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prince à entrer dans le complot for-
mé contre le maréchal; assiste aux
assemblées secrètes qui se tiennent
à cette occasion, 308. Veut tenter
avec le duc du Maine quelque sédi-
tion dans Paris, 313. Prend le che-
min de Soissons, 314. Résolutions
qu'y prennent les princes réunis,
315. Va faire des levées à Sedan,
316. Revient à Soissons, 317. (Mém.
de d'Estrées.) - Il obtient la per-
mission de la Reine d'aller à Heidel-
berg consoler l'électrice palatine,
422. Comment il témoigne à l'as-
semblée des protestans de Saumur
son zèle pour le service du Roi et le
contentement de la Reine, 460. Va
en Angleterre faire part au Roi des
mariages du Roi et de Madame avec
le prince et l'infante d'Espagne,
XVII, 4. Se retire de la cour, et va
à Sedan, témoignant un grand mé
contentement du peu de cas qu'on
fait de lui, 80. A la nouvelle de la
détention de M. le prince, il s'éloi-
gne de Paris, et emmène avec lui vers
Soissons MM. de La Trémouille et
du Maine, 161. Fait des menées au
dedans et au dehors du royaume,
180, et dans la Champagne, en fa-
veur de la Reine mère, 308. (Pont-
chartrain.)- Après la mort d'Hen-
ri Iv, il cherche à se rendre néces-
saire, et à gagner le prince de Condé;
il est recherché par la Reine mère,
qui traite avec lui, XVIII, 87. Pro-
jette le dessein de ruiner le duc de
Sully; moyens qu'il emploie à cet
effet, 88. Fait répandre dans les
provinces des Mémoires de Duples-
sis-Mornay concernant les demandes
des réformés, 91. Fait son traité se-
cret et particulier avec la cour; ob-
tient que l'assemblée des protestans
se tiendra à Soissons, 92. Son me-
contentement de n'en être pas nom-
mé président; il se réconcilie en
apparence avec le duc de Sully, 93.
Témoigne un grand zèle pour obte-
nir de la cour réparation du désor-
dre survenu à Châtillon; s'excuse
ensuite de se mêler de cette affaire,
94. Essaie de faire abandonner le
parti du duc de Sully à son gendre

le duc de Rohan, 95. Ses tentatives inutiles à cet égard auprès de l'assemblée de Saumur, 96. Sa conduite artificieuse dans cette assembléc, 99. Prend le parti de Bellugeon, agent de Lesdiguières; se brouille avec le duc de Rohan, 101. Le fait rechercher ensuite pour le faire consentir au rétablissement de Bellugeon, 103. Projette de faire ôter au duc la ville de S.-Jean-d'Angely, dont il est gouverneur, 104. Ses artifices contre lui, 108. Ses mauvais offices aux affaires générales des réformés dans son ambassade extraordin. d'Angleterre, 109. Signe l'acte de réconciliation arrêté dans l'as-semblée de Privas, 110. S'efforce d'empêcher la translation de cette assemblée à La Rochelle; excite la cour à des rigueurs contre les réformés, pour se rendre nécessaire, 112. Forme un parti de princes mecontens, et promet à la Reine mère de les ramener, 115. Ourdit une nouvelle brouillerie de telle importance, que ceux mêmes qui n'avoient point résolu de s'en mêler se trouvent insensiblement de la partie; détails sur ses menées, 121. Se décide à faire la paix aux dépens des autres princes, 131. S'efforce d'entrer dans les affaires du gouvernement; est repoussé par le maréchal d'Ancre, 138. Ses menées contre le prince et le maréchal d'Ancre, 139. Affermit le duc de Longueville dans sa conquête de la Picardie; propose dans une assemblée de tuer le maréchal d'Ancre, 140. Offre au duc de Guise de se faire chef d'un parti pour la délivrance du premier prince du sang, 142. Se retire à Sedan, où il fait des levées d'étrangers, 144. (Mém. de Rolan)-Sa conduite artificieuse à Peronne auprès de M. de Longueville, XX, 116. (Bassompierre.) — Son mécontentement de ce qu'on ne lui a pas donné le commandem. de l'armée destinée à protéger le duché de Clèves et de Juliers, XXI bis, 74. Il cherche à s'unir avec M. le comte de Soissons et M. le prince contre les ministres;

moyens dont il se sert, 78. Il confirme cette union à Sedan, 81. Engage les huguenots à demander une assemblée générale, 82. Fait faire dans les provinces des mémoires remplis de plaintes et de demandes sur des choses impossibles, 103. Comment il est trompé dans ses espérances à l'assemblée générale de Saumur, 104. Son mécontentement contre la cour, 110. Il se retire avec les autres princes, en prétextant la confusion des affaires; cherche à éloigner de plus en plus les princes de la cour, 185. Fait à la Reine mère des demandes impertinentes, espérant brouiller de nouveau, 301. Demande avec le duc de Mayenne la réformation du conseil, 312. Est envoyé à M. de Longueville, pour lui faire reconnoître la faute qu'il a commise envers le Roi en enlevant Peronne au maréchal d'Ancre, 317. Agit contre les intentions de S. M., 318. Décide M. le prince à rompre avec le maréchal d'Ancre, 329. A la nouvelle de la détention de M. le prince, il se rend avec le duc de Mayenne à Bondy, après avoir voulu entrer dans Paris pour soulever le peuple, 343. Décrie le gouvernem. dans les pays étrangers, 370. Fait passer des de gens guerre par Sedan, 371. Se plaint au Roi des troupes qui sont en Champagne, et de ce que la liberté du commerce est interrompue avec Sedan; réponse vigoureuse du Roi, 372. Feint de craindre S. M. veuille abanque donner sa protection; proteste qu'il emploiera tous les moyens pour sa défense, 383. Supplie le Roi de ne pas ajouter foi à ce que lui dira l'ambassad. de l'Empereur concernant les affaires d'Allemagne, 582. Mande au Roi qu'il est obligé d'envoyer quelqu'un de sa part à l'assemblée de La Rochelle, XXII, 119. Sa mort; son caractère, 259. (Mem. de Richelieu.): Il est contraint de remettre Sedan à Henri IV, qui le lui rend et lui pardonne, XLIX, 14. (Montglat.)

BOUILLON (Frédéric -Maurice de

La Tour-d'Auvergne, duc de). Dé tails sur la manière dont il est fait prisonnier à Casal, après la bataille de Sedan, XXXIV, 265. A quel prix il obtient sa liberté, 268. (L'abbe Arnauld.) - Motifs qui l'engagent dans le parti de la Fronde, 402. II quitte le parti de M. le prince, et se raccommode avec la cour, 486. Entreprend et vient à bout d'acquérir du crédit auprès de la Reine, 529. Il meurt du pourpre, 530. (Mém. de Nemours.)-Se fait catholique par ambition; s'unit au comte de Soissons; est compromis dans la conjuration de Cinq-Mars; perd la principauté de Sedan, XXXV, 14. (Introd.) XXXVI, 73 et 414.

Il fait connoitre au parlement qu'il est disposé à se déclarer en sa faveur, XXXVIII, 150. II se déclare du parti de la Fronde, 161. Est déclaré criminel de lèsemajesté; ses intelligences à Bordeaux, XXXIX, 39. Fait enlever à Montrond la princ. de Condé, 40. Traite avec l'Espagne; fait déclarer les Bordelais en faveur des princes, 43. Fait pendre par représailles un gentilhomme prisonnier, 70. Empê che le parlem. de Bordeaux de tenir la parole qu'il a donnée au Roi, 72. Défend vaillamment Bordeaux, attaquée par le maréchal de La Meilleraye, 77. (Mad. de Motteville.) — Conseille au comte de Soissons de faire la guerre à Richelieu, et d'accepter les secours d'Espagne, XLIV, 115. Vient offrir ses services au parlement, 303. Son portrait, 311. Čoaseille au prince de Conti de proposer au parlement d'entendre l'cavoyé d'Espagne, 342. Sa réponse à l'écrit que lui remet le coadjuteur sur l'état des choses à l'égard du parti; son entrevue avec lui sur ce sujet; moyen qu'il propose pour remédier aux inconvéniens, 358. Secrets que l'un et l'autre se communiquent, 364. Il engage M. d'Elbœuf à aller au Palais avec le coadjuteur, lui faisant craindre qu'autrement il n'y ait pas de sûreté pour lui, 376. Conférence tenue chez lui au sujet

BOUI

de celles qui doivent se tenir à Ruel; noms de ceux qui s'y trouvent; leurs opinions, 380. Fait décider, dans l'assemblée tenue chez le prince de Conti, que lui et le coadjuteur agiteront les matières avec l'envoyé d'Espagne, pour en rendre compte au prince de Conti et aux autres généraux, 386. Conférence tenue chez lui avec mad. de Bouillon et le coadjuteur sur la manière dont ils doivent agir avec les envoyés ; son discours, 387. Discussion avec le coadjuteur, 396 et suiv. Ce que le coadjuteur pense de lui, 400. Sa surprise en apprenant la signature du traité de paix ; il avoue qu'il s'est trompé sur l'état des choses, 419. Conseil tenu chez lui, 420. Combat la proposition du coadjuteur, 425. Résolution prise par le conseil, 428. Demande au parlement un passeport pour sortir en sûreté du royaume, 429. Son discours au prince de Conti a l'hôtel-de-ville, 436. A la nouvelle de la désertion de l'armée de M. de Turenne, il est d'avis de porter les choses à l'extrémité, 440. Veats'engager pleinement avec l'Espagne, XLV, 5. Sa discussion avec le coadjuteur à ce sujet, 7. Il lui avoue que la déférence qu'il a pour sa femme est l'unique cause qui règle en ce moment sa conduite, 13. Persuade aux envoyés que la conduite que les chefs de la Fronde ont résolu de tenir peut être trèsutile à l'Espagne, 14. Les envoyés l'approuvent; il leur fait un pont d'or pour retirer leurs troupes avec bienséance, 16. Faute de M. de Bouillon à l'égard de la déclaration des prétentions des généraux, 23. Achève d'engager les envoyés d'Espague à retirer leurs troupes, 14. Son mécontentement à l'égard du traité conclu avec la cour, 31. Est présenté au Roi; comment il est reçu du cardinal, 34. N'oublie rien pour augmenter les soupçons de M. le prince contre le cardinal, 93. Remue dans le Limosin, 116. Fait entrer dans Bordeaux mad. la princesse et M. le duc, 121. Fait pendre

Sa

par représailles M. de Canole; soutient le siége de Bordeaux, 127. mort, XLVI, 147. (Mem. de Retz.)

Il prend le chemin de Bordeaux après l'emprisonnem. des princes, XLVII, 100. (Guy Joly.) — Traite avec l'Empereur et le roi d'Espagne, XLIX, 316. S'humilie et implore la grâce du Roi, qui la lui accorde, 320. Est nommé pour commander en Italie; signe un traité avec les Espagnols, et médite sa repar ordre traite à Sedan; est arrêté du Roi, 356. Se lie avec Cinq-Mars contre Richelieu, 376. Se lie avec Monsieur; traite avec le roi d'Espagne, 377. Est amené en France, 386; et confronté avec Cinq-Mars et de Thou, 389. Sauve sa tête en abandonnant Sedan au Roi. 391. Après l'emprisonnem, des princes, se sauve à Turenne, L, 217. Fait des levées dans le Limosin; surprend Brives-la-Gaillarde, 236. Fait pendre sans forme de procès le baron de Canole; pourquoi, 240. Vient trouver le Roi à Poitiers; en est bien reçu, 323. Meurt d'une fièvre chaude, 360. (Mem. de Montglat.) Il lève 1200 hommes dans ses terres, et va au devant des princesses de Condé; prend Brives-laGaillarde, LII, 31. Défait le général de La Valette, 32. Entre dans Bordeaux, 33. Apaise le mouvement du peuple; se rend médiateur entre lui et le parlement, 35. Fait la revue des bourgeois de Bordeaux; se rend maître de Castelnau, 36. Fait pendre par représailles le nommé Canole, 38. Conseille au cardinal de rendre la liberté aux princes, 45. Refuse de s'engager dans le parti de M. le prince; lui offre sa médiation auprès de la cour, 98. Difficulté qu'il oppose au succès de la négociation entreprise par M. le prince auprès de la cour, 153. Sa mort; son éloge, 176. (La Rochefoucauld.) saisit du château de Blanquefort, où il met un commandant et 50 soldats, LIII, 347. S'oppose en vain à ce que 4 ou 5,000 bourgeois aillent forcer le duc d'Epernon dans le Ma›

Il se

rais; cède à leur obstination, et les y conduit; peu de succès de cette affaire, 353. Les ducs de Bouillon et de La Rochefoucauld déclarent à l'avocat général Lavie qu'ils n'ont pris les armes que pour obtenir la liberté des princes, et que quand ils l'auront obtenue, ils n'auront qu'à demander des passe-ports pour se retirer en pays étranger, et sûreté pour leurs amis, 409. Tous deux se rendent à l'assemblée de l'hôtel-deville pour y justifier leur conduite passée, et déclarer que s'ils sont un obstacle à la fortune publique, ils sont prêts à quitter Bordeaux et le royaume même, 448. Le duc de Bouillon empêche les Bordelais d'aller attaquer les troupes du maréchal de La Meilleraye, et les fait consentir à les attendre de pied ferme, 505. Envoie presser Turenne de s'avancer autant qu'il pourra vers Paris sans s'arrêter aucun siége, et de faire passer, s'il peut, quelque cavalerie en Guienne, 509. Defiances qui s'élèvent à Bordeaux contre lui; comment et par qui elles sont dissipées, 510. Il offre, dans le conseil de la princesse, de compter 100,000 fr. à MM. de La Force, si le parlement veut donner arrêt pour qu'il les reprenne sur la recette du convoi de Bordeaux, LIV, 20. De concert avec la princesse, il envoie ordre à Turenne de ne point délivrer cette somme à MM. de La Force; pourquoi, 35. Envoie l'ordre de faire toucher les 100,000 livres, 53. Refuse une conférence que lui fait demander le cardinal, 110. Désigne Gourville pour aller à Paris informer ses amis de l'état des choses, et aller rendre compte à la duch, de Longueville de tout ce qui se passe, 111. Son amour pour madem. Gerbier se renouvelle, 163. I quitte à Coutras la princ. de Condé, en lui faisant de grandes protestations de fidélité, 164. (Mém. de Lenet.) — Traverse la conclusion du traité de paix proposé au cardinal par M. le prince, LVIII, 243. ( Mém. de M. de ***.)

BOUILLON (Emmanuel-Théodose de La Tour-d'Auvergne, card. de). Son portrait; sa vie exemplaire dans le cours de ses études; comment il devient cardinal, LXIII, 155 et suiv. Sa naissance; ancienneté de sa maison, 434. Est destiné à être chevalier de Malte; est confié aux soins de mad. de Duras, 435. Précis de ce qui est arrivé à son père, le duc de Bouillon, 436 et suiv. Comment le chevalier et ses trois frères sont sauvés par un valet de chambre, 440. Ils restent cachés près de deux mois habilles en filles dans une petite maison auprès de Belle-Chasse, 441. Leur mère est arrêtée, et conduite à la Bastille; ils sont conduits auprès de Blois par le marq. Du Bec; le chevalier, tombé malade, est confié à mad. de Fléchine, 442. Passe huit jours dans un buisson, 443. Est ensuite enfermé dans une grange, puis dans une petite tour, 444. Est rendu à sa mère, qu'il va trouver à Tours, 446. Sa réponse au cardinal Mazarin, 47. Comment il se fait cardinal, 448 et suiv. Lettre du Roi au Pape, en lui demandant le chapeau pour le duc d'Albret, auparavant chevalier de Bouillon, 457. Amitié de M. de Lyonne pour le duc d'Albret, 458. Le duc và faire part à l'archevêq. de Paris de sa nomination au cardinalat; songe aux moyens de faire avancer sa promotion, 464. Obstacles qu'il rencontre, 466. Sa promotion est enfin déclarée par suite des expédiens qu'il a lui-même proposés pour la faire avancer, 471. Il obtient la charge de grand aumônier de France, 474. Doit cette charge à lui-même, et non à M. de Turenne, comme on l'a dit, 475. Demaude au Roi la provisorerie de Sorbonne, 478. Sa hauteur en cette occasion, 479. Comment il répare sa faute auprès du Roi, 481. Est enfin nommé grand aumônier, 484. Soutient vivement les intérêts du comte de Marsan, de la maison de Lorrai ne, 485. Obtient pour le comted Auvergne, frère de Turenne, la charge de colonel général de la cavaleric; la

vengeance de M. de Louvois l'em-
pèche d'être nommé évêque de Lié-
ge, 486. Va à Rome au conclave,
487. Dépense effroyable qu'il y fait;
encourt la disgrace du Roi, 489.
Revient en France, où il reste exilé
pendant dix ans ; va en Flandre, puis
a Rome, 490. (Mem. de Choisy)-
Sa conduite maladroite dans l'élec-
tion de l'évêq. de Liége, LXV, 13.
(Mem. de la cour de France.)
BOUILLON (la duch. de) essaie d'a-
nimer les catholiques et les protes-
tans de Guienne et du Limosin à
prendre les armes pour la délivrance
de M. le prince; répand de l'argent
pour lever des troupes, XVII, 204.
(Pontchartrain.)- Menacée d'être
arrêtée, fait sauver ses quatre fils;
se sauve par le soupirail d'une cave;
est trahie, et conduite à la Bastille,
XXXV, 159. (Introduct.)-Arrêtée
par ordre du Roi, se sauve adroite-
ment; est retrouvée, et conduite à
la Bastille avec sa fille, XXXIX, 27.
(Mem. de Motteville.)-Voulant sor-
tir de Paris, est arrêtée par la popu-
lace, qui la reconduit au palais d'Or-
leans; sa présence d'esprit, XLVIII,
56. (Mém. de Conrari.)--Est arrê-
tée par ordre du Roi, L, 217. (Mont-
glat.)

décrète de prise de corps contre lui, 416. (Mad. de Motteville.) — A la suite de l'émotion causée sur la place Maubert par le coup de pistolet tiré sur un syndic des rentiers, il vient au parlement à la tête de 15 ou 20 personnes, en criant aux armes! XLV, 68. Ses intelligences secrètes avec Mazarin, 69. (Mem. de Retz.)

Pourquoi on l'appelle par dérision le général des portes cochères, XLVII, 52. Fait entrer quelques petits convois dans Paris, 55. Après le prétendu assassinat tenté sur le conseiller Joly, il va dans les rues avec 200 hommes, criant aux armes! 85. Attaque la voiture de M. le prince, croyant l'attaquer lui-même, 87. (Guy Joly.) LXII, 21et suiv.-Vient offrir ses services au parlement, L, 146. Entre dans le Perche et le Maine, où il soulève les peuples en prêchant la liberté, et l'exemption de tous subsides, 167. Décrété de prise de corps par le parlement, il prie Mazarin de le tirer d'embarras; se sauve hors du royaume par la protection secrète du cardinal, 208. (Mem. de Montglat.)

BOURBON (le card. de), troisième frère d'Ant. de Bourbon, est désigné par les Guise, et reconnu par Philippe u, roi d'Espagne, pour successeur au trône de Henri H, I, 76.

BOURBON (mad. de). Son portrait, son caractère, LXIII, 351.

BOURBONNE ( le sieur de ) est chargé d'arrêter lord Montaigu, agent se

BOULANGER (Le), auditeur des comptes, est frappé de plusieurs coups de poignards et de baionnettes dans l'émeute de l'hôtel-de-ville; meurt quelques jours après de ses blessures, XLVIII, 151. BOULAYE (le marq. de La) se pré-cret de l'Angleterre, ce qu'il exésente pour faire la levée de troupes cute, XXIII, 422 et suiv. (Richeordonnée par le parlement, et de- lieu.)- Reçoit ordre, de la part du vient un moment général en chef de Roi, de faire arrêter milord Monla Fronde, XXXV, 96. Gagné par taigu; comment il exécute cet ordre, Mazarin, il fait tirer sur un écuyer LIX, 304. (Mem. de La Porte.) da prince de Condé, pour faire croire que les frondeurs en veulent à la vie du prince, 140. Il est décrété de prise de corps, et se sauve sur un cheval des écuries du ministre, 141. (Introduct.) Est le premier qui prend commission du parlement pour lever des troupes à sa solde, XXXVIII, 150. Essaie en vain d'exciter une émeute, 412. Le parlement

BOURDALOUE (le père) commence à Paris ses prédications; caractère de son éloquence; il force les jansénistes, qui lui ont nui d'abord, l'estimer, XXXIII, 199.

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BOURDEAUX (le sicur) est chargé de rechercher l'alliance de Cromwell, et y réussit, XXXVI, 223.

BOURDELOT, médecin du pr. de Condé, écrit au card. Ant. Barberin

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