Études critiques et biographiquesMichel Lévy frères, 1852 - 369 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
affaires Afghans aime amis amour Angleterre avaient beauté Brummell c'était Caboul camp Canning capitaine Catherine catholique Chateaubriand chefs cher chose cœur comte cour demander devant Dieu dire Directoire disait disait-il dit-il donner duc de Wellington duchesse écrivait Eyre faisait femme Frédéric général Elphinstone Ghilzis Goëthe gouvernement anglais guerre Hamlet Harris Haydon heures homme Irlande j'ai jamais Jellalabad jour journal Juliette l'Angleterre l'envoyé l'histoire l'impératrice l'Irlande lady laissait lord Grenville lord John Russell lord Malmesbury lutte Mac-Naghten Macbeth madame Récamier Mahomed-Akbar major Pottinger malheureux Marck Maret Marie Stuart Marie-Antoinette ment ministre Mirabeau monde mort n'avait n'était nation négociation O'Connell officiers paix parler passa passions pendant pensée Pitt poëte politique Pologne porte Potemkin pouvoir premier presque prince de Galles princesse prisonniers reine reste révolution rien Roméo Roméo et Juliette Russie Saint-Priest scène sentiment serait seul sir Robert Peel sir William sirdar sorte tion tribune troupes trouva whigs
Beliebte Passagen
Seite 90 - Que les vaisseaux neutres puissent naviguer librement de port en port et sur les côtes des nations en guerre...
Seite 159 - La dignité de la reine, la grâce répandue sur toute sa personne, son affabilité lorsque, avec un attendrissement mêlé de remords, il s'était accusé lui-même d'avoir été une des principales causes de ses peines , tout en elle l'avait charmé au delà de toute expression.
Seite 341 - J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Seite 174 - ... je n'étais que politique , je dirais : « J'ai « besoin que ces gens-là me craignent. » Si j'étais leur homme, je dirais: « Ces gens-là ont besoin de me « craindre. » Mais je suis un bon citoyen, qui aime la gloire, l'honneur et la liberté avant tout, et certes messieurs du rétrograde me trouveront toujours prêt à les foudroyer. Hier, j'ai pu les faire massacrer ; s'ils continuaient sur cette piste , ils me forceraient à le vouloir, ne fût-ce que pour le salut du petit nombre d'honnêtes...
Seite 157 - J'aime à croire qu'elle ne voudrait pas de la vie sans sa couronne ; mais, ce dont je suis bien sûr, c'est qu'elle ne conservera pas sa vie si elle ne conserve pas sa couronne. Le moment viendra, et bientôt, où il lui faudra essayer ce que peuvent une femme et un enfant à cheval ; c'est pour elle une méthode de famille...
Seite 244 - ... lui." Et bientôt après, forcée par les lords de s'arracher à Bothwell, et le leur reprochant amèrement, elle ne demandait qu'une chose, "c'était qu'on les mît tous deux dans un navire pour les envoyer là où la fortune les conduirait.
Seite 354 - ... l'homme ne diminue, que quelques facultés éminentes du génie ne se perdent, que l'imagination, la poésie, les arts, ne meurent dans les trous d'une société-ruche où chaque individu ne sera plus qu'une abeille, une roue dans une machine, un atome dans la matière organisée.
Seite 234 - Amour de ses beaux traits lui composa les yeux, Et les Grâces, qui sont les trois filles des cieux, De leurs dons les plus beaux cette princesse ornèrent, Et, pour mieux la servir, les cieux abandonnèrent.
Seite 355 - Ces chantres sont de race divine, ils possèdent le seul talent incontestable dont le ciel ait fait présent à la terre. Leur vie est à la fois naïve et sublime; ils célèbrent les dieux avec une bouche d'or, et sont les plus simples des hommes; ils causent comme...
Seite 166 - Il avait le regard couvert, mais ses yeux étaient pleins de feu. En voulant se montrer poli, il exagérait ses révérences; ses premières paroles furent des compliments prétentieux et assez vulgaires. En un mot, il n'avait ni les formes, ni le langage de la société dans laquelle il se trouvait, et quoique, par sa naissance, il allât de pair avec ceux qui le recevaient, on voyait néanmoins tout de suite à ses manières qu'il manquait de l'aisance que donne l'habitude du grand monde.