Histoire de France, Band 7Lagny, 1867 |
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... restait de force n'allait qu'à mépriser le régime auquel elle était arrivée ; et toutefois , même dans ce régime , quelle que fût sa dégradation , se faisait sentir un vague besoin de ramener la France à des idées meilleures de ...
... restait de force n'allait qu'à mépriser le régime auquel elle était arrivée ; et toutefois , même dans ce régime , quelle que fût sa dégradation , se faisait sentir un vague besoin de ramener la France à des idées meilleures de ...
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... restait fixé sur Paris ; le travail des partis dans la Révolution le remplis- sait d'anxiété ; et , chose étonnante ! ce qu'il craignait sur- tout , c'était de la voir tomber sous la main des partis de la royauté , comme s'il eût ...
... restait fixé sur Paris ; le travail des partis dans la Révolution le remplis- sait d'anxiété ; et , chose étonnante ! ce qu'il craignait sur- tout , c'était de la voir tomber sous la main des partis de la royauté , comme s'il eût ...
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... restait néanmoins quelque souvenir des égards qui lui étaient dus . « Le commissaire près l'administration centrale du département de la Drôme sera spécialement chargé tant de la surveillance sur la personne du pape , à Valence , que de ...
... restait néanmoins quelque souvenir des égards qui lui étaient dus . « Le commissaire près l'administration centrale du département de la Drôme sera spécialement chargé tant de la surveillance sur la personne du pape , à Valence , que de ...
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... pompe dans son deuil ; il in- stitua à grand bruit une fête funéraire ; mais l'opinion res- tait défiante et morne . Tel était le mépris qui entourait les maîtres de la France , qu'on les crut auteurs de 18 1799 HISTOIRE DE FRANCE .
... pompe dans son deuil ; il in- stitua à grand bruit une fête funéraire ; mais l'opinion res- tait défiante et morne . Tel était le mépris qui entourait les maîtres de la France , qu'on les crut auteurs de 18 1799 HISTOIRE DE FRANCE .
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... restait dispersée , et la persécution était vivante dans les lois , quoique désarmée par la lassitude ou vaincue par la malédiction . L'éducation publique avait suivi le sort de la religion . Les écoles étaient fermées ou solitaires ...
... restait dispersée , et la persécution était vivante dans les lois , quoique désarmée par la lassitude ou vaincue par la malédiction . L'éducation publique avait suivi le sort de la religion . Les écoles étaient fermées ou solitaires ...
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Seite 410 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 400 - Napoléon Bonaparte est déchu du trône, et le droit d'hérédité établi dans sa famille est aboli.
Seite 400 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.
Seite 65 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne...
Seite 258 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Seite 400 - ... comme l'un des droits de la nation , a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits controuvés , de maximes fausses...
Seite 159 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Seite 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Seite 399 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Seite 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.