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vais traitemens du cardinal, 70. Supplie en vain M. de Thou de ne point se fier à M. de Cinq-Mars, 74. Se démet de sa charge, 78. Propose à Mazarin le retour de M. de Ven dome, qui est accordé par le Roi, 80. Est rappelé aux affaires par la Reine régente, 88. Sa conduite envers le duc d'Orléans à cette occasion, 89. Sa conversation avec ce prince, go. Il plaide chez lui la cause des membres du conseil qui s'y tient, et obtient qu'ils soient assis pendant les délibérations, 93. Est chargé par Mazarin de faire un journal de tout ce qui a été fait pour s'opposer à l'agrandissement des princes, 108. Rassure la Reine sur la maladie de Mazarin, 114. Est chargé par la Reine d'aller trouver le prince de Condé, et de lui dire qu'elle est résolue à garder pour elle-même les charges vacantes par la mort du duc de Breze, 123. Consulte la Reine sur la déclaration par laquelle le Roi s'engage à faire interroger les coupables dans les 24 heures, et à remettre aux juges ordinaires la connoissance des crimes; il donne une réponse qui prouve sa constante fidélité au Roi, il trouve la déclaration juste, mais il regrette qu'elle n'ait pas été publiée sous les règnes précédens, 130. Il prédit à M. le prince de Condé que, par complaisance pour Mazarin, il consentira à la sortie du Roi de Paris, 133. Désapprouve devant la Reine la sortie de la cour, 135. Exprime au maréchal de Villeroy son mécontentement à cet égard, 136. Difficultés qu'il éprouve pour aller de Paris à S.-Germain, 137. Il assiste aux conferences tenues à Ruel, 142; et à S.Germain-en-Laye; son opinion relativement à MM. de Bouillon et de Vendôme, 145. Il refuse de soutenir les prétentions du premier, 147. Il s'oppose à l'établissement d'un semestre dans la Provence, 149. Sa réponse à Mazarin à ce sujet, 150. Sa conversation avec le pr. de Conde, 154, et avec Mazarin, sur la détention de M. le prince, 162. Il est

chargé d'annoncer cette détention à la princesse sa mère, 163. Réclame avec chaleur auprès de la Reine et du cardinal son droit contre Servien, 165. S'oppose inutilement à ce que les députés des synodes de la Haute - Guienne et du Haut-Languedoc soient reçus par le Roi, 167. Entretien avec le cardinal, dans lequel tous deux s'expriment avec chaleur et vivacité, 174. Son opinion au parlement sur l'éloignement de Mazarin, Servien, Le Tellier et Lyonne, proposé aux chambres, 177. Il est charge d'aller trouver Monsieur, pour le convier de la part de LL. MM. d'assister au lit de justice où le Roi sera déclaré majeur, 180. Son entretien avec le prince à ce sujet, 181. Obtient de la Reine la permission de répondre à une lettre de reproches que Mazarin lui a écrite, et a fait courir dans le public, 185. Son opinion sur le retour prochain du cardinal; sa réponse au duc de Mercœur; comment, pour se disculper d'avoir vu et entretenu un envoyé du prince de Condé, il le fait arrêter, et saisir ses lettres, 188. Ecrit au cardinal, de la part du Roi, une lettre pressante pour le faire revenir, 192. A la prière de la Reine, il va voir le cardinal, 197. Est chargé de négocier avec l'ambassadeur d'Espagne un traité de secours, 201. Sa lettre en réponse à celle de l'ambassadeur, 202. Il tombe dangereusement malade; intérêt qu'il inspire à LL. MM., au cardinal, et à toute la cour, 210. Conseille à Mazarin de demander des commissaires au Pape pour juger le card. de Retz, 215. S'oppose à ce que le sieur Silhon fasse les dépêches du Roi sous ses ordres, 218. Est envoyé à Nantes pour demander au card. de Retz sa renonciation à l'archev. de Paris, 221. Empêche Mazarin de faire arrêter le gentilhomme envoyé par le card. de Retz pour annoncer les motifs qui l'ont porté à s'évader de sa prison, 222. Il fait ses efforts pour

ter au cardinal la pensée de donner pour reine à la France une de ses

mené à Paris; joie du peuple, 132. Est nommé gouvern. de la Bastille, 152. (Montglat.)-Trouble que son enlèvement cause dans Paris, LI, 436. (La Rochefoucauld.) — Pour quoi il se rend le chef de la Fronde; est arrêté, et conduit à Vincennes, LVIII, 74. Est remis en liberté; comment il est reçu dans Paris, 79. (Mem. de M. de ***.)

BROWN (le comte de), feld-maréchal sous les ordres du ́ pr. Charles de Lorraine, est blessé à la bataille que Frédéric gagne sur l'arinée autrichienne, LXXVII, 144. Défend avec la plus grande tranquillité d'esprit la ville de Prague, 145. Meurt des suites de ses blessures, 146.

BRUANT, prem. commis du surintend. Fouquet, prend la fuite à la nouvelle de la détention de son maitre, XL, 140.

BRUAY (le comte de), gouvern. de Lille, se voit contraint par le peuple de cette ville de capituler, et de la remettre aux mains du Roi, LI, 145.

BRULART, prem. présid. du parlem. de Dijon, remercie le Roi, au nom de sa compagnie, de l'honneur qu'il lui fait d'y tenir son lit de jus-tice; parle avec beaucoup de mesure et d'éloquence contre les édits qui sont présentés, XLII, 352.

BRULART (Léon) convoque à Soleure une assemblée des treize cantons, et leur fait prendre la résolution de s'unir tous pour la conservation de leur pays, et de faire une levée de 6,000 hommes, XXV, 283. Cette résolution est bientôt détruite par les menées des Espagnols, malgré les efforts que fait Brulart pour fes y maintenir, 285. Fait tous ses efforis pour persuader aux Suisses de se joindre à Bassompierre, qui vient aider la Ligue grise à se délivrer de l'oppression des troupes de l'Empereur, 287. Est envoyé à la diète de Ratisbonne; instructions dont il est chargé, XXVI, 275. Reçoit pouvoir de traiter la paix, 282. Détails sur les négociations et les intérêts divers des puissances qui

traitent à la diète, 283. Mauvaise foi des ministres de l'Empereur, 305. Brulart reçoit ordre de revenir en France, 308. Lui et le père Joseph outrepassent les ordres du Roi, en signant un traité contraire à son intention, 342. Comment ils sont contraints à le signer, 359. Ils sont chargés de demander à l'Empereur une juste explication du traité qui le rende excusable, 364.

BRUNO (le père), récollet, est envoyé à Bordeaux par la cour, pour donner avis de ce qui s'y passe, et pour négocier auprès de ceux qui sont à la suite de la princesse de Condé, LIII, 454. Il voit la comtesse de Tourville; réponse qu'il en reçoit, 455. Il voit aussi Lenet; écrit sous sa dictée la réponse que lui fait ce dernier, 456. Revient lui rendre compte de l'entretien qu'il a eu avec Mazarin, 494 et suiv. Est renvoyé vers le cardinal, 506. Réponse qu'il en reçoit, 507. Son entretien avec La Vrillière, LIV, 12; et avec le cardinal, 13. A son retour à Bordeaux, est mandé au parlement pour rendre compte de sa mission, 16.

BUCKINGHAM (Georges de Villiers, duc de), favori de Jacques i et de Charles 1, persuade au Roi d'envoyer des secours aux protestans de France; son caractère, IX, 419. Fait chasser tous les domestiques français attachés à la Reine, 421. Est envoyé en ambassade en France; ne peut être admis auprès du Roi; prépare tout pour la guerre, 422. Arrive devant La Rochelle avec une armée; fait connoître ses intentions aux Rochellois par un secrétaire qu'il leur envoie, 424. Opère une descente à l'ile de Re; faute qu'il commet, 428. Bloque la citadelle de S.-Martin, 431. Nouvelles fautes commises par lui, 432, 437. Pense à se retirer malgré les remontrances du duc de Soubise, 439. Livre un assaut à la citadelle; lève le siége, 441. Perd 7 ou 800 hommes au pont de Loye; autres fautes qu'il commet, 442. Trompe les marchands rochellois qu'il em

envers la reine d'Angleterre, 467. Il fait persécuter les catholiques, et propose de chasser les Français d'Angleterre, 498. Fait alliance avec les Hollandais et le roi de Danemarck; à quelles conditions, 506. Motifs de sa conduite envers la Reine, les catholiques anglais et l'ambassad. de France, 517. Il suscite de nouvelles persécutions à la Reine à l'ouverture d'un nouveau parlement, XXIII, 163. Comment il s'attire la haine de ce parlement, 167. Il ose parler d'amour à la Reine; lui propose de chasser tous les Français d'auprès d'elle, 168. Exerce contre elle de nouvelles persécutions, 169. Il fait chasser tous les officiers français de la maison de la Reine, 175. Son caractère; il se défait par le poison du duc de Lenox et du marq. d'Hamilton, 183. Vient, à la tête d'une flotte, attaquer La Rochelle; publie un manifeste, 317. Opère avec perte une descente à Samblanceau, 319. Prend S.-Martin, 336; en attaque le fort, 337. Sa cruauté envers des matelots faits prisonniers, 338; et envers les femmes catholiques de l'ile de Ré, 344. Invite Toiras à se rendre, 346. Fait demander au Roi le rasement du fort S.-Louis, promettant de se retirer, 354. Fait donner un assaut général au fort S.-Martin, 395. Est repoussé avec perte, 398. Se rembarque, 416. Est tué à Portsmouth; détails sur cet assassinat, XXIV, 158. Son caractère, 161. (Mém. de Richelieu.) - Il paroît à la cour de France, XXXV, 401. S'y fait remarquer par la magnificence de ses habits, par sa bonne mine et par sa vanité, 403. Son audience à Amiens auprès de la Reine mère, 405. Son retour en Angleterre, 406. Son imprudence avouée par lui-même, 412. ( Mém. de Brienne.) — Fait une descente dans l'île de Ré; attaque le fort S.Martin; se sauve avec peine dans ses vaisseaux, XLIX, 44. (Montglat.)-Vient en France en qualité d'ambassadeur extraordin. pour conduire Madame en Angleterre; son portrait, LIX, 296. Sa conduite in

mène avec lui, 443. Fait équiper une nouvelle flotte, dont il donne le commandement au comte d'Emby, 447. Ses efforts pour empêcher l'envoid'une troisième flotte, 451. Trompe le duc de Soubise sur l'état de La Rochelle; est assassiné, 452. (OEconom. royales.) Sa passion pour Anne d'Autriche devient la cause d'une rupture entre la France et l'Angleterre, X, 54. Il vient attaquer l'ile de Ré, 55. (Notice.)—Députe vers le duc de Rohan un gentilhomme, pour lui remontrer le juste ressentiment qu'il a de ce que, par son intervention, les réformés de France ont été trompés; lui demande quels sont les sujets de plainte des réformés du Languedoc, XVIII, 298. Fait chasser tous les Français domestiques de la reine de la Grande-Bretagne, 299. Se fait nommer ambassadeur extraordin. en France, 300. Ne pouvant arriver à Paris, il prépare tout pour la guerre; dépêche au duc de Savoie et au duc de Rohan, pour lear promettre l'assistance de l'Angleterre, 301. Paroit devant La Rochelle avec une belle flotte, 302. Envoie un de ses secrétaires dans la ville; discours qu'il y tient, 303. Descend dans l'île de Re, 306. Combat dans lequel il force tout ce qui s'oppose à lui; faute qu'il commet, 307. Publie un manifeste; bloque la citadelle de S.-Martin; autre faute qu'il commet, 313. Raisons qui le déterminent à s'éloigner malgré les instances du duc de Soubise, 331. Tente une attaque inutile sur la citadelle, 333. Se rembarque, 334. Sa conduite peu généreuse envers les Rochellois, 335. Trompe le duc de Soubise; est assassiné, 390. (Mém. de Rohan.)-Il vient à Paris épouser au nom de son souverain mad. Henriette; son luxe, ses prétentions sur la reine Anne, XXII, 421. Revient en ambassade extraordin. pour empêcher la paix avec l'Espagne, et proposer une ligue of fensive, 459. Raisons sur lesquelles il s'appuie; raisons qui lui sont opposées, 460. Sa conduite offensante

T. 78.

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solente à Amiens envers Anne d'Autriche, 297. (Mem. de La Porte.) BUCKINGHAM (le duc de) est envoyé avec le duc de Monmouth pour faire au Roi des propositions de paix de la part des Hollandais, XLIII, 354. Il s'intéresse pour Lauzun, et hâte lui-même ce qu'il fait pour lui, 355.

BUDE. Siége de cette ville par les Impériaux en 1686; défaites qu'y éprouvent les Turcs en voulant secourir la place, LIX, 143 et suiv. Entrée des Impériaux dans la ville, 147; LXV, 312.

BUDIANI (le comte) prend le parti des mécontens de Hongrie, et fait la guerre aux troupes de l'Empereur avec un corps de Turcs et de Hongrois; puis taille en pièces ces mêmesTurcs, et harcelle leur grande armée dans sa retraite devant Vienne, LIX, 97.

BUFALO (le card.) conclut avec M. de Rosny un traité de commerce avec l'Espagne, V, 357.

BULLE D'OR, constitution impériale. Pourquoi et à quelle époque elle fut faite, XXIX, 76. Infractions à cette bulle, 77.

BULLION, conseiller d'Etat, est nommé commissaire du Roi auprès de l'assemblée des protestans de Saumur, XVIII, 98. S'entend avec le maréchal de Bouillon; sa conduite dans cette assemblée, 100. (Mém. de Rohan.)- Conseille au Roi de recevoir la soumission de Montpellier à la condition que cette ville demande, XX, 453. (Bassompierre.)-Est nommé commissaire du Roi à l'assemblée de Saumur; conduite qu'il y tient, XXI bis, 105. Est envoyé en ambassade extraord. au duc de Savoie pour lui faire agréer le traité de Monçon, XXIII, 30. Ses entretiens avec Monsieur à l'occasion de la princ. Marie, XXV, 437; et avec Le Coigneux et Puylaurens, 438. Il est chargé par le Roi d'aller traiter avec les commissair. nommés par Monsieur, XXVII, 193. Instructions que lui donne le cardinal, 195. (Mem. de Richelieu.) — Il fait ar

rêter à Moulins l'électeur palatin, et le fait conduire à Vincennes, XLIX, 224. Sa mort; quelle en fut la cause, 302. (Montglat.)

BUONALBERGO (le marq. de), command. de la ville d'Ariane, envoie assurer le duc de Guise de ses services, LVI, 100. Rend le château de cette ville à composition, 101. Est tué par les gens de guerre du duc de Salse, :02.

BUQUOY (le comte de) gagne, avec le duc de Bavière, la bataille de Prague contre l'électeur palatin, couronné roi de Bohême, XXII, 117. Est tué en assiégeant Newhaussen, 184.

Buquor (le comte de) attaque et prend Beaumont, XXIX, 521.

BURG (de), conseiller au parlem. de Bordeaux, offre à Mazarin de le servir dans cette ville: ses lettres interceptées manquent de lui devenir funestes; il offre à la princ. de Condé de continuer sa correspondance pour son service, LIII, 347.

BUSSY-LAMETH (le sieur de) est blessé au siége de Soissons, XX, 145. (Bassompierre.) — Est fait prisonnier par le comte d'Embden à la prise de Trèves, XXVIII, 227. Est tué au siége de La Capelle, XXIX, 508. (Mém. de Richelieu.) XXXII, 270; XLIX, 157.

BUSSY-LE-CLERG, command. de la Bastille, arrête en plein parlement le présid. Harlay et plusieurs conseillers, I, 110. Subterfuge qu'il emploie pour faire signer aux ligueurs un arrêt de proscription contre trois magistrats, 155.

BUSSY - RABUTIN (le comte de). Aventure qui lui arrive chez une dame de Verdun; comment il s'en tire, XXXIV, 188. (L'ab. Arnauld.)

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Huit escadrons qu'il commande sont mis en fuite par 3 escadrons espagnols, et perdent leurs drapeaux, L, 465. ( Mém. de Montglat.)

BUZENVAL (le sieur de), ambass. du Roi dans les Pays-Bas, écrit une lettre de complimens à M. de Rosny, et lui envoie deux sonnets faits en

Flandre, V, 229. Lui rend compte du mécontentement des ProvincesUnies au sujet du traité de commerce conclu entre l'Espagne et l'Angleterre, 278; et de la suite du siége de L'Ecluse, 280. (OEconom. royales.)—Est nommé commissaire pour traiter de la paix entre l'Espagne et les Provinces-Unies, XI, 447. Meurt pendant la négociation, 462. (Jeannin.)

Burs, envoyé de Hollande en An gleterre, est chargé de souffler le feu à Londres, et de faire en sorte que le nouveau ministère soit changé, LXVIII, 85. Il échoue dans ses tentatives, et se voit trompé dans ses espérances, 91. La Reine lui déclare

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CADENET (le sieur), frère du duc de Luynes, est envoyé en ambassade extraordin. en Angleterre pour proposer le mariage de mad. Henriette avec le prince de Galles; raisons politiques qui portent le Roi à le demander, XXII, 118.

CAFARELLI, nonce du Pape, négocie et obtient une suspension d'armes en Italie pour deux mois, XLIX, 250.

CAHUSAC (le sieur de ) arrête, par ordre de la Reine mère, la princesse Marie et mad. de Longueville, et les amène au Louvre, XXV, 11. Chargé du commandement d'une flotte, fait rendre aux Français les forts dont les Anglais se sont emparés dans l'île de S.-Christophe, 202. Défait et prend prisonniers des mousquetaires à cheval levés pour

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qu'elle veut la paix ; il attire chez lui tous les mécontens, 103. Il remet à la Reine les passe-ports pour les plénipotentiaires de France, 113. Par ses importunités, il obtient de la Reine que les ambassadeurs d'Espagne et de Bavière soient exclus des conférences d'Utrecht, 115. Ses liaisons avec Botmar, envoyé du duc de Hanovre, 116. Il est nommé par la province de Hollande pour assister aux conférences d'Utrecht, 127. Comment il est congédié par le conseil de la Reine assemblé, 128.

BYNG, amiral anglais, est condamné à passer par les armes pour s'être laisse battre, LXXVII, 123.

le duc de Lorraine, XXVII, 111. Est tué dans un combat d'arrièregarde, XXVIII, 386; XXXIV, 70.

CALEO (Antonio del), mestre de camp, et Andrea RAMA, capit. de cavalerie, sont condamnés à mort et exécutés, comme convaincus d'avoir voulu débaucher les troupes du duc de Guise, et les mener à l'ennemi, LVI, 99.

CALGAGNO DE VARESE (Vincent), serviteur de la maison de Fiesque, consulté par le comte Jean-Louis, lui adresse un discours sur le projet qu'il médite contre les Doria, XLVI, 486.

CALVIÈRES (M. de), mestre de camp, est tué au siége de Roses, LVII, 221.

CALVIN jette à Bâle les premiers fondemens du culte adopté par les protestans français; il dédie à François 1 son livre de l'Institution chrétienne, I, 21. La persécution exercée contre ses partisans en augmente le nombre, et révolte même les esprits les plus modérés, 22.

CAMISARDS (les) forment une conspiration contre le duc de Berwick et l'intendant M. de Basville, LXVI, 31. Les chefs sont arrêtés et punis,

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