Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Bände 39-40Paulin, 1838 |
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... nation comme des oppresseurs et des étrangers . Ceux - là , en effet , tiraient vanité d'eux - mêmes ; ils n'aimaient pas la France par - dessus tout ; mais eux - mêmes plus que la France . A leurs yeux , l'autorité était une propriété ...
... nation comme des oppresseurs et des étrangers . Ceux - là , en effet , tiraient vanité d'eux - mêmes ; ils n'aimaient pas la France par - dessus tout ; mais eux - mêmes plus que la France . A leurs yeux , l'autorité était une propriété ...
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... nations . > › Pour ôter aux étrangers tout prétexte de prendre part à nos discussions intérieures , les représentans du peuple proclamèrent l'amour de la nation pour la paix , sa renonciation à tout projet de conquête , son respect pour ...
... nations . > › Pour ôter aux étrangers tout prétexte de prendre part à nos discussions intérieures , les représentans du peuple proclamèrent l'amour de la nation pour la paix , sa renonciation à tout projet de conquête , son respect pour ...
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... nation que le titre d'empereur . S'il signifie consul victorieux , qui mérita mieux de le porter ? quel peuple , quelles armées furent plus dignes d'exiger qu'il fût celui de leur chef ? > Je demande donc que nous reportions au sénat un ...
... nation que le titre d'empereur . S'il signifie consul victorieux , qui mérita mieux de le porter ? quel peuple , quelles armées furent plus dignes d'exiger qu'il fût celui de leur chef ? > Je demande donc que nous reportions au sénat un ...
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... nation qui vous a nommé son chef , au vou que le sénat vous avait exprimé , et aux sollicitudes que lui avait inspirées l'amour de la patrie . Vous désirez , citoyen premier consul , de connaître la pensée tout entière du sénat sur ...
... nation qui vous a nommé son chef , au vou que le sénat vous avait exprimé , et aux sollicitudes que lui avait inspirées l'amour de la patrie . Vous désirez , citoyen premier consul , de connaître la pensée tout entière du sénat sur ...
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... nation fran- çaise dans ces beaux jours de 89 dont le souvenir sera chèr à ja- mais aux amis de la patrie ; où le noble enthousiasme , que l'i- mage seule de ce gouvernement faisait naître , était involontaire- ment partagé par ceux ...
... nation fran- çaise dans ces beaux jours de 89 dont le souvenir sera chèr à ja- mais aux amis de la patrie ; où le noble enthousiasme , que l'i- mage seule de ce gouvernement faisait naître , était involontaire- ment partagé par ceux ...
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alliés Anglais armée armes armistice attaque Autrichiens avaient bataillons Bautzen Bernadotte blessés Blücher Bonaparte c'était capitale cavalerie cent mille hommes chargé citoyens coalisés colléges électoraux combat commandée commission comte confédération du Rhin conscrits conseil d'état corps législatif Davoust déclaration décret départemens députés devait division Dresde Enfin ennemis Espagnols eût évacué forces garde nationale garnison gauche général gouvernement guerre heures impériale jours l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'em l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe ligne long-temps majesté marche maréchal Marmont Masséna mée membres ment militaire ministre Moreau Moskou Moskwa n'avait n'était Napoléon Napoléon Bonaparte nation négociations nommé officiers paix passer peuple Pichegru pièces de canon police porter position premier consul présenter président prince prisonniers prit proclamation projet Prusse Prussiens puissances reste retraite réunir Rhin rive route Russie s'était Schwartzenberg sénat sénatus-consulte sentimens sera session seul Silésie Smolensk soldats Soult tion titre trente mille tribunat trône troupes trouva village Vistule
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Seite 529 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Seite 322 - Mais le sang de mes enfans a coulé par une trahison dont les annales du monde n'offrent pas d'exemple : cette trahison a appelé l'étranger dans le cœur de la France; chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Seite 280 - La qualité de citoyen français se perd : — Par la naturalisation en pays étranger ; — Par l'acceptation de fonctions ou de pensions offertes par un Gouvernement étranger ; — Par l'affiliation à toute corporation étrangère qui supposerait des distinctions de naissance ; — Par la condamnation à des peines afflictives ou infamantes.
Seite 529 - Le roi est le chef suprême de l'Etat ; il commande les forces de terre et de mer , déclare la guerre , fait les traités de paix , d'alliance et de commerce...
Seite 531 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu s'il n'a été consenti par les deux Chambres et sanctionné par le roi.
Seite 188 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Seite 7 - France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards? Souffrironsnous qu'ils héritent du fruit de nos glorieux travaux; qu'ils s'emparent de nos honneurs, de nos biens; qu'ils calomnient notre gloire? Si leur règne durait, tout serait perdu, même le souvenir de ces immortelles journées. Avec quel acharnement ils les dénaturent!
Seite 149 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Seite 391 - Qui a adulé le peuple en proclamant à une souveraineté qu'il était incapable d'exercer? Qui a détruit la sainteté et le respect des lois en les faisant dépendre, non des principes sacrés de la justice, de la nature des choses et de la justice civile, mais seulement de la volonté d'une assemblée composée d'hommes étrangers à la connaissance des lois civiles, criminelles, administratives, politiques et militaires ? Lorsqu'on est appelé à régénérer un état , ce sont des principes...
Seite 464 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait...