Souvenirs et révélations: Histoire diplomatique de l'alliance franco-russe, 1873-1893P. Ollendorff, 1898 - 339 Seiten |
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... conseil . Le duc de Poli- gnac commença par refuser , en alléguant les difficultés de la politique intérieure , laquelle , aînée des Bourbons d'Espagne n'ont par , je crois , cessé d'exister . Ils se traduisent encore , m'assure - t ...
... conseil . Le duc de Poli- gnac commença par refuser , en alléguant les difficultés de la politique intérieure , laquelle , aînée des Bourbons d'Espagne n'ont par , je crois , cessé d'exister . Ils se traduisent encore , m'assure - t ...
Seite 38
... conseil , le portefeuille des Affaires étrangères . A ce moment , grâce au payement anticipé du cinquième et dernier milliard de l'indemnité de guerre , nous étions libérés envers l'Allemagne . L'occupation étran- gère touchait à son ...
... conseil , le portefeuille des Affaires étrangères . A ce moment , grâce au payement anticipé du cinquième et dernier milliard de l'indemnité de guerre , nous étions libérés envers l'Allemagne . L'occupation étran- gère touchait à son ...
Seite 40
... conseil . Si cela arrivait , à qui nous adresserions - nous ? Parmi les confidents de ses perplexités , se trouvait le duc Decazes , son futur successeur aux Affaires étrangères , qu'il venait de nommer ambassadeur à Londres et qui n ...
... conseil . Si cela arrivait , à qui nous adresserions - nous ? Parmi les confidents de ses perplexités , se trouvait le duc Decazes , son futur successeur aux Affaires étrangères , qu'il venait de nommer ambassadeur à Londres et qui n ...
Seite 49
... quelque sorte sous la dictée de M. Clément Laurier . Au conseil , les deux délégués se disputèrent avec âpreté la succession de l'amiral . -C'est à moi que le portefeuille revient , disait M. 4 DE L'ALLIANCE FRANCO - RUSSE . 49.
... quelque sorte sous la dictée de M. Clément Laurier . Au conseil , les deux délégués se disputèrent avec âpreté la succession de l'amiral . -C'est à moi que le portefeuille revient , disait M. 4 DE L'ALLIANCE FRANCO - RUSSE . 49.
Seite 144
... conseil , des tendances duquel le mi- nistre des Affaires étrangères s'était fait le très docile instrument , la politique française incli- nait visiblement à créer entre la France et l'Al- lemagne une étroite intimité dont elle ...
... conseil , des tendances duquel le mi- nistre des Affaires étrangères s'était fait le très docile instrument , la politique française incli- nait visiblement à créer entre la France et l'Al- lemagne une étroite intimité dont elle ...
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Seite 14 - France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit Grande et Forte.
Seite 21 - Je veux rester uni à la Russie. Si l'empereur Nicolas attaque l'Autriche, je me tiendrai en mesure et me réglerai selon les circonstances; mais si l'Autriche l'attaque, je ferai marcher immédiatement contre elle. Peut-être qu'une guerre contre la cour de Vienne me sera utile, parce qu'elle fera cesser les dissensions intérieures et occupera la nation en grand comme elle le désire".
Seite 55 - Jamais la Prusse n'oubliera que c'est à vous qu'elle doit que la guerre n'a pas pris des dimensions extrêmes. Que Dieu vous en bénisse. Pour la vie votre ami reconnaissant.
Seite 13 - Ktats la guerre la plus inique, la plus odieuse. Toute réconciliation entre lui et moi est désormais impossible, mais, je le répète, je n'ai en France que cet ennemi. Tous les Français, hors lui, sont bien vus de moi.
Seite 92 - ... soigneusement dissimulés, et qu'on se décide quelque jour à le mettre en présence d'un fait accompli. Je n'aurais plus cette crainte et ma sécurité serait absolue du jour où Sa Majesté aurait déclaré qu'elle considérerait une surprise comme une injure, et qu'elle ne laisserait pas cette iniquité s'accomplir. Avec ce mot-là, la paix du monde serait assurée et il est bien digne de l'empereur Alexandre de le prononcer. Pour moi, je n'hésite pas à ajouter à ce que vous avez dit si...
Seite 92 - ... exercerait, si elle se produisait à temps. Mais c'est précisément parce que ses volontés pacifiques sont bien connues à Berlin, parce qu'on y sait qu'il protestera énergiquement contre des desseins pervers que je dois craindre qu'ils lui soient soigneusement dissimulés, et qu'on se décide quelque jour à le mettre en présence d'un fait accompli. Je n'aurais plus cette crainte et ma sécurité serait absolue du jour où Sa Majesté aurait déclaré qu'elle considérerait une surprise...
Seite 81 - J'ai la conviction cependant que l'Allemagne est très loin de vouloir la guerre et que tous ces agissements très regrettables de Bismarck ne sont que des ruses employées par lui, pour mieux assurer son pouvoir, en se faisant croire plus nécessaire par l'étalage de dangers imaginaires.
Seite 215 - Bulgarie avec cette idée sérieusement mûrie et décidée, le moment viendra où quelque défavorables ou même hostiles que puissent paraître en ce temps les actes de la politique allemande vis-à-vis de l'entreprise de Votre Altesse, les sentiments que le gouvernement de Berlin nourrit en secret pour le succès de son action monarchique en Bulgarie pourront éclater au grand jour et avoir ainsi toute l'efficacité attachée à l'action ouverte et décidée d'un puissant empire.
Seite 105 - J'étais chargé de le répéter à Berlin. J'ai vu le vieil empereur qui a paru d'abord fort étonné de nos inquiétudes ; il ne pensait vraiment pas que la guerre fût imminente, mais il était le seul aussi mal informé à Berlin. Il n'a donc pas été difficile de l'amener où nous voulions, après qu'il a été averti. Quant à Bismarck, il sait qu'il ne peut attaquer la Russie à cause de vous, ni vous si la Russie s'y oppose. Je tiens donc la paix pour assurée. » Cette page d'histoire contemporaine...
Seite 83 - S'il en était autrement, c'est-à-dire si l'Allemagne entendait rentrer en campagne sans motif ou sous des prétextes futiles, elle se placerait vis-à-vis de l'Europe dans la même situation que Bonaparte en...