Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Band 3Chez A. de Gastel, 1826 |
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... marche d'un gouvernement consti- tutionnel . Toutes les personnes douées de quelque jugement , même dans les rangs du peuple , crai- gnaient les troubles et les déchiremens que pou- vaient produire leurs efforts , pour renverser un ...
... marche d'un gouvernement consti- tutionnel . Toutes les personnes douées de quelque jugement , même dans les rangs du peuple , crai- gnaient les troubles et les déchiremens que pou- vaient produire leurs efforts , pour renverser un ...
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... marche furent dissous et incorporés . La division Friant fut renforcée d'un bataillon de gendarmerie de la re division . Celle du général Lefebvre - Desnouettes , le fut d'un régiment à cheval des même troupes . La division Boyer de ...
... marche furent dissous et incorporés . La division Friant fut renforcée d'un bataillon de gendarmerie de la re division . Celle du général Lefebvre - Desnouettes , le fut d'un régiment à cheval des même troupes . La division Boyer de ...
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... marche et la destination de ce corps aux armées coalisées , Deux régimens de cavalerie bavaroise furent tenus prêts pour l'escorter jusqu'à Fresnes , et deux de cuirassiers russes depuis là jusqu'à Versailles . Cette ville fut fortement ...
... marche et la destination de ce corps aux armées coalisées , Deux régimens de cavalerie bavaroise furent tenus prêts pour l'escorter jusqu'à Fresnes , et deux de cuirassiers russes depuis là jusqu'à Versailles . Cette ville fut fortement ...
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... marche sur Paris , il craignit d'être arrêté et se décida avec ses collègues à partir sur - le - champ . Nous avons déjà fait voir que les coalisés étaient prévenus de ce mouvement . Nous y ajouterons que le restant du récit est ...
... marche sur Paris , il craignit d'être arrêté et se décida avec ses collègues à partir sur - le - champ . Nous avons déjà fait voir que les coalisés étaient prévenus de ce mouvement . Nous y ajouterons que le restant du récit est ...
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... marche jusqu'à Versailles . Dès le matin , l'empereur Napoléon apprit le dé- Fart du 6o corps . Ce coup l'attéra et les expres- sions que lui arracha la douleur , prouvent qu'il lui fut aussi inattendu qu'il était sensible . « Qui au ...
... marche jusqu'à Versailles . Dès le matin , l'empereur Napoléon apprit le dé- Fart du 6o corps . Ce coup l'attéra et les expres- sions que lui arracha la douleur , prouvent qu'il lui fut aussi inattendu qu'il était sensible . « Qui au ...
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Seite 66 - ... l'obscurité et protégé l'autre contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser. Il ne rougit pas de faire des reproches à l'Empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Seite 37 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve dans le chemin de la gloire et de l'honneur...
Seite 67 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon , fidèle à son serment, déclare qu'il est prêt à descendre du trône, à quitter la France, et même la vie, pour le bien de la patrie, inséparable des droits de son fils , de ceux de la régence de l'impératrice, et du maintien des lois de l'empire.
Seite 63 - ses limites anciennes, n'aurait pas aujourd'hui les deux tiers de la » puissance relative qu'elle avait il ya vingt ans. Ce qu'elle a acquis
Seite 50 - Un trait pareil , s'écria-t-il ensuite , de Marmont ! Un homme avec lequel j'ai partagé mon pain.... que j'ai tiré de l'obscurité dont j'ai fait la fortune et la réputation...
Seite 63 - Toutes les puissances, y était-il dit, l'angle« terre même , ont reconnu ces limites à Francfort; « la France, réduite à ses limites anciennes, n'au« rait pas aujourd'hui les deux tiers de la valeur « qu'elle avait il ya vingt ans. Ce qu'elle a acquis « du côté des Alpes et du Rhin ne compense « point ce que la Russie, l'Autriche et la Prusse « ont acquis par le seul démembrement de la « Pologne. Tous ces États se sont agrandis; vou« loir ramener la France à son état ancien, ce...
Seite 63 - Prusse et l'Autriche ont acquis par le seul démembrement de la Pologne ; tous ces États se sont agrandis. Vouloir ramener la France à son état ancien, ce serait la faire déchoir et l'avilir. La France, sans les départements du Rhin, sans la Belgique, sans Ostende, sans Anvers, ne serait rien.
Seite 64 - Alliés voulaient changer les bases proposées et acceptées, » les limites naturelles, l'Empereur ne voit que trois partis : » Ou combattre et vaincre ; » Ou combattre et mourir glorieusement; » Ou, enfin, si la nation ne le soutenait pas, abdiquer. » Il ne tient pas aux grandeurs; il n'en achètera jamais » la conservation par l'avilissement.
Seite 64 - bien ; avec tout autre système, la paix ; sur une telle base, <; serait impossible, et ne pourrait durer. Ni l'Empereur, ni " la république, si des bouleversemens la faisaient renaître, ne " souscriraient jamais à une telle condition.