Histoire de la restauration, Band 1Furne, Pagnerre, V. Lecou, 1851 |
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... sang royaliste ; j'avais été bercé dans la maison paternelle par ces récits domestiques des drames encore tout saignants de la Révolution . Une reine jeune et belle , arrachée à son lit , et pour- suivie à demi vêtue par le poignard du ...
... sang royaliste ; j'avais été bercé dans la maison paternelle par ces récits domestiques des drames encore tout saignants de la Révolution . Une reine jeune et belle , arrachée à son lit , et pour- suivie à demi vêtue par le poignard du ...
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... sang français , la douleur de régner sur cet empire dont chaque habitant pouvait lui demander compte de ses foyers violés , le res- pect de son nom militaire , l'habitude invétérée des prodiges , le patriotisme souffrant de ce grand peu ...
... sang français , la douleur de régner sur cet empire dont chaque habitant pouvait lui demander compte de ses foyers violés , le res- pect de son nom militaire , l'habitude invétérée des prodiges , le patriotisme souffrant de ce grand peu ...
Seite 23
... sang jaunissait la peau , et donnait de loin comme un vernis d'or pâle au visage . Ses lèvres avaient toujours leur arc attique et leur grâce ferme , pas- sant aisément du sourire à la menace . Son menton solide et osseux portait bien ...
... sang jaunissait la peau , et donnait de loin comme un vernis d'or pâle au visage . Ses lèvres avaient toujours leur arc attique et leur grâce ferme , pas- sant aisément du sourire à la menace . Son menton solide et osseux portait bien ...
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... sang même n'étaient pas des habitudes de gouvernement si loin de ses ministres qu'on n'eût plus à les redou- ter . On allait le voir peu de semaines après dans la capitale de la Champagne . VII . Napoléon donna le lendemain à sa femme ...
... sang même n'étaient pas des habitudes de gouvernement si loin de ses ministres qu'on n'eût plus à les redou- ter . On allait le voir peu de semaines après dans la capitale de la Champagne . VII . Napoléon donna le lendemain à sa femme ...
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... sang de Napoléon , ne partageait pas contre cette cour des parvenus de la victoire les antipathies de la vieille Europe . Il crai- gnait de plus le désespoir d'un homme de génie placé par un refus d'accommodement entre le trône et la ...
... sang de Napoléon , ne partageait pas contre cette cour des parvenus de la victoire les antipathies de la vieille Europe . Il crai- gnait de plus le désespoir d'un homme de génie placé par un refus d'accommodement entre le trône et la ...
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Seite 309 - ... de la Révolution, tiré de l'obscurité et protégé l'autre contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Seite 309 - Il est allé si loin qu'il a osé accuser l'Empereur d'avoir changé des actes dans la publication ; le monde entier sait qu'il n'avait pas besoin de tels artifices : un signe était un ordre pour le sénat , qui toujours faisait plus qu'on ne désirait de lui.
Seite 247 - ... considérant que la liberté de la presse, établie et consacrée comme l'un des droits de la nation , a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits controuvés , de maximes fausses...
Seite 381 - J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie; je pars. Vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée; il sera toujours l'objet de mes vœux! Ne plaignez pas mon sort; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire; je veux écrire les grandes choses que nous avons faites ensemble ! Adieu, mes enfants ! Je voudrais vous presser tous sur mon cœur; que j'embrasse au moins votre drapeau!...
Seite 245 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Seite 332 - France , produisant un revenu annuel , net , et déduction faite de toutes charges , de deux millions cinq cent mille francs. Ces domaines ou rentes appartiendront en toute propriété , et pour en disposer comme bon leur semblera, aux. princes et princesses de sa famille , et seront répartis entre eux , de manière à ce que le revenu de chacun soit dans la proportion suivante , Savoir : A madame mère , trois cent mille francs ; Au roi...
Seite 255 - France vient de briser le joug sous lequel elle gémit avec vous depuis tant d'années. — Vous n'avez jamais combattu que pour la patrie ; vous ne pouvez plus combattre que contre elle sous les drapeaux de l'homme qui vous conduit. — Voyez tout ce que vous avez souffert de sa tyrannie; vous étiez naguère un...
Seite 247 - Considérant qu'au lieu de régner dans la seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français, aux termes de son serment, Napoléon a mis le comble aux malheurs de la patrie par son refus de...
Seite 248 - Par différentes mesures dont les suites étaient la ruine des villes, la dépopulation des campagnes, la famine et les maladies contagieuses ; » Considérant que , par toutes ces causes, le gouvernement impérial établi par le sénatus-consulte du 28 floréal an xii a cessé d'exister, et que le vœu manifeste de tous les Français appelle un ordre de choses dont le premier résultat soit le rétablissement de la paix générale, et qui soit aussi l'époque d'une réconciliation solennelle entre...