Cours de littérature française, Band 3Didier, 1851 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
admirable Alfieri âme anglais antique avaient barbarie Barthélemy beau Beaumarchais beautés Bernardin de Saint-Pierre c'était caractère célèbre Chalotais chants chose civilisation critique d'Alfieri Ducis écossais écrivains élégante éloges éloquence énergique époque Eschyle esprits études Filangieri forme française Gaëlique génie ginalité gloire goût gouvernement Harpe Homère hommes idées imité ingénieux inspiration italienne jeune l'âme l'antiquité l'éloquence l'esprit l'Europe l'histoire l'imagination l'imitation l'Italie langage langue lettres liberté littéraire littérature livre Louis XIV lui-même Macbeth Macpherson mêle ment Mérope Messieurs Métastase milieu moderne mœurs Montesquieu morale n'avait n'était Naples nation nature naturel original Ossian ouvrage parle paroles passion pays pensée personnages peuple philosophie Piémont poëmes d'Ossian poésie poëte poétique politique premier presque prince puissance puissante qu'un Racine réforme religieuse reste Romains Rome Rousseau sais savant scène semble sentiment seulement Shakspeare singulière sociale société Sophocle style sujets talent théâtre grec Thomas tion tique tragédie grecque trouve vérité voilà Voltaire Xénophon XVIIIe siècle xvir
Beliebte Passagen
Seite 129 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Seite 331 - Ce qu'il ya d'affreux , c'est que le monstre a un parti en France; et pour comble de calamité et d'horreur, c'est moi qui autrefois parlai le premier de ce Shakespeare ; c'est moi qui le premier montrai aux Français quelques perles que j'avais trouvées dans son énorme fumier.
Seite 308 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, • Tendre au fer de Calchas une tête innocente ; Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Seite 55 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois , et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Seite 325 - ... je m'aperçus que les Anglais avaient raison, et qu'il est impossible que toute une nation se trompe en fait de sentiment , et ait tort d'avoir du plaisir.
Seite 238 - Le public, amoureux des nouveautés, court après eux; il s'en dégoûte, et il en paraît d'autres qui font de nouveaux efforts pour plaire ; ils s'éloignent de la nature encore plus que les premiers : le goût se perd; on...
Seite 399 - ... et à peine me reste-t-il de quoi me trouver encore moi-même. Qui ne vous voit point n'a rien vu ; qui ne vous goûte point n'a jamais rien senti : il est comme s'il n'était pas; sa vie entière n'est qu'un songe.
Seite 268 - Chartreuse , ce lieu est fait pour vous. Combien il réveillera dans votre imagination d'idées mélancoliques et tendres ! Je vous connais , vous serez plus d'une fois tenté d'y rester ; vous n'en partirez du moins qu'avec les regrets les plus...
Seite 256 - ... et de révolutions ou physiques ou morales sur le globe suspendront encore, pendant des milliers d'années, les progrès de l'esprit humain dans cette étude de la nature? Heureux si, après ces longues interruptions, le genre humain renoue le fil de ses connaissances au point où il avait...
Seite 340 - Sans doute, en d'autres temps, objet de mon mépris, Ont vaincu, malgré moi, mes timides esprits. On prétend (et ce bruit n'a plus rien qui m'étonne), Qu'on a vu sur nos bords la terrible Iphyctone . Iphyctone, interprète et ministre des dieux, Qui se montre aux mortels, et s'échappe à leurs yeux.