Souvenirs et révélations

rassurants. - Le duc Decazes et le prince Orlof. — Élo-

quente lettre du duc Decazes au général Le Flô. — Une

tentative hardie.

IV.

- Perplexités du général Le Flô.

Il lui livre son portefeuille. · Un

coup de maitre. Résultat de cette démarche. Les

deux empereurs se rencontrent à Berlin.

rée. - L'opinion du comte Schouvalof, de lord Derby et

du duc de Cambridge. . .

La politique d'Alexandre II. - La

conférence de Constantinople.

I. De 1875 à 1879.

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-

Résultats de l'attitude de M. Waddington.

M. Grévy succède au maréchal de Mac-Mahon. - Il rêve

l'isolement de la France.

-

--

Les patriotes français ne s'y

résignent pas. Incidents obscurs.

Immobilité diplomatique de la Russie.

Les mouve-

ments nihilistes. Événement de 1879. Les lettres

impériales. Émotion de l'empereur d'Allemagne.

-

L'entrevue d'Alexandrovo. Irritation de M. de Bismarck.

Il va à Vienne.

-

Sa visite chez l'ambassadeur de

France. Le traité du 7 octobre. L'affaire Hartmann.

Le prince Orlof appelé à Saint-Pétersbourg.

retour. Assassinat d'Alexandre II.

71

-

M. de Giers ministre des Affaires étrangères. - Démis-
sion du général Chanzy, ambassadeur en Russie. -

couronnement de l'Empereur. - Démission de l'amiral
Le général Appert lui succède.

Jaurès.

IV.

-

--

-

L'ambassade du général Appert. - Le passé du nou-
vel ambassadeur. M. Ternaux-Compans. La situa-
tion de l'Europe en 1883. Rapprochement de l'Italie et
de l'Allemagne. Les Russes en Asie. Le prince Orlof
remplacé par M. de Mohreinheim. - M. Jules Ferry et M. de
Bismarck. Entrevue de Skiernevice. Grande faveur
du général Appert à la cour de Russie. Il atténue
auprès du Tsar les effets de la politique intérieure de la
France. L'Empereur chez l'ambassadeur de la Répu-
blique.

-

M. de Freycinet minis-
Il songe à rappeler le géné-

Pages.

V. Chute du ministère Ferry.
tre des Affaires étrangères.
ral Appert. Versions contradictoires. Une lettre de
M. de Freycinet. - Mécontentement du général. - Son
entrevue avec l'Empereur. - Causes de l'irritation de ce
dernier. Il refuse tout ambassadeur.-M. de Mohreinheim
quitte Paris. Démission de M. Ternaux-Compans.
Mission du comte d'Ormesson.

-

Ses heureux résultats.. 113

Ꮇ . FLOURENS

CHAPITRE V

MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET SES SUCCESSEURS

-

I. M. Paul de Laboulaye est nommé ambassadeur en
Russie. Un mot de M. Grévy. Première entrevue
avec l'Empereur. Chute de M. de Freycinet.-M. Flou-

-

rens.- Son programme. — Réveil de la question bulgare. —

Attitude des puissances.

-

Les délégués à Paris. Nos
bons procédés envers la Russie. Différences de vue
entre M. Flourens et ses collègues. - Mauvais vouloir de
M Grévy.

II.

-

Redoublement de confiance de l'Empereur envers
M. de Laboulaye. Menaces de guerre. Attitude tou-
jours rassurante du Tsar.

-

Le prince Ferdinand en Bul-

garie. L'Allemagne recherche l'Italie.

Les documents

-

d'esprit de M. Flourens. Il les envoie à l'Empereur.
L'entrevue de Berlin. - Dénégation de M. de Bismarck.
L'Italie

--

Les preuves de l'hostilité de l'Allemagne.
remplace la Russie dans la Triple-Alliance.

-

III. Le Jubilé de Léon XIII. Service demandé par le
Pape à la France. Circonstances dans lesquelles il est
rendu. M. Flourens garde le secret. Les relations
renouées grâce à lui entre le Saint-Siège et la Russie.
Reconnaissance de Léon XIII. Le cabinet Floquet.
M. de Freycinet ministre de la Guerre. M. Floquet
renonce au portefeuille des Affaires étrangères.-M. Goblet
l'accepte.- Le ministère peu favorable à l'alliance franco-
Il veut plaire à l'Italie. L'affaire Atchinof.—
- M. Spuller ministre.

Pages.

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de M. Hoskier. Pratiques anciennes et nouvelles.
tutelle allemande. Le ministre des Finances de Russie
consent à négocier avec le syndicat français. - M. Hos-
kier part pour Saint-Pétersbourg.

-

Résistances et mauvais vouloir des banques alle-

M. Wischnegradski, son caractère.

mandes.

-

Félici-

M. Charles Sautter. L'emprunt est souscrit.

tation de l'empereur à M. Hoskier. Second emprunt de

conversion en 1889. — Résultats généraux.

III. Les emprunts Rothschild. - L'emprunt de 1891.
Première négociation arrêtée par la chute de la maison

-

Baring. L'emprunt est consenti par la maison Roths-
child. Elle invoque une clause résolutoire. - Négo-
ciation reprise avec le syndicat, Le Crédit Foncier
est chargé d'émettre l'emprunt avec le concours des éta-
blissements syndiqués.

mande.

IV.

-

Campagne de la banque alle-

Succès inespéré. - Pèril qu'il crée.

-

--

Satisfaction du Crédit Foncier et du syndicat.

Craintes de M. Wischnegradski. — Elles se réalisent.

Débâcle de la Bourse. - M. Wischnegradski se décide à

racheter les titres de l'emprunt tombés aux mains de la spé-

culation. Il se rend maître du marché. Le Crédit

Foncier l'engage à continuer les rachats. Ils sont con-

tinués jusqu'à concurrence de deux cents millions. — Heu-

reux résultats de l'opération. Bénéfices qu'en retire le

-

--

Trésor russe. - Considérations générales.

-

Pages.

.. 215

I.

CHAPITRE VII

EFFORTS COURONNÉS

La rentrée de M. de Freycinet. Défiance du gouver-
nement russe. Elle se dissipe. - Le gouvernement russe
demande à être autorisé à commander des armes à Chà-
telleraut. - Bon accueil fait à cette demande. -Les offi-
ciers russes au ministère de la Guerre. Services ren-
dus par M. de Freycinet. M. Ribot ministre des Affaires
étrangères. Caractère de son administration. Les