Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Band 3Chez A. de Gastel, 1826 |
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... soir une ligne de défense formidable . On objectera peut - être encore le danger d'expo- ser la capitale à être prise d'assaut et livrée au pillage . Nous y répondrons ainsi que nous l'avons déjà fait , que c'est un épouvantail d'enfans ...
... soir une ligne de défense formidable . On objectera peut - être encore le danger d'expo- ser la capitale à être prise d'assaut et livrée au pillage . Nous y répondrons ainsi que nous l'avons déjà fait , que c'est un épouvantail d'enfans ...
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... Rajewski . Le général Pahlen s'avança à Parey et Rungis , où il prit position , ayant un régiment de hulans à Juvisy et ses avant - postes à Ris . Le soir , l'armée coalisée occupa les positions suivantes : les 32 LIVRE V.
... Rajewski . Le général Pahlen s'avança à Parey et Rungis , où il prit position , ayant un régiment de hulans à Juvisy et ses avant - postes à Ris . Le soir , l'armée coalisée occupa les positions suivantes : les 32 LIVRE V.
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Frédéric Guillaume de Vaudoncourt, Frédéric François Guillaume baron de Vaudoncourt. soir , l'armée coalisée occupa les positions suivantes : les corps de Giulay et de Wurtemberg , auprès de Charenton ; le corps de Rajewski , les ...
Frédéric Guillaume de Vaudoncourt, Frédéric François Guillaume baron de Vaudoncourt. soir , l'armée coalisée occupa les positions suivantes : les corps de Giulay et de Wurtemberg , auprès de Charenton ; le corps de Rajewski , les ...
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... soir , l'empereur Napoléon signa la promesse d'abdiquer en faveur de son fils , et il chargea le prince de la Moskowa et les ducs de Tarente , de Vicence et de Raguse , d'aller négo- cier avec les coalisés sur cette base . Les trois pre ...
... soir , l'empereur Napoléon signa la promesse d'abdiquer en faveur de son fils , et il chargea le prince de la Moskowa et les ducs de Tarente , de Vicence et de Raguse , d'aller négo- cier avec les coalisés sur cette base . Les trois pre ...
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... soir , et les régimens de cavalerie , destinés à l'escorte des trou- pes françaises , étaient à leur poste . Nous nous abstiendrons de toute réflexion ; notre devoir se borne ici à retracer les faits . Cependant nous ne ( * ) Pièces ...
... soir , et les régimens de cavalerie , destinés à l'escorte des trou- pes françaises , étaient à leur poste . Nous nous abstiendrons de toute réflexion ; notre devoir se borne ici à retracer les faits . Cependant nous ne ( * ) Pièces ...
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1er corps 3e corps attaquer aurait Autrichiens avaient avril ayant bataille bataille de Ligny bataillons batteries Bénévent bois de Bossu brigade Calvinet campagne cavalerie CHAPITRE Charleroi colonne combat constitutionnel cuirassiers défense devait dirigea dispositions divi duc de Castiglione duc de Dalmatie duc de Raguse duc de Tarente duc de Wellington Durutte ennemis escadrons événemens fallait Fleurus force Frasnes garde nationale garnison Garonne gauche général Maisons général Thielemann Gosselies gouvernement guerre hauteurs heures INFANTERIE l'aile l'armée anglaise l'armée des Pyrénées l'armée française l'armée prussienne l'empereur Napoléon l'ennemi Lambusart ligne Ligny maréchal Beresford maréchal Blücher maréchal Ney mars matin Maubeuge mée ment mille hommes Mouvemens mouvement n'était Napoléon nation néral occupa passer Picton Pièces justific pont position pouvait prince de Bénévent prince de Schwarzenberg prussienne Quatre-Bras régimens replier réserve restant retraite réunir Rhin rive Russie s'avança s'était Sambre seul sion soir Sombref St-Amand tion Total Toulouse troupes Ziethen
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Seite 66 - ... l'obscurité et protégé l'autre contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser. Il ne rougit pas de faire des reproches à l'Empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Seite 37 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve dans le chemin de la gloire et de l'honneur...
Seite 67 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon , fidèle à son serment, déclare qu'il est prêt à descendre du trône, à quitter la France, et même la vie, pour le bien de la patrie, inséparable des droits de son fils , de ceux de la régence de l'impératrice, et du maintien des lois de l'empire.
Seite 63 - ses limites anciennes, n'aurait pas aujourd'hui les deux tiers de la » puissance relative qu'elle avait il ya vingt ans. Ce qu'elle a acquis
Seite 50 - Un trait pareil , s'écria-t-il ensuite , de Marmont ! Un homme avec lequel j'ai partagé mon pain.... que j'ai tiré de l'obscurité dont j'ai fait la fortune et la réputation...
Seite 63 - Toutes les puissances, y était-il dit, l'angle« terre même , ont reconnu ces limites à Francfort; « la France, réduite à ses limites anciennes, n'au« rait pas aujourd'hui les deux tiers de la valeur « qu'elle avait il ya vingt ans. Ce qu'elle a acquis « du côté des Alpes et du Rhin ne compense « point ce que la Russie, l'Autriche et la Prusse « ont acquis par le seul démembrement de la « Pologne. Tous ces États se sont agrandis; vou« loir ramener la France à son état ancien, ce...
Seite 63 - Prusse et l'Autriche ont acquis par le seul démembrement de la Pologne ; tous ces États se sont agrandis. Vouloir ramener la France à son état ancien, ce serait la faire déchoir et l'avilir. La France, sans les départements du Rhin, sans la Belgique, sans Ostende, sans Anvers, ne serait rien.
Seite 64 - Alliés voulaient changer les bases proposées et acceptées, » les limites naturelles, l'Empereur ne voit que trois partis : » Ou combattre et vaincre ; » Ou combattre et mourir glorieusement; » Ou, enfin, si la nation ne le soutenait pas, abdiquer. » Il ne tient pas aux grandeurs; il n'en achètera jamais » la conservation par l'avilissement.
Seite 64 - bien ; avec tout autre système, la paix ; sur une telle base, <; serait impossible, et ne pourrait durer. Ni l'Empereur, ni " la république, si des bouleversemens la faisaient renaître, ne " souscriraient jamais à une telle condition.