Le Dessein La Danse £4 4 0 par an. 1 1 0 id. 1 1 0 id. 4 4 0 id. et une guinée d'entrée 4 4 0 id. et id. 3 0 0 id. et id. La tenue des liv. par partie simple 0 10 6 Id. ⚫ partie double. 1 1 0 La susdite école est tenue par Madame Hanington, secondée par Mr. Orts, qui a dirigé l'école lors de Tin disposition sévère et presque constante de feu Mr. Harington, pendant les neuf der ères années. L'état actuel et continuellement florissant de l'école présente à Madame Hauington la preuve la plus satisfaisante, que la conduite de Mr. Orts et les soins qu'elle donne à l'arrangement domestique de la maison, ont mérité l'approbation des parens des jeunes messieurs qui lui ont été confiés. La situation seine et agréable de Twyford est bien connue; la maison est très commode. L'école et le terrein destiné à la récréation sont extrêmemet spacieux; et on n'oublic rien de ce qui peut contribuer à la santé, aux progrès, et au bien-être des pensionnaires. On peut s'adresser, pour de plus amples informations, à Mr. J. Agnew, Député Greffier du Roi, à Guernesey, à capt. Clement Nicolle, ou à Mr. George Matthew, maître d'école, à Jersey. N. B. On n'admet aucun externe. Madame Hanington prend la liberté d'assurer ses amis qu'elle est pénétrée de la plus vive réconnoissance pour les bontés et l'eucouragement distingué qu'elle éprouve et a l'honneur de les informer ainsi que le pulic, que l'école recommencera après les présentes vacances, Lundi le 28 Janvier, 1815. NQ A DIX QUARTIERS DE FROMENT de rente, en deux parcelles, sont à vendre; s'adresser à J. Ozanne, à l'office de Mr. l'Avocat De Jersey. MAISON APPARTENANT AUX LA héritiers de fen Mr. Dobrée, éc. à la rue Berthelot, est à louer, pour le 25 Mars prochain; s'adresser à J. Arnold. LEAZAR LE MARCHANT, éc. SEIGNEUR Arrivée des Vaisseaux. Le 13 Jan. Kitty, Corley, de Brixham; Joseph and Jane, Le Page, d'Auregny, General Doyle, Le Masurier, de Jersey. Le 14. Grocer, Kirby, de Sunderland; Rover, Le Cocq, d'Auregny. Le 15. Rose, Priaulx, de Southampton; Sir Sidney Smith, Young, de ditto; Lord Gambier, Bishop, de Southampton; Thomas and Susan, Deckers, de Brixham; Dove, Chamberlain, de Lyme; Lord St Helens, Simpson, de Portsmouth; Lord Nelson, Black, de Shields. Le 16. John, Pater, de Torbay, Jane, Bell, de Jersey. Le 18. Christian, Cunning, de Dublin. Le 19, Hichinbrook, Quirk, de Weymouth. Le 14e Janvier, 1815, devant Monsieur le Bailli, présens: Daniel de Disle Brock, Pierre le Pelley et Hélier Carré, écuyers, jurés. Mr. Hélier Boucaut, jun. amerci envers Dame Anne Perchard, veuve du Sr. Josué Le Gros, et est l'arrêt que Mr. James Boucaut, lors curateur aux biens du dit Hélier Boucaut fit de la personne de la dite Perchard, pour parvenir au paiement de £49 10s. sterling, pour 49 semaines et demie de la garde,nourriture et entretient de la dite Dame Perchard, échu le 3e. Décembre, 1814, sur le pied d'une livre sterling par semaine, ainsi qu'il prétend, au délire et aux frais; les actions de la dite Perchard, saufs pour ses dommages prétendus, dont le dit Boucaut appelle devant plus de Jures; et proteste l'actrice de tous dommages, chommages, événemens, intérêts et dépens. (Signé) GEORGE LE FEBVRE. Greffier du Roi. Le 14e. Janvier, 1815, devant Monsieur le Bailli; présens, &c, Sur l'action de Dame Anne Perchard, veuve du Sieur Josué Le Gros, contre Mr. Hélier Boucaut, jun. à se voir adjuger dans le temps et sur la peine qu'il plaira à la Cour ordonner, lui livrer et mettre entre mains plusieurs meubles et effets, appartenant à la dite Perchard, qui sont ou étoient dans la maison occupée par le dit Hélier Boucaut et sa avec qui la Perchard relation à acte précédant; sont les dits partis envoyé examiner le différend devant Pierre Le Pelley, éc. juré, sur trois livres tournois, et lui payer ses dépens. Edit le Comt, appartenances et dépendances, famille, à Haute-Ville, et avto Décembre, 1814, qui, a fait savoir, que Merore prochain, 25 du courant, environ les 10 heures matin, il exposera en vente, au plus offraat, à la Maison de Pierre Brehaut de la Claire Mare, une barrique de vin rouge, marquée B. A, C. trouvée sur le dit hef, su la côte du Ouest de cette fle, pour en empêcher le dépensement, pour le compte de qui il appartienda, devant Jan De Liste, éc. juré, aux fins d'acte de Cour Royale du7 Janvier, 1815. (Signe) GEORGE LEFEbvre, Greffier du Roi. Le 14 Janvier, 1815, devant Monsieur le Bailli; présens, &c. Sur l'action de Dame Anne Perchard, veuve du Sieur Josué Le Gros, contre Mr. Hélier Boucaut, jun. à voir la Cour mettre au délivre l'arrêt qu'il a fait de la personne de d'un poëme épique dont le sujet est la Fondation du royaume d'Arragon par le roi Inigo Arista. Le Rédacteur de la gazette officielle assure qu'à juger de cet ouvrage par les morceaux qu'on a trouvés, son auteur auroit obtenu une place distinguée parmi nos plus grands poëtes. C'est d'autant plus remarquable que la modestie de M. le comte de Sastago n'avoit jamais laissé entrevoir qu'il pût s'occuper d'une aussi haute entreprise. PORTUGAL. Lisbonne, le 15 de Decembre. Le chef Electif (juiz do povo) des corps des métiers de cette ville a adressé, en leur nom, à S. A. R. le prince Régent les félicitations les plus respectueuses au sujet de la paix générale, et a manifesté le vœu de la capitale pour le retour de la famille Royale. S. A. a répondu par la lettre suivante: "Très-honorable juiz do povo de ma ville de Lisbonne, moi le prince Régent vous salue. C'est avec le plus vif sentiment de plaisir que je me suis complu à accueillir dans mon cœur royal et paternel les vrais témoignages de loyauté et d'amour que vous m'avez adressés au nom du peuple de cette ville, avec les expressions fidèles de son souvenir et du plus ardent désir de m'y voir rentrer avec ma famille royale. D'aussi nobles et purs sentimens sont bien dignes d'un peuple qni met sa gloire dans l'attachement le plus ferme et le plus constant à son légitime souverain. Je refois ces sentimens comme la plus précieuse récom - | pense des sacrifices que j'ai faits pour lui assurer la conservation d'une dynastie qui l'a rendu heureux par un régime modéré et par une douceur vraiment paternelle. La Divine Providence qui a protégé si manifestement les efforts unanimes des Puissances Allieés, et qui, par la destruction du grand obstacle qui s'opposoit à la paix du monde, garantit l'heureux rétablissement de Tordre et de Pacien bonheur, daignera aussi m'en récompenser en raison de la part effective que j'y ai prise, en m'accordant la satisfaction desirée de me trouver, quand les circonstances me le permettront, au milieu de ce peuple qui a acquis tant de titres à ma royale considération Je pourrai alors l'assurer de la satisfaction que m'a donnée sa conduite exemplaire et héroïque. Communiquez-lui mes sentimens, et faitesle souvenir que son souverain n'a d'autres vues que celles de le rendre heureux. "Ecrit au Palais de Rio Janeiro, le 26 d'Août, 1814." (Signé) PRINCE. Ordre circulaire expédié aux gouverneurs des ports et domaines ultramarins, sous la méme date du précé. | dent decret. Les hostilités entre les puissances Belligérantes étant heureusement terminées par les efforts des armées Alliées, si évidemment secondées par la Divine Providence, et un des rapports d'amitié que la guerre qui vient de fiuir avoit interrompus, S. A. R. ordonne que dorénavant tous les bâtimens François soient admis dans les ports de cet état (le Brésil), ainsi que ceux des autres puissances qui, par suite de la domination et de l'influence Françoises, étoient considérées comme ennemies du Portugal: S. A. R. ordonne en outre que lesdits bâtimens soient admis comme amis, et qu'on leur facilite le commerce permis aux nations actuellement en paix et en amitié avec cette cour, pouvant également, tous les sujets Portugais, expédier leurs bâtimens pour tous les ports soumis à la domination des mêmes nations. Je vous communique cet ordre royal, pour que vous le rendiez public dans les ports du ressort de votre gouvernement. Palais de Rio Janeiro, le 18 de Novembre, 1814. Décret sur la concession des terres du Brésil. Ayant jugé convenable, pour les intérêts de ma Palais de Rio Janeiro, le 25 de Novembre, 1814. BELGIQUE. Gand, le 2 de Janvier. On doit établir une ligne formidable de défense sur le Rhin, depuis les frontières de la Suisse jusqu'à Wesel. Une armée permanente maintiendra la sûreté de l'Allemagne. Des liaisons défensives entre l'Empire et le royaume des Pays-Bas Unis seront formées de manière à assurer l'indépendance de ce dernier contre les évènemens de l'avenir. Cet état acquerra, par sa situation, ses ressources commerciales et militaires, une grande influence dans la balance politique de l'Europe. Les nouvelles de Vienne parlent d'un nouveau projet, d'après lequel l'archidue Charles, marié avec la grandeduchesse Catherine, tiendroit sa cour à Varsovie. La Pologne seroit alors placée sous un gouvernement mixte, partagé entre les maisons d'Autriche et de Russie. a CURIOUS CIRCUMSTANCE. We copy the following curious circumstance from On Monday an inquest was held at the St. An- on From severe indisposition the author of the World is under the necessity of delaying No. 3, to a further date. Sun-Rise is unavoidably postponed till our next. Original Poetry. Wellington'S HISTORY of the FreNCH MARSHALS. "Tis presumption in me, In such verse do you see, To sing of great Wellington's battles, Who, the devil can't move, When the drum, and the loud cannon, rattles. To Vemeira he sped, When the vain Junot said, "He'd grant these lost children protection" But well beat and disgrac'd, He soon back his steps trac'd To Lisbon, with wholesome correction. On the Douro's steep banks, He play'd terrible pranks, And surpriz'd Master Soult eating toast, Who, was led to suppose, That none under his nose, Dar'd attempt, to lay hold of his post. Talavera's proud field, Saw the bold Victor yield, Who fought on that morn like great Hector, On that very same day, That Well'sley was chang'd into Victor. Then Massena next tri'd, Of French Marshal's the Pride, "The Spoil'd Child of good fortune his name," Yet the great Wellington, Though no battle he won, Spoil'd this child of his fortune and fame. Now the Dos Arapil's, Are two nice little hills, Where rash Marmont determin'd to fight, But a wound from round shot, Was the glory he got, And his troops sav'd themselves through the night. We all very well know, At Vittoria met with their dues, They there lost their canon, So well beaten were these parlez-vous. Then to see how things went, The surpriz'd Soult was sent, Who row'd Jourdan and Joe like the deuce, But at Orthes this lad, Was himself drubb'd as bad, And our hero march'd on to Toulouse. Ce journal est publié tous les Samedis, à 7 heures du matin, à l'Office du MIROIR POLITIQUE, No. 184, au bas du Pollet; et à la Maison occupée par capt. Champion au Marché. On le porte, avant midi, chez les différens Souscripteurs des environs de la ville. Tous avis, annonces, &c. qu'on désire y insérer, sont rereçus à l'Imprimerie seulement, jusqu'au Vendredi matin de chaque semaine. Le prix de l'abonnement est de 6 schellings par an, et pour la feuille détachés 3 penys. LE No. 104.] Journal Hebdomadaire. GUERNESEY, SAMEDI 28 JANVIER. 1815. PROPOSALS From the ATLAS ASSURANCE COMPANY, of London, for FIRE, LIVES and ANNUITIES, THE LIFE. [VOL. III The cases in which pecuniary arrangements are made to depend on the continuance of particular lives are so numerous, and often involve such serious consequences to individuals and families, that it is difficult, to attach sufficient importance to the advantages which the means of effecting life assurances afford to society. Many trades and professions furnish considerable emoluments during the lives of those employed in them; whilst the creation of a fund from the savings of such profits, for the provision of dependants, must of neces sity be the work of time. The calamities which may result from an early death, in such cases, can happily be averted by the precaution of Assurance. THE CAPITAL OF THIS COMPANY IS ONE MILLION TWO HUNDRED THOUSAND POUNDS; of this capital,the sum of one hundred and twenty thousand pounds, invested in government or real securities, will be applicable to the immediate purposes of the Institution, and the remainder guaranteed under a deed of settlement, by a most numerous and respectable proprietary. Thus the stability of the Company, and the means of fulfilling its engagements, are on the one hand placed beyond the reach of any calculable human hazard, and on the other persons making assurances, and having no other object in view, do not incur respon-authorized to sign Policies of assurance for Guernsey The following COMMITTEE OF PROPRIETORS are sibility, as in the case of contribution societies. THE ATLAS undertakes to assure the proprietors of buildings, merchandize, furniture, farming-stocks, goods and effects; and also of craft and shipping upon canals and in harbours, against loss arising from fire. The company likewise undertakes to grant assurances upon lives, on useful and equitable principles. FIRE. The inestimable value of security against loss by fire has of late years made a sensible and growing impression on the public mind; and the very moderate terms upon which large bodies are enabled to afford and Jersey on behalf of the Company-viz. DE LA RUE, BEGS TO INFORM THE that benefit to individuals in the event of accident, T. public that he has for sale, at the Mirror-Office, have rendered the attainment of this important object so easy, that the precaution is rarely neglected by considerate persons. Second Hazardous. 30 5000 Unless by 3000 special agree ment. Third. Double hazardous] 5 0 For the encouragement of persons making assurance for seven years by one payment, a deduction of one seventh part of the premium will be made; and if at the end of that period a further assurance for 'seven years be effected on the same property, a deduction of one fifth of the premium will be made, and so on for every succeeding seven years. RENT OF BUILDINGS for a period not exceeding six months, at the rate of 5 per cent. per annum on the sum assured at this office will be paid, when the assured shall have suffered the loss thereof by fire, and a rea Losses occasioned by LIGHTNING will be paid, Pollet-street, Mr. Colombier's soap, which is warranted R ICHARDS AND LE BOUTILLIER, HAVE FOR SALE, AT JOHN BROUARD'S YARD, Also a second-hand front door wood portico, a O BE A ROOM Toor, in the House compied by TTDELERS apply at the Mirror Office. Music Tuition. P Peter's, respectfully informs the public, that the LE PATOUREL, ORGANIST OF ST. quarter of his Musical Academy commenced on the 1st. of January, inst. (attendance the 9th); the instruments he professes to teach are piano-forte, flute, double flageolets, clarionet, violin, transposition thorough-bass, &c. &c. Second-hand piano-fortes taken in exchange for new ones, which may be had (warranted) from any maker in London. W CORBIN, GIVES NOTICE, THAT THE lower store of his magazine, on the Quays, is to be lit it. The second dry flour in the said magazine, let; it has a good writing office, a cistern and (with an avenue to it in the broad stairs adjoining), is also to be let, for the 25 March next. ESSRS. MANSELL, COLLINGS TO BE SOLD, THE COTTAGE AND T garden, belonging to Louis Marie. TWO ROOMS & A GARRET TO BE LET, Mr. Levier's. Apply to Joseph Bennett, at his shop, for Easter next, in the house belonging to Mr. T. Mauger, situated at the top of Market-Place, opposite Fountain-Street. The said Bennett has recently received an assortment of Roman violin strings which he sells at a reasonable price. T THE APARTMENTS, LATELY OCCUPIED by Richard Chasty, in the house where Mr. Nic. are to be let and entered on immediately. Pelley, shoemaker, keeps his shop, in High-street, be sold or let: possession be be had immediately; WO HOUSES IN THE NEW-TOWN, TO enquire of Peter de Havilland esq. New-Town-House. ANDLE MESURIER AND CO. HAVE FOR SALE; M Betts, have the following goods for sale, at their brewery, Country Mansell. A parcel of fine Holland Geneva. small quantity sugar. white salempore, blue ditto., chilloes, niccannees romals, muslius,stuffs, blankets, flannels, and a variety of other goods. A few tous of cordage, and about ten thousand Tat Haute-ville, or Pied-de-la-Varde, belonging to Dutch hoops, THE ESTATE CALLED LA said house. 5 Hogsheads of lump and loaf sugar. 30 Bales of best cut corks. 15 Pipes of white wine. 30 Pipes of Spanish red wine. 3 Cases of English soap. 4 Barrels of Starch. A few tons of various size cordage. NOR SALE, EVERY TUESDAY AND PA AUL GRUT, HAS FOR SALE, GOOD WO BOOMS TO LET, IMMEDIATELY, Saturday, at the store belonging to the heirs of Tin the house occupied by L. Vaudin, New-Town. |