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fique en Afrique; de M. de TOULGOET, ancien rédacteur de la Presse, de l'Etendard et de l'Ordre, - de M. Alfred VERNET, compositeur de la musique de la Chanson de Musette, de H. Murger, et auteur d'un vaudeville en deux actes: Madame la comtesse (1856, in-8); de M. le docteur MURCHISON, médecin anglais, dont quelques ceuvres (Traité sur la fièvre typhoide, et Sur les maladies du foie) venaient d'être traduites dans notre langue chez Germer Baillière, de M. Paul MENNESSIER, de Metz, collaborateur, pendant quarante ans, de la Gazette de Metz et du Vau national.

INSTITUT.

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Académie française. L'Académie française a tenu, le jeudi 7 août, sa séance publique annuelle pour la distribution des prix de vertu, sous la présidence de M. Jules Simon, directeur. La séance a été remplie par le rapport de M. Camille Doucet, secrétaire perpétuel, sur les concours de l'année 1879, par la lecture de fragments des pièces de vers qui ont remporté le prix de poésie et par le discours de M. Jules Simon, sur les prix de vertu. Voici la liste des prix décernés:

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Prix de poésie (voir t. XXV, p. 274). - Prix Montyon destinés aux ouvrages les plus utiles aux mœurs. L'Académie française a décerné deux prix de deux mille cinq cents francs chacun à M. A. Bonneau-Avenant, auteur d'un ouvrage intitulé: La Duchesse d'Aiguillon; A M. Hector Malot, auteur d'un roman intitulé: Sans famille. — Quatre prix de deux mille francs chacun à M. Georges Michel, auteur d'un ouvrage intitulé: Histoire de Vauban. A M. Louis Simonin, auteur des ouvrages intitulés : Les grands ports de commerce de la France; l'Or et l'argent; le Monde américain; A M. Gabriel Compayré, auteur d'un ouvrage intitulé: Histoire critique des doctrines de l'éducation en France depuis le seizième siècle; A M. Alphonse Dantier, auteur d'un ouvrage intitulé: Les Femmes dans la société chrétienne. Deux prix de quinze cents francs chacun : à M. Frédéric Godefroy, auteur d'un ouvrage intitulé: la Mission de Jeanne d'Arc; A M. Lucien Paté, pour son volume de vers intitulé: Poésies. - L'Académie accorde exceptionnellement un rappel de prix à M. Stahl, pour son roman intitulé: Maroussia, d'après une légende de Marko Novzoc.

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Prix Gobert (t. XXV, p. 539). — Prix Bordin.-Le prix de trois mille francs, fondé par feu M. Bordin, a été ainsi réparti : un prix de deux mille francs, à M. Charles Schmidt, pour son ouvrage intitulé: Histoire littéraire de l'AlUn prix de mille francs, à M. Lichtenberger, pour son ouvrage intitulé Étude sur les poésies lyriques de Goethe.

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Prix Langlois (t. XXV, p. 363). — Fondation Lambert. -L'Académie a décerné le prix à M. P.-M. Quitard, auteur de la Morale en action. Prix Thérouanne (t. XXV, p. 539). Prix Marcelin Guérin. — Le prix, de la valeur de cinq mille francs, a été ainsi réparti : Un prix de quatre mille francs, à M. Charles Aubertin, recteur de l'Académie de Poitiers, pour son ouvrage intitulé: Histoire de la langue et de la littérature françaises au moyen age. Un prix de mille francs, à M. Gustave Boissière, pour son ouvrage intitulé Esquisse d'une histoire de la conquête et de l'administration romaine dans le nord de l'Afrique et particulièrement dans la province de Numidie. Prix de Jouy. Le prix, de la valeur de quinze cents francs, a été décerné à M. Édouard Drumont, pour son ouvrage intitulé: Mon vieux Paris. Prix Vitet. Décerné dans l'intérêt des lettres, de la valeur de cinq mille sept cent cinquante francs, a été également réparti entre Mme Thérèse Bentzon et M. Jules Claretie.

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Prix Archon-Despérouses. Le prix de quatre mille francs, affecté à

la philologie française, a été ainsi réparti : Un prix de deux mille francs, à M. Camille Chabaneau, pour son ouvrage intitulé: Histoire et théorie de la conjugaison française; - Deux prix de mille francs chacun : A M. E. de Chambure, pour son ouvrage intitulé: Glossaire du Morvan; - A M. Achille Luchaire, pour son ouvrage intitulé: Étude sur les idiomes pyrénéens.

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Prix Monbinne.— Le prix de trois mille francs, de la fondation Monbinne. a été décerné par portions égales de mille francs: A MM. Xavier Aubryet et Albéric Second; à Mme veuve Henry Monnier.

Prix de M. Jean Reynaud.

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Un prix de dix mille francs, qui doit être décerné au travail le plus méritant qui se sera produit pendant une période de cinq ans, a été attribué à la Fille de Roland, tragédie, par M. le vicomte Henri de Bornier.

Prix de Mme Marie-Joséphine Juglar. - Mme Marie-Joséphine Juglar a fait don à l'Académie d'une somme de trois mille francs, pour être divisée en deux parts: la première de deux mille francs, destinée à aider un jeune homme ayant déjà donné des preuves de talent; la seconde de mille francs, applicable à un vieillard estimé par son mérite et digne d'intérêt. L'Académie accorde une somme de deux mille francs à M. Charles Gros, et une somme de mille francs à M. Michel Masson.

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Prix à décerner en 1880. Prix d'éloquence: l'éloge de Marivaux. Prix Montyon pour les ouvrages les plus utiles aux mœurs. Prix Gobert pour

« le morceau le plus éloquent d'histoire de France. » — Prix Maillé-LatourLandry pour encourager un jeune écrivain ayant du talent - Prix Bordin (3,000 fr.) pour encourager la haute littérature. - Prix Lambert pour des hommes de lettres ou leurs veuves, méritant une marque d'intérêt public. - Prix Langlois (1.500 fr.) pour une traduction. Prix Thiers (3,000 fr.) pour l'encouragement de la littérature et des travaux historiques. - Prix Thérouanne (4,000 fr.) en faveur des meilleures travaux historiques. Prix Marcelin-Guérin (5,000 fr.) pour les ouvrages qui paraîtraient les plus propres à honorer la France et à relever parmi nous les idées, les mœurs et les caractères, et à ramener notre société aux principes les plus salutaires pour l'avenir. Prix Vitet (5,750 fr.) dans l'intérêt des lettres. Prix Archon-Despérouses (4,000 fr.) pour la philologie française. Prix Jules Janin (3,000 fr.) pour la meilleure traduction d'un ouvrage latin. Académie des sciences. Dans sa séance du 21 juillet, l'Académie a élu M. Schwann, correspondant dans la section de médecine et chirurgie, en remplacement de M. Rokitanski, décédé.

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CONCOURS. La Société de littérature chrétienne de Saint-Paul, fondée à Lille, met au concours pour l'année 1880 le sujet suivant : Étude philosophique sur saint Cyprien. Les concurrents devront étudier ce qui, dans la latinité de saint Cyprien, diffère du lexique et de la grammaire classiques, c'est-à-dire Ils signaleront ce qui, dans la langue de ce Père, constitue des formes plus ou moins étrangères à la littérature classique; ils chercheront la filiation, la provenance de ces formes nouvelles, ils essayeront de déterminer en quelles proportions elles découlent des diverses sources qui ont donné naissance au latin chrétien. Ils auront à examiner si le néologisme de saint Cyprien va quelquefois jusqu'à déroger aux lois de la syntaxe classique; et, dans l'affirmative, si ces dérogations sont purement accidentelles, ou si elles se produisent assez fréquemment chez lui pour y passer à l'état de règle. En toute hypothèse, ils expliqueront et apprécieront les causes de ces dérogations. Le prix est de 1,200 francs, plus une médaille de vermeil.

Les mémoires doivent être adressés au secretariat, 15, rue de Pas, à Lille (Nord), avant le 15 novembre 1880.

Pour l'année 1881, le sujet suivant : Étude philologique, historique et archéologique sur Prudence, Les concurrents devront, dans leur examen philologique de la langue de Prudence, suivre les indications déjà données pour la latinité de saint Cyprien. Ils ajouteront à ce nouveau travail une étude approfondie de la versification de Prudence. Ils devront dire en quels cas et de quelle manière elle divorce avec l'ancienne métrique, rechercher et justifier, s'il y a lieu, les causes de ces nouveautés. Ils devront rechercher quelle influence a exercée le prince des poètes chrétiens sur la littérature du moyen âge. Enfin ils montreront quelles ressources offrent l'histoire et l'archéologie pour l'interprétation des œuvres de Prudence, et réciproquement, quels secours fournissent ces œuvres pour la connaissance des hérésies des premiers siècles, pour l'histoire de la lutte du christianisme et du paganisme, pour l'intelligence des antiquités ecclésiastiques, du symbolisme chrétien, et particulièrement de tout ce qui se rapporte aux actes et au culte des martyrs. Le prix est de 1,500 francs, plus une médaille de vermeil. Les mémoires devront être déposés au secrétariat avant le 15 novembre 1881. La conférence littéraire et scientifique de Picardie, à Amiens, met au concours le sujet suivant: De la condition des écoliers de la nation de Picardie à l'Université de Paris au moyen âge. Les manuscrits devront être parvenus, avant le 1er novembre 1880, à M. le président de la Société.

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LECTURES FAITES A L'ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES. Dans la séance du 4 juillet, M. le secrétaire a communiqué une lettre de M. l'abbé Delattre, accompagnant l'estampage d'une inscription punique. - M. Ernest Desjardins a communiqué une lettre de M. Charles Tissot, sur son exploration en Tunisie. M. L. Delisle a lu une note de M. Castan, sur le missel franc-comtois de la Chambre des députés. M. Pierret a continué la lecture de son mémoire sur la mythologie égyptienne. Dans la séance du 11, M. Renan a présenté des observations sur l'inscription punique, précédemment communiquée par M. l'abbé Delattre. M. E. Le Blant a lu un mémoire sur la source des récits connus sous le nom d'Actes des martyrs. M. de MasLatrie a communiqué un mémoire sur les comtes de Jaffa. M. Michel Bréal a fait une communication sur une inscription osque. Dans la séance du 18, M. Léon Renier a fait une communication au sujet d'une inscription romaine, qui vient d'être découverte à Grenoble. M. Michel Bréal a communiqué des observations sur la table d'Agnone. Dans la séance du 25, M. Léopold Delisle a communiqué une notice des Pères Bollandistes de Smedt et de Baker sur les anciens Gestes des êvêques de Cambrai. M. Robert Mowat a communiqué un mémoire sur l'empereur Martinien, à propos d'une médaille inédite de ce prince. M. E. Miller a fait une communication sur des inscriptions grecques, provenant d'Égypte. M. le baron de Witte a fait une communication sur une question d'antiquité figurée.

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LECTURES FAITES A L'ACADÉMIE DES SCIENCES MORALES ET POLITIQUES. - Dans la séance du 5 juillet, M. Vacherot a lu une étude sur la Psychologie contemporaine allemande, de M. Th. Ribot. Dans la séance du 12, M. Paul Janet a lu une étude sur la science positive et la métaphysique de M. Louis Liard. - Dans les séances des 12 et 19, M. Gabriel Hanotaux a commencé la lecture d'un mémoire sur l'authenticité du testament politique du cardinal de Richelieu démontré par ses maximes d'État inédites, dont il a retrouvé le manuscrit à la bibliothèque nationale. - Dans les séances du 19, M. Ch. Lévêque a communiqué une note sur la traduction de l'Histoire du matérialisme de Lange, par

MM. Pommerol et Nolen.-Dans la séance des 19 et 26,M. A. Desjardins alu un mémoire sur la lutte des parlements royalistes contre les parlements ligueurs de 1589 à 1596. Dans la séance du 26, le secrétaire général a commencé la lecture d'un mémoire de M. Félix Rocquain, sur la puissance pontificale sous Grégoire VII.

OUVRAGES MIS A L'INDEX.

Un décret de la congrégation de l'index, en

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date du 30 juin 1879 porte condamnation des ouvrages suivants : - La Magia nel secolo decimo nono, racconti puramente storici, per don BERNARDINO NEGRONI, Bolognese. Bologna, 1872. - Aurore e Tramonte, Poesie di TULLIO MARTELLOTTI. Imola, 1876. Auctor laudabiliter se subjecit et opus reprobavit. Vita di Vittorio Alfieri scritta da esso, ridotta ad uso della gioventù con note e documenti per cura del prof. GIAN SEVERINO. Perosino, dottore in lettere. Torino, 1877. Editor laudabiliter se subjecit et editionem reprobavit.— La Bible. Traduction nouvelle avec introductions et commentaires, par EDOUARD REUSS, prófesseur à l'Université de Strasbourg. Paris, 1876, etc. Opus prædamnatum ex. 11. Reg. Ind. Trid. Le Pouvoir des Papes depuis la proclamation du dogme de l'Infaillibilité, par le D' J. F. von SCHULTE, etc., professeur à l'Université de Bonn, traduit de l'allemand, Par Et. Patru. Paris, 1879. Quocumque idiomate. Decr. S. Off. Fer. IV. 14 Maii 1879.

MAZARINADES INCONNUES. - Personne n'ignore que la ville de Bordeaux fut un des derniers asiles où se réfugia la Fronde de Paris; la guerre civile déchaîna ses fureurs sur les bords de la Garonne, mais la cause royale finit par triompher. Un grand nombre de ces écrits de circonstance, connus sous le nom générique de Mazarinades et qui attaquaient chaque jour le rusé cardinal, attestent la vigueur de la lutte dans la capitale de la Guyenne; la plupart d'entre eux sont restés inconnus aux bibliographes. Notre savant collaborateur, M. Tamizey de Larroque a eu la satisfaction d'en rencontrer plusieurs dans un recueil que possède la bibliothèque du grand Séminaire de Bordeaux; il a publié ces Mazarinades inconnues, avec avertissement, notes et appendice. (Bordeaux, Lefebvre ; Paris, Champion, 1879, petit in-8 de 141 p., tiré à 100 exempl.). Ces pièces sont au nombre de sept, les unes en vers, les autres en prose; presque toutes sont dirigées contre le duc. d'Épernon, objet, de la part du Bordelais, d'une haine implacable: Querelle de la ville de Bordeaux avec le duc d'Épernon en forme de dialogue; Songe du duc d'Épernon étant à Cadillac; Histoire poétique des exploits admirables du duc d'Epernon; Oraison funèbre sur la mort du duc d'Epernon, il s'agit du second duc qui, de fait, ne mourut que onze ans plus tard; mais l'auteur de cette Oraison se plut à le tuer à l'avance, afin de répandre à pleines mains l'ironie et l'invective.

Il se rencontre parfois dans les Mazarinades des accents inspirés par ce souffle révolutionnaire qui devait, à la fin du siècle suivant, causer de si cruels ravages; celles imprimées à Bordeaux n'en sont pas toujours exemptes; citons un passage d'une menaçante violence qu'enveniment encore de perfides réticences:

Il faut couper le mal jusques à la racine,
Ou tous nos soins seront superflus à jamais,
Chacun de nos malheurs connaît bien l'origine;
Après ce mot aussi, par respect, je me tais.

M. Tamizey de Larroque ne s'est point borné, ce n'est pas dans ses habitudes, à reproduire des textes qu'on peut qualifier d'inconnus; il y a joint

des notes nombreuses et substantielles, où se montre une connaissance approfondie des hommes et des choses à l'époque de la minorité de Louis XIV; tous les amis de l'étude lui sauront gré du nouveau service qu'il vient de leur rendre.

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BIBLIOGRAPHIE MOLIÉRESQUE DE POCHE. Nous avons sous les yeux un joli petit volume tiré à petit nombre et portant ce titre (Paris, typographie Chamerot, 1878, in-18 de 86 p.); une dédicace humoristique à Son Excellence le Ministre de l'Instruction publique de l'Université de Salm-Salm ouvre le livre; elle est signée: Votre humilissime serviteur, POCHE. Nous ne croyons pas commettre une indiscrétion en disant que ce nom cache un bibliographe fort instruit et fort laborieux, M. Pierre Deschamps; cette bibliographie est la reproduction du long article consacré à Molière, et qui a paru dans le premier volume du Supplément au Manuel du Libraire de J. Ch. Brunet, supplément que publie la maison Didot, et dont le second volume paraîtra dans le cours de l'année.

Personne n'ignore avec quelle passion les bibliophiles contemporains recherchent les éditions originales des comédies de l'auteur du Misanthrope, avec quel empressement on se saisit de tout ce qui concerne la personne ou les écrits de l'immortel comique. M. Paul Lacroix a publié, en 1875, un gros volume, dans lequel il a épuisé ce qu'on peut savoir à cet égard, mais il était à propos de mettre entre les mains des molièrophiles (qu'on nous passe l'expression) un résumé plus portatif et substantiel, et c'est ce qui a été accompli; un travail de cegenre n'est pas susceptible d'analyse; c'est une liste exacte, détaillée, raisonnée, des éditions des OEuvres de Molière, des éditions originales et séparées de ses pièces. Ces vieux volumes, détruits par le temps, par l'usage, se rencontrent bien rarement aujourd'hui et se payent au poids de l'or. Un exemplaire de la première édition avec pagination suivie. (Paris, G. Quinet, 1666, 2 vol. in-12) été adjugé à 5,700 francs, vente L. de M. en janvier 1876, et il a été offert au prix de 7,000 francs, sur le catalogue d'un libraire de Paris. Quant aux éditions isolées, elles s'adjugent aux environs de 1,000 francs, quand elles se montrent en vente publique, ce qui est presque sans exemple, et les libraires qui parviennent à les découvrir, en demandent 1,200 et même 1,500 francs. La Bibliographie moliéresque de poche est certaine de trouver un excellent accueil de la part de ces amateurs délicats et peu nombreux auxquels elle s'adresse.

LES ANNALES DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX. La seconde livraison des Annales de la faculté des lettres de Bordeaux vient de paraître (Bordeaux, librairie Duthu; Paris, Delaroque); nous avons déjà parlé de la première livraison; celle-ci ne le cède en rien à sa devancière; elle contient des articles ou des communications de treize auteurs différents; nous en signalerons quelques-unes Apollon et les Muses. Vases peints d'une collection d'Athènes, par A. Collignon. (Les monuments figurés offrant la représentation des Muses sont fort nombreux, mais il est très-rare de retrouver ce groupe figuré sur les vases peints de l'Attique.) Lettres inédites de Henri de Guise, de Catherine de Médicis et de Henri de Navarre, tirées des archives de Lucerne et publiées par M. Combe (douze lettres écrites depuis 1562, jusqu'à 1584; elles sont précédées d'une appréciation intéressante des hommes et des choses à cette époque orageuse). Sur la bibliographie de quelques auteurs par M. Couet (il s'agit de quatre écrivains grecs: Philétas, Zénodote, Harmerianax et Théocrite.) — Sur les origines de Bordeaux. Le nom de Burdigala, par M. A. Luchaire. Lettre à M. Le Becq de Fou

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