Histoire parlementaire de la Révolution française: ou Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Band 39Paulin, 1838 |
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... cavalerie . Il était important qu'elle dépendît d'un homme sûr . On ne se défiait pas de Lannes ; on le croyait trop loyal pour trahir la confiance qu'on avait en lui . Cependant , on profita d'un déficit qu'on trouva dans la caisse de ...
... cavalerie . Il était important qu'elle dépendît d'un homme sûr . On ne se défiait pas de Lannes ; on le croyait trop loyal pour trahir la confiance qu'on avait en lui . Cependant , on profita d'un déficit qu'on trouva dans la caisse de ...
Seite 202
... cavalerie , commandée par Sébas- tiani , entra à Vienne le 22. novembre . La cour impériale avait évacué cette ville depuis quelques jours , et s'était retirée à Ol- mütz . Napoléon traversa cette ville dans la nuit du 22 au 23 , et ...
... cavalerie , commandée par Sébas- tiani , entra à Vienne le 22. novembre . La cour impériale avait évacué cette ville depuis quelques jours , et s'était retirée à Ol- mütz . Napoléon traversa cette ville dans la nuit du 22 au 23 , et ...
Seite 203
... cavalerie . Quant à sa droite qui s'était engagée dans la vallée dont nous avons parlé , une partie fut faite prisonnière ; une partie , qui s'était réfugiée sur la glace qui couvrait le lac de Ménitz , s'abima ANNÉES 1804 ET 1805 . 203.
... cavalerie . Quant à sa droite qui s'était engagée dans la vallée dont nous avons parlé , une partie fut faite prisonnière ; une partie , qui s'était réfugiée sur la glace qui couvrait le lac de Ménitz , s'abima ANNÉES 1804 ET 1805 . 203.
Seite 217
... cavalerie , marchait à Auerstadt contre le troisième corps , commandé par Davoust , fort à peine de trente - deux mille quatre cents hommes , croyant aller au - devant de l'armée impé , riale . Brunswick avait avec lui la garde royale ...
... cavalerie , marchait à Auerstadt contre le troisième corps , commandé par Davoust , fort à peine de trente - deux mille quatre cents hommes , croyant aller au - devant de l'armée impé , riale . Brunswick avait avec lui la garde royale ...
Seite 218
... cavalerie , ils là repoussèrent à la baïonnette et par un feu meurtrier ; attaqués ensuite par l'infanterie , ils restèrent inébran- lables , et bientôt ils commencèrent à gagner eux - mêmes du ter- rain . Le prince Guillaume de Prusse ...
... cavalerie , ils là repoussèrent à la baïonnette et par un feu meurtrier ; attaqués ensuite par l'infanterie , ils restèrent inébran- lables , et bientôt ils commencèrent à gagner eux - mêmes du ter- rain . Le prince Guillaume de Prusse ...
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Seite 160 - des biens nationaux ; de ne lever aucun impôt , » de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du Serment du Régent.
Seite 389 - Qui a adulé le peuple en proclamant à une souveraineté qu'il était incapable d'exercer? Qui a détruit la sainteté et le respect des lois en les faisant dépendre, non des principes sacrés de la justice, de la nature des choses et de la justice civile, mais seulement de la volonté d'une assemblée composée d'hommes étrangers à la connaissance des lois civiles, criminelles, administratives, politiques et militaires ? Lorsqu'on est appelé à régénérer un état , ce sont des principes...
Seite 354 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Seite 497 - Considérant que la liberté de la presse , établie et consacrée comme l'un des droits de la nation, a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits...
Seite 175 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Seite 168 - Des délits personnels commis par des membres de la famille impériale, par des titulaires des grandes dignités de l'empire, par des ministres, par le secrétaire d'état, par des grands officiers, par des sénateurs , par des conseillers d'état ; 2.°...
Seite 84 - J'ai fait arrêter et juger le duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt et à l'honneur du peuple français, lorsque le comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance, j'agirais encore de même.
Seite 389 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Seite 175 - Mandons et ordonnons à tous Huissiers sur ce requis, de mettre ledit jugement à exécution, à nos Commissaires auprès des Tribunaux, d'y tenir la main, et à tous Commandants et Officiers de la force publique, de prêter main-forte, lorsqu'ils en seront légalement requis. En foi de quoi, le présent jugement a été signé par le Président du tribunal et par le Greffier.
Seite 497 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.