Mémoires sur la vie publique et privée de Fouquet: suintendant des finances, d'après ses lettres et des pièces inédite, Band 1Charpentier, 1862 |
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... Rien ne nous porte à croire que Nicolas Fouquet ait hésité entre Mazarin et le parlement , et qu'il se soit déterminé à s'attacher au cardinal par des considérations générales d'intérêt public . Il est plus probable que cet homme d'un ...
... Rien ne nous porte à croire que Nicolas Fouquet ait hésité entre Mazarin et le parlement , et qu'il se soit déterminé à s'attacher au cardinal par des considérations générales d'intérêt public . Il est plus probable que cet homme d'un ...
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... rien pour gagner des par- tisans à Mazarin et surtout pour rompre le faisceau re- doutable que formaient le parti des princes et la vieille Fronde réunis . A la tête de celle - ci était le coadjuteur de l'archevêque de Paris , Paul de ...
... rien pour gagner des par- tisans à Mazarin et surtout pour rompre le faisceau re- doutable que formaient le parti des princes et la vieille Fronde réunis . A la tête de celle - ci était le coadjuteur de l'archevêque de Paris , Paul de ...
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... rien de si agréable que la manière dont il se conduit à mon égard . » Le concours de ce magistrat servit puis- samment la politique de Nicolas Fouquet , qui , en pré- sence d'une compagnie hostile au cardinal , était obligé à des ...
... rien de si agréable que la manière dont il se conduit à mon égard . » Le concours de ce magistrat servit puis- samment la politique de Nicolas Fouquet , qui , en pré- sence d'une compagnie hostile au cardinal , était obligé à des ...
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... rien . Il voulait , dès le premier moment , que je fusse Mazarin sans réserve comme lui ; il ne concevait pas qu'il fût à propos de garder des me- sures . >> Les lenteurs calculées du cardinal de Retz inspiraient de l'inquiétude à ...
... rien . Il voulait , dès le premier moment , que je fusse Mazarin sans réserve comme lui ; il ne concevait pas qu'il fût à propos de garder des me- sures . >> Les lenteurs calculées du cardinal de Retz inspiraient de l'inquiétude à ...
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... rien souhaité avec plus de passion que de me voir maitresse des Pays - Bas . Je tournais ce discours en raillerie , ne le connaissant pas assez pour pouvoir prendre cela autrement , comme j'ai fait depuis . Avant qu'il partit d'ici , M ...
... rien souhaité avec plus de passion que de me voir maitresse des Pays - Bas . Je tournais ce discours en raillerie , ne le connaissant pas assez pour pouvoir prendre cela autrement , comme j'ai fait depuis . Avant qu'il partit d'ici , M ...
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¹ Mémoires affaires amis assurer avaient Basile Fouquet bourgeoisie cardinal de Retz cardinal Mazarin chambre charge Chavigny chose coadjuteur Colbert Conrart conseil cour députés dévoués dire donner Dubuisson-Aubenay duc d'Orléans duc de Lorraine duchesse de Châtillon écrivait écrivait-il édit Éminence ennemis envoyer finances frère Fronde Frondeurs Gourville gouverneur homme ibid j'ai jour l'abbé Fou l'abbé Fouquet l'armée des princes l'armée royale l'État l'Hôtel lettres de Mazarin madame de Châtillon madame de Chevreuse madame de Motteville madame du Plessis-Bellière mademoiselle de Montpensier mademoiselle de Treseson maison Majesté mandé maréchal de l'Hôpital Mazarin à l'abbé Mémoires d'Omer-Talon Mémoires de mademoiselle ment Mesmes Michaud et Poujoulat mille livres négociations Nicolas Fouquet paix parlement partisans Pellisson personne peuple Plessis-Bellière Pontoise premier président prendre prévôt des marchands prince de Condé princesse procureur général quet reine royaume s'était Saint-Simon Savoie serait service Servien servir sieur sorte surintendant Tellier tion troupes trouve Turenne voulait
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Seite 460 - Jean s'en alla comme il était venu. Mangea le fonds avec le revenu, Tint les trésors chose peu nécessaire; Quant à son temps, bien sut le dispenser : Deux parts en fit, dont il soulait passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
Seite 144 - Roi aille chercher le Parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Seite 304 - J'ai appris que vous prétendiez encore les continuer sous prétexte de délibérer sur les édits qui naguère ont été lus et publiés en ma présence. Je suis venu ici tout exprès pour en...
Seite 461 - Celui-là, dis-je, a contre vous Un juste sujet de courroux. L'autre jour, étant en affaire Et le jugeant peu nécessaire, Vous ne daignâtes recevoir Le tribut qu'il croit vous devoir D'une profonde révérence.
Seite 462 - C'est qu'à la fin vous n'aurez pas Loisir de prendre vos repas. Le Roi, l'État, votre patrie, Partagent toute votre vie : Rien n'est pour vous, tout est pour eux*. Bon Dieu! que l'on est malheureux Quand on est si grand personnage! Seigneur, vous êtes bon et sage, Et je serais trop familier Si je faisais le conseiller. A jouir pourtant de vous-même Vous auriez un plaisir extrême : Renvoyez donc en certains...
Seite 371 - ... lui témoigner même beaucoup de compassion de son mal; car les misérables sont si sots, que cela leur fait le plus grand bien du monde. Mais je tiens aussi qu'il faut se contenter d'en témoigner, et se garder soigneusement d'en avoir. C'est une passion qui n'est bonne à rien au dedans d'une âme bien faite, qui ne sert qu'à affaiblir le cœur, et qu'on doit laisser au peuple, qui, n'exécutant jamais rien par raison, a besoin de passions pour le porter à faire les choses.
Seite 370 - Je suis peu sensible à la pitié et je voudrais ne l'y être point du tout. Cependant il n'est rien que je ne fisse pour le soulagement d'une personne affligée; et je crois effectivement que l'on doit tout faire...
Seite 361 - Plessis-Bellière30, à qui je me fie de tout, et pour qui je n'ai jamais eu aucun secret ni aucune réserve...
Seite 449 - ... heureusement terminée par la protection de ce héros, auquel nous devons tout et que vous avez le plaisir d'aimer. Le prévôt des marchands a entendu raison, dès qu'il a entendu le grand nom de M. Fouquet. Je vous supplie, madame, de trouver bon que j'aille vous en remercier à Vaux. Madame de Vassé m'a assurée que vous me continuez vos bontés, et que vous ne me trouveriez pas de trop dans ces allées, où l'on pense avec tant de raison, où l'on badine avec tant de grâce.
Seite 428 - Et tu ferais un crime à lui dissimuler Que ce qu'il fait pour toi te condamne à parler. Oui, généreux appui de tout notre Parnasse, Tu me rends ma vigueur lorsque tu me fais grace ; Et je veux bien apprendre à tout notre avenir Que tes regards bénins ont su me rajeunir J.