutôt.

an allant sur trois, et une coche en a un bouveau d'un CINQ A DIX QUARTIERS DE FROMENT

un chariot, charue, et appartenances, et tous les ustenciles
de labourage et meubles et effets de maison.

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:

D'AUVERGNE & Co VIENNENT DE recevoir de Riga, les articles suivans, qu'ils vendent présentement; savoir des mats et vergues de différentes dimensions; des bords pour ponts de vaisseaux de deux pouces et demie à 3 pouces d'épaisseur, et de 30 à 50 pieds de longueur ; des bouts de bords, depuis 6 pieds de long jusqu'à 8, et de 11 pouces de largeur; comme

aussi des square bulks, et environ 15 tonneaux de fer

de Russie. Les susdits out aussi une quantité de bois
de navire de chêne à vendre.

de rente, en deux parcelles, sont à vendre; s'adres. ser à J. Ozanne, àl'office de Mr. l'Avocat De Jersey.

T. St. Martin, fait savoir, qu'il lui est dernièrement

DE MOTILPIED, DES VAURIOUFS, A

arrivé un cargaison de bord de Suède et de Norwège, depuis 6 pieds de long jusqu'à 21, et de 6 à 11 pouces, de laize, et de différentes épaisseurs ; comme aussi des poutres, et une quantité de spares de 15 à 36 pieds de long; qu'il vend à la yarde de Mr. N. Le Retilley. LA MAISON DE LA BRASSERIE DERNIEREMENT occupée par J. Collings, jun. éc. est à louer; s'adresser à l'office de l'Avocat Le Cocq.

RICHARDS ET LE BOUTILLIER, FONT N

savoir, que leur société terminant le Sime. de ce
mois, ils
vendent actuellement leurs marchandises
beaucoup au dessous du prix ordinaire.

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ICOLAS COLLENETTE, FAIT SAVOIR, que son assortiment de marchandises, consistant en services à diner, services à thé ornés, de la Chine, communs do. vases de cheminée et autres décorations et garnitures, pots à leurs et terreries, decanters, lunettes d'approche, pipes en fayence, corail, verreries verres et gobelets, verres à couleurs, pots à beurre, de boutique, cabarets de table, portes liqueurs, plateaux à thé et théyères, boites à charbon, soufflets, &c. &c. est à vendre à prix réduit, attendu qu'il est sur le point de quitter cette branche de commerce.

N. B. Il a aussi du Charbon de Choix, à £3 st. le touneau.

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The Tenders to be adressed to the Assistant-luspector

J AND W. COLLINGS AND BROTHERS, General of Barracks, a Le Gravée, with the purpose for

have for sale;

5 Hogsheads of lump and loaf sugar.

30 Bales of best cut corks.

15 Pipes of white wine.

30 Pipes of Spanish red wine.

3 Cases of English soap.

4 Barrels of Starch.

A few tons of various size cordage.

WM. AND H. ANGEL, HAVE BEAMS,

of different dimensions, for sale, at reduced

prices, at their timber yard, New-Town.

which they are made written on the outside thereof; each Tender, to give the name of two sureties, for the due performance of the contract.

Every necessary information may be had on application at the Barrack Master's Office, at Le Gravée, any day before 12 o'clock, at noon.

MR. L. WINCEY, HAS A PUBLIC OVEN

to let, possession to be had immediately apply to said W. at his house, 61, High-Street.

VENDRE, LES
LES MARCHANDISES SUI-
AMAI

TO BE LET IMMEDIATELY, TWO STO- AVANTES;

TRES

RES, at the Bordage; apply to W. Peter Price.

WCROLA, Consisting of a shop, kitchen, wash

M. MAILLARD's HOUSE, CONTREE

house, cave and pump, is to be given to rent.

20 tonneaux caffe de St. Domingue.
12 barils girofle de Cayenne.

8 serous indigo, première qualité,
18 poncheons de rum.

S'adresser à Jean Valrent et Co. ou au magasin de

SHOP AND A CELLAR, ARE TO LET, Mr. Hélier Boucaut, sur les Quais.

A immediately; apply to D. Naftel, Grand-Carrefour,

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