Histoire de France, Band 7Lagny, 1867 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 68
Seite 14
... pouvait tomber l'Église en per- dant son chef , il suspendait les lois et les usages des con- claves , et recommandait aux cardinaux réunis de faire l'élection , même sans attendre les dix jours prescrits par les coutumes . L'intérêt du ...
... pouvait tomber l'Église en per- dant son chef , il suspendait les lois et les usages des con- claves , et recommandait aux cardinaux réunis de faire l'élection , même sans attendre les dix jours prescrits par les coutumes . L'intérêt du ...
Seite 17
... pouvait paraître un signe des expiations qui seraient dues au ciel et à la terre pour de si énormes iniquités . Ainsi était mort Pie VI . Toute l'Europe s'était émue à cette nouvelle ; jusque dans les états protestants , en Suède , en ...
... pouvait paraître un signe des expiations qui seraient dues au ciel et à la terre pour de si énormes iniquités . Ainsi était mort Pie VI . Toute l'Europe s'était émue à cette nouvelle ; jusque dans les états protestants , en Suède , en ...
Seite 29
... pouvait contredire sans forfaiture . Les conseils une fois soustraits à l'action de l'émeute pa- risienne , le conseil des Anciens adopterait les réformes , et proposerait au conseil des Cinq - Cents de se soumettre à l'acceptation du ...
... pouvait contredire sans forfaiture . Les conseils une fois soustraits à l'action de l'émeute pa- risienne , le conseil des Anciens adopterait les réformes , et proposerait au conseil des Cinq - Cents de se soumettre à l'acceptation du ...
Seite 38
... appel à la sa- gesse , d'où pouvait naître la résistance de quelques - uns . « Prévenez les déchirements , s'écria - t - il enfin ; évitons de perdre ces deux choses pour lesquelles nous avons fait 38 HISTOIRE DE FRANCE .
... appel à la sa- gesse , d'où pouvait naître la résistance de quelques - uns . « Prévenez les déchirements , s'écria - t - il enfin ; évitons de perdre ces deux choses pour lesquelles nous avons fait 38 HISTOIRE DE FRANCE .
Seite 41
... pouvait sauver la patrie , et qu'il fallait arriver à un ordre de choses tel que nous puissions la retirer de l'abîme où elle se trouve . La première partie de ce que je viens de vous répéter m'a été dite par deux des membres du ...
... pouvait sauver la patrie , et qu'il fallait arriver à un ordre de choses tel que nous puissions la retirer de l'abîme où elle se trouve . La première partie de ce que je viens de vous répéter m'a été dite par deux des membres du ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
actes allait alliés âmes Anglais armée armes artillerie Autrichiens avaient bataille Bernadotte Blucher Bonaparte Bourrienne c'était canon capitulation cent combats commandement conseil conseil des Cinq-Cents Corps législatif courage d'armes d'Italie Davoust déclaration décret défense désastres desseins devait Directoire disait-il duc d'Angoulême duc d'Enghien éclat ennemis Etats évêques force fortune frémissant garde général génie gloire gouvernement Gouvion-St-Cyr guerre hâte Hollande jeter jours Kutuzow l'Angleterre l'archiduc Charles l'armée française l'Autriche l'Église l'Empereur l'Empire l'Espagne l'Europe l'histoire laissa liberté Louis XVIII lutte Macdonald Majesté malheurs maréchal Marmont Masséna Mém ment mille hommes ministre Moreau Murat n'avait n'était Napo Napoléon Napoléon Bonaparte nation Oudinot paix Pape paroles patrie pensée périls peuple Pie VII politique pouvoir premier consul prince Eugène prisonniers proclamation Prusse Prussiens puissance République reste Révolution Rhin Russie s'était semblait Sénat sénatus-consulte sentait serait Siéyes soldats sorte Soult souverains Suchet tion toutefois trône victoire Wellington
Beliebte Passagen
Seite 410 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 400 - Napoléon Bonaparte est déchu du trône, et le droit d'hérédité établi dans sa famille est aboli.
Seite 400 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.
Seite 65 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne...
Seite 258 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Seite 400 - ... comme l'un des droits de la nation , a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits controuvés , de maximes fausses...
Seite 159 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Seite 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Seite 399 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Seite 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.