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duite de ce seigneur, 306. Il est arrété, 335. Conduit à la Bastille, 336. Est condamné à perdre la vie, VI, 84. Prend Pierrefonds, et forme le siége de Soissons, IX, 375. Deveau duc d'Angoulême, il commande l'armée qui est devant La Rochelle, 433. (OEconom. royales.) -Est envoyé avec des troupes pour assiéger Peronne, XVI, 310. Va assiéger Soissons; prend Pierrefonds, 325. (Mém. de d'Estrées.)- Sort de la Bastille vient protester au Roi de sa fidélité, XVÎI, 150. Est envoyé avec des troupes pour secourir le château de Peronne, 156. Est envoyé dans les provinces du Maine et du Perche, où il ôte tout pouvoir à ceux qui favorisent le parti des princes contre la Reine mère et le maréchal d'Anere, 196. Est envoyé dans l'Ile-de-France pour y conimander une grande armée, 207. Assiége et prend Pierrefonds, 213. Investit Soissons, 216. Le presse vivement, 217. Passe en Piémont, où il assiste le duc de Savoie, 244. Prend le titre de duc d'Angoulême, 273. (Mem. de Pontchartrain.) – Est envoyé en Poitou pour rassembler l'armée, XXI, 88.-(Bassompierre.) - Il est rendu à la liberté, et reprend l'état de colonel de la cavalerie légère, XXI bis, 295 et 296. Est envoyé par le Roi pour investir Peronne, 318. Est nommé command. d'une armée destinée à agir contre les princes; assure au Roi le Maine et le Perche, 390. Assiége et prend Pierrefonds; investit Soissons, 395. Est envoyé en ambassade en Allemagne avec MM. de Béthune et de Préaux-Châteauneuf, XXII, 47. Conseille au Roi de raser le fort S.-Louis de La Rochelle, 353. Est envoyé en Bas-Poitou pour empêcher les mouvemens des paysans protestans, XXIV, 69. Est nommé licaten. génér. de l'armée destinée à défendre Paris, XXIX, 226. (Mém. de Richelieu.)-Conduit une armée en Lorraine; joint le maréchal de La Force, XLIX, 93. Tous deux se réunissent au duc

de Weimar et au cardinal de La Valette, et présentent la bataille aux Impériaux, qui n'osent l'accepter, 94. Découvre au cardinal de Richelieu que le père Caussin, confesseur du Roi, a conseillé à S. M. de le mettre à la tête des affaires ; quelle récompensé il reçoit de cet avis, 175. Meurt à l'âge de 78 ans, L, 243. (Mem. de Montglat.)

ANNA COLONNA (dona), princesse palestrine, belle-sœur des cardinaux Barberin, persécutée par le Pape, vient en France, XXXVII, 194. Comment elle y est reçue; son portrait, son caractère, 195.

ANNE D'AUTRICHE, femme de Louis xin, donne des bals à Bordeaux pendant que Richelien y est dangereusement malade, XXVII, 248, note. Informée de la détention de son porte-manteau La Porte, elle proteste n'avoir écrit ni en Flandre ni en Espagne, XXX, 198. Fait les mêmes protestations au père Caussin; mande le cardinal auprès d'elle, 199. Fait l'aveu de ses correspondances et de leur objet, 200. Dresse un écrit au Roi, dans lequel elle fait les mêmes aveux, et promet de ne retomber jamais en pareille faute, 201. Le Roi vient dans sa chambre, lui pardonne, 202. La Reine fait faire au cardinal de nouvelles déclarations, 203. (Mém. de Richelieu.)-Elle devient toute puis sante à la mort du Roi, XXXIV, 213. Témoigne de la reconnoissance à ceux qui l'ont servie dans ses disgrâces; accorde sa confiance au cardinal Mazarin; ses paroles en regardant le portrait de Richelieu, 214. Elle délivre les prisonniers de la Bastille, 215. (L'abbé Arnauld.) -Pourquoi la Reine s'obstine, pendant les troubles de la Fronde, à loger au Palais-Royal plutôt qu'au Louvre, 465. Elle envoie chercher le prevôt des marchands pour lui donner le même ordre, qu'il a déjà reçu de M. le duc d'Orléans, relativement à la sûreté du Roi et de la capitale, 471. Caractère de la Reine, 472. Elle consent à la sortie

des princes de prison, malgré la promesse contraire qu'elle a faite au cardinal, 473. Elle reconnoît que mad. de Chevreuse l'a toujours trompée, 483. Travaille à rompre le projet de mariage de sa fille avec le prince de Conti, 484. Pour ôter tout prétexte de mécontentement à M. le prince, de l'avis de Mazarin, elle relègue dans leurs maisons les ministres Le Tellier, Servien et Lyonne, 505. D'après le conseil de Châteauneuf et Villeroy, elle donne une déclaration par laquelle elle s'engage à ne faire jamais revenir le cardinal, 512. (Mem. de la duch. de Nemours.)-L'âge, l'expérience et le malheur lui donnent plus de maturité; quelles consolations la dédominagent de la froideur de son mari, XXXV, 7. Les manières douces et aimables de Mazarin le lui font distinguer des autres ministres, 8. Le caractère du duc d'Orléans ne lui inspire aucune estime, 9. Ses motifs de haine contre les ministres, 22. Elle proteste contre le plan de régence adopté par Louis x, 25. Ses incertitudes à la mort de son mari, 26. Elle se rend au parlement, où elle fait casser la déclaration du Roi, et obtient tous les pouvoirs de la régence, 27. Envoie le prince de Condé prier Mazarin de diriger le conseil, 28. Ne peut pardonner à Gaston d'avoir autorisé par sa présence une orgie faite contre elle, 55. Elle traite avec rigueur les maîtres des requêtes qu'elle a mandés auprès d'elle, 58. Fait casser l'arrêt d'union, 60. Ordonne au parlement de venir en corps auprès d'elle, et de lui apporter la feuille de son dernier arrêt; ses menaces ne produisent point l'effet qu'elle en attend, 61. Elle autorise l'assemblée des chambres, qu'elle ne peut plus empêcher, 63. Elle porte au parlement une déclaration du conseil, relative aux articles arrêtés par l'assemblée des chambres; outrée de la résistance qu'on y oppose, elle forme le projet de tirer une vengeance éclatante, 65. Se rend avec le Roi à

Notre-Dame pour remercier Dieu de la victoire de Lens, 68. Fait arrêter Blancménil et Broussel, 69. Son courage au milieu des révoltés; ses réponses à l'abbé de Gondy, 71. Elle reçoit avec fierté le parlement, qui vient lui demander la liberté de Broussel, 77. Consent malgré elle à une négociation, 78. Abandonnée de son ministre, elle montre une sécurité qui désarme ses plus cruels ennemis, 80. Fait sortir le Roi de Paris; en sort elle-même, en bravant les murmures du peuple, 81. Répond avec sa fermeté ordinaire à une députation du parlement, qui la supplie de ramener le Roi à Paris, et de mettre en liberté Châteauneuf et Chavigny, 83. Est contrainte de consentir aux articles proposés par le parlement, 84. Emploie tous les

moyens pour s'attacher le prince de Condé, 90. A la suite d'un conseil secret, elle sort furtivement de Paris avec ses enfans, Mazarin, Gaston, Condé, etc., 91. Se rend à S.-Germain, 92. Déclare le parlement criminel de lèse-majesté; supprime les charges de tous ceux qui ne se rendront pas à Montargis, 101. Situation fâcheuse de la cour à S.-Germain, 110. Après le traité conclu à Ruel, elle conduit le Roi à Compiègne; ordonne aux dames de Chevreuse de quitter Paris, 123. Ecrit au coadjuteur un billet pour lui donner un rendez-vous, 148. Elle lui demande son appui pour l'emprisonnement du prince de Conde, 149. Après qu'il est exécuté, elle reçoit les frondeurs avec mesure et décence, 156. Envoie au parlement une déclaration du Roi contre le prince de Condé, 160. Se rend à Libourne, 177. Reçoit avec bonté une députation du parlement de Bordeaux, 178. Fait son entrée dans cette ville, 183. Envoie au parlement une déclaration contre la conduite du coadjuteur, 195. Consent à regret à l'exclusion de Mazarin, 199. Forme secrètement le projet de sortir de Paris avec ses deux fils, et d'aller joindre le ministre ; pourquoi

ce projet échoue, 200. Elle s'entretient familièrement avec les bourgeois qui inondent ses appartemens pendant la nuit; elle est prisonnière des deux Frondes, 201. Declare les princes innocens; entretient des correspondances avec Mazarin, 204. Fait au prince de Condé les plus belles promesses, 205. Change le ministère, 206. D'après le conseil de Mazarin, elle éloigne les sous-ministres, 216. Change de nouveau le ministère après la majorité du Roi, 221. Conduit le Roi en Guicone, 225. Fait publier une déclaration par laquelle le prince et la princesse de Condé, le prince de Conti, mad. de Longueville, etc., sont réputés criminels de lèse-majesté, si dans un mois ils ne mettent bas les armes, 226. S'enferme dans l'église des Carmélites le jour de la bataille du faubourg S.-Antoine, 251. (Introd.) — Sa conduite après la mort du Roi, XXXVI, 84. Elle se fait donner par le parlement toute l'autorité de la régence, 85. Changement dans le conseil, 87. Elle est disposée à tout accorder à Monsieur et au prince de Condé, pour s'assurer de leur amitié et de leurs services, 106. Visite souvent Mazarin dans sa maladie, 114. Attire Monsieur dans ses sentimens, et lui fait approuver la sortie du Roi de Paris, 134. Elle tombe malade, 168. Son portrait par mad. de Motteville, 319. (Mem. de Brienne.)

Son mariage avec Louis XIII se célèbre à Bordeaux; son entrée en France; son âge, 336. Son costume espagnol; sentiment qu'elle éprouve pour le Roi; ses regrets de se voir séparée de ses dames; elle s'attache à la mère de mad. de Motteville, 337; pais à la duchesse de Luynes, depuis duchesse de Chevreuse, 338. Noms des seigneurs qui font paroître de la passion pour elle, 340. Ses sentimens pour le duc de Buckingham, 342. Détails sur une promenade dans un jardin d'Amiens avec ce seigneur anglais, 343. Sa sagesse et sa vertu éclatent en cette

occasion, 344. Raillerie de la princesse de Conti sur les galanteries du duc, 345. Surprise et embarras de la Reine en le voyant un jour à genoux devant son lit; elle se plaint de sa hardiesse, et lui ordonne de sortir, 346. Quelques-uns de ses domestiques sont chassés à cause de lui, 347. Cause de sa haine pour Richelieu; elle ne trouve rien de plus agréable que de lui faire dépit; difficultés qu'elle éprouve à prendre quelque goût à la gloire d'être aimée, 349. Son malheur vient de n'être point assez aimée du Roi son mari, 350. Elle est soupçonnée d'avoir eu quelque connoissance de l'affaire de Chalais, 351. Avec quelle force elle défend son innocence dans le conseil, 353. Comment elle est justifice par Chalais lui-même, 354. L'éloignement de mad. de Chevreuse augmente son aversion pour Richelieu, 356. Sa conduite envers lui la met plus mal avec le Roi, 357. Sentiment de ce prince pour elle, 359. Sa crainte d'être répudiée, 360. Elle fonde l'abbaye du Val-de-Grâce, 362. Son portrait, 365. Sa piété, 366. Elle va trouver la Reine mère dans sa chambre à Compiègne, et lui témoigne la part qu'elle prend à sa détention, 377. Va retrouver le Roi, qui lui donne pour dame d'atour madem. de Hautefort, qu'il lui ôte par la suite, 378. Est forcée de signer une déclaration humiliante, pour avoir correspondu avec le roi d'Espagne et mad. de Chevreuse, 394. Elle se raccommode avec le Roi, 397. Devient grosse, mais reste sans crédit comme auparavant, 398. Elle refuse d'entrer dans la conspiration de Cinq-Mars, 409. Elle jure, en présence du parlement et des grands du royaume, qu'elle observera inviolablement la déclaration du Roi concernant la régence, 423. Après la mort de Louis x1, elle se rend à Paris avec le jeune Roi, Monsieur, duc d'Anjou, le duc d'Orléans et le prince de Condé, XXXVII, 1. De qui se compose sa cabale, 2. Comment la Reine est reçue dans Paris,

3. Elle rappelle auprès d'elle mesd. de Senecey et de Hautefort, 4. Elle va au parlement, où elle est déclarée régente, sans qu'on lui prescrive aucun conseil, 7. Elle chasse Chavigny du conseil, ôte les finances à Bouthillier son père; rappelle la duchesse de Chevreuse, 8. Maintient la duchesse d'Aiguillon dans le gouvernement du Havre, 9. Donne sa confiance au cardinal Mazarin, 12. Se confirme chaque jour dans la résolution de se servir de lui, 17. La déclare ouvertement, 22. Elle ne sait refuser les importuns, ni don ner à ceux qui sont sages et modérés, 24. Elle fait arrêter le duc de Beaufort, 47. Envoic l'ordre à MM. de Vendôme de sortir de Paris, 50. Plaint cette famille de ce qu'elle va souffrir, 52. Sa manière de vivre, ses occupations, ses actes de piété et de charité, 70. Son goût pour la comédie, 76. Sa gravité et sa discrétion, son genre de libéralité, son esprit, sa conversation, 77. Sa beauté, 78. Elle refuse de recevoir le parlement, qui vient en corps sans avoir demandé audience, So. Se rend à Ruel; divertissement qu'elle y pread, 81. Sa rencontre avec Voiture, 82. Elle retourne à Paris, où sa présence rétablit le calme, 83. Envoie à la reine d'Angleterre sa sage-femme et toutes sortes de secours, 84. Comment elle reçoit cette princesse, qui se réfugie en France, 85. Fait faire un service magnifique pour la reine d'Espagne, 123. Termine le différend élevé entre Mademoiselle et la duch. d'Enghien, 125. Va au parlem. avec le Roi pour tenir un lit de justice, et présenter quelques édits bursaux; détails sur ce lit de justice, 139. Elle consent au mariage de la princ. Marie avec le roi de Pologne, 150. Reçoit à Fontainebleau les ambassadeurs polonais envoyés pour la demander, 151. Reçoit à Paris de nouveaux ambassadeurs envoyés pour épouser la princesse au nom du Roi, 152. Détails sur cette ambassade, 153. Autres détails sur le mariage, 156. La puissance absolue qu'elle

donne à Mazarin lui fait perdre la sienne; elle devient la cause qu'il est haï et elle moins aimée, 166. Lui abandonne le soin de l'éducation du Roi son fils, 169. Reçoit à Fontainebleau la reine d'Angleterre et le prince de Galles son fils, 188. Détails sur cette réception, 189. Elle apprend la mort du prince d'Espagne, son neveu; ses regrets, 198. Son ambition pour ses fils, 199. Au sujet des scrupules que lui donne le curé de S.-Germain sur la comédie, elle consulte plusieurs évêques et la Sorbonne, et en obtient une décision qui la tranquillise, 207. Elle prend le parti des jésuites contre les jansenistes, 227. Va se renfermer le jeudi saint au Val-deGrâce, où elle fait admirer sa dévotion et sa charité, 236. Sa froideur pour mad. de Longueville; quelle en est la cause, 241. Elle reçoit un ambassadeur de Danemarck; particularités sur cet ambassadeur et sur sa femme, 244. Son séjour à Dieppe; satisfaction qu'elle y éprouve, 264. Quel accueil elle fait au landgrave de Hesse, 278. Elle défend mad. de Motteville auprès du cardinal; droiture de son caractère; en quoi elle résiste souvent à son ministre, 281. Sa defiance d'elle-même et son humilité servent à la puissance du cardinal, 282. Elle va voir à Paris son fils le duc d'Anjou, attaqué de la dysenteric; état de la cour au sujet de cette maladie; craintes des uns, espérances des autres, 286. Les inquiétudes de la Reine se dissipent par la guérison du prince, 289. Conversation agréable avec le duc d'Orléans, 290. Revient à Paris, où elle donne un bal au landgrave, 294. Ses inquiétudes et sa douleur pendant la maladie du Roi, 296. Tombe elle-même malade après la guérison du Roi, 303. Belles paroles qu'elle prononce alors, 304. Elle mande auprès d'elle les maîtres des requêtes, leur fait une sévère réprimande, les interdit de leurs charges, 323. Persuadée que la puissance de son ministre fortifie la sienne, elle

demeure chez elle solitaire et tranquille, 327. Enjoint au parlement de travailler incessamment aux affaires du Roi; mène le Roi et le duc d'Anjou à Chartres, 333. Envoie un courrier en Espagne pour avouer le duc de Guise de tout ce qu'il a fait à Naples, afin qu'il soit traité comme prisonnier de guerre, 347. Révoque le droit de la paulette, qu'elle a accordé aux cours souveraines, 359. Sa conduite pleine de hauteur envers le parlement, 360. Le mande auprès d'elle, lui fait une dure réprimande; chasse plusieurs conseillers du grand conseil, 366. Fait les stations du jubilé; visite 37 églises, 373. Conversation morale dans le jardin du Palais-Royal, 374. Elle mande le parlement, auquel elle reproche la résolution qu'il a prise de s'assembler malgré elle, 376. Le mande de nouveau, et lui reproche, par l'organe du chancelier, d'avoir fomenté la désobéissance et la rebellion par son arrêt de jonction et par celui qui le confirme, malgré l'arrêt du conseil qui l'a cassé; lui fait défense de s'assembler avec les députés des autres compagnies, 382. Lui ordonne d'apporter la feuille de son dernier arrêt, 383. Blâme le cardinal de la foiblesse qu'il montre, et veut employer la sévérité contre le parlement, qu'elle méprise, 386. Elle consent malgré elle à ce que désire son ministre, 387. Est forcée de rétablir les maîtres des requètes, 399. Ses sentimens et ses lumières paroissent naturellement en opposition avec la politique de son ministre, 411. Se rend au parlement pour y faire enregistrer deux déclarations concernant le réglement des impositions, et la recherche et punition des malversations commises au fait des finances, 429. Texte de ces déclarations, 430. On murmure contre la Reine et contre son ministre, 441. Motifs qui la portent à soutenir le cardinal, 442. Sa dévotion au saint-sacrement, 443. Preuves de sa charité pour les pauvres, 444. Elle renvoie trois capitaines des gar

des; à quelle occasion et pourquoi, 449. Fait arrêter le présid. Blancménil, le présid. Charton et le conseiller Broussel, XXXVIII, 5. Répond avec vigueur au parlement, qui vient lui redemander la liberté de ces prisonniers, 18. Comment elle se voit forcée à accorder cette liberté, 23. Sa fermeté pendant une émeute du peuple, 30. Elle songe à gagner M. le prince, 35 Forcée par la nécessité, elle accorde au parlement presque tout ce qu'il lui demande, 37. Sort de Paris avec le Roi et son ministre, et se rend à Ruel, 41. Nouvelle preuve de sa fermeté dans cette occasion, 42. Sa réponse au parlement, qui la prie de ramener le Roi à Paris, et de rendre la liberté à Chavigny, 57. Fait enlever de Paris son second fils Monsieur, 61. Se plaint de ce que les princes paroissent consentir aux demandes du parlement, 79. Déclare dans un conseil que c'est à la prière des princes, et à la nécessité présente de l'Etat, qu'elle se décide d'accorder au parlement les choses qu'il demande, 83. De l'avis des princes et du cardinal, elle accorde au peuple les deux millions demandés par le parlement, 92. Ses sentimens sur la paix qu'elle conclut malgré elle avec le parlement, 96. Fait connoître au duc d'Orléans le tort qu'il se fait en demandant au Roi des choses préjudiciables à son service, 107. Envoie au parlement une déclaration pour un emprunt à dix pour cent, 125. La retire peu après, 126. S'applique à faire voir aux princes que les demandes et les prétentions du parlement ne sont que des prétextes pour travailler à la ruine du royaume, 130. Fait le projet, avec le prince de Condé et Mazarin, de sortir secrètement de Paris, pour le punir par les moyens les plus forts, 131. Engage le duc d'Orléans dans son dessein, 133. Comment elle exécute ce dessein, 135. Ecrit à messieurs de ville pour leur faire part de ses intentions, 144. Fait défense à tous les villages voisins de porter

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